Visite au foyer de Vie Pen Ar Prat
Lundi 09 décembre, les élèves de la classe de Terminales ASSP Option Structure sont allés visiter le Foyer de Vie Pen Ar Prat de Pont-l’Abbé qui accueille des adultes en situation de handicap moteur et polyhandicap.
Uns visite sous le signe de la bonne humeur réalisée par les résidents du foyer qui étaient ravis de faire visiter leur lieu de vie. La visite s’est finie autour d’un échange avec une partie des résidents et les professionnels (AMP, AES, Educateurs, Animatrice et Aides Soignantes). La visite a été organisée par Mme Le Cossec, Animatrice du foyer depuis de nombreuses années, et Mme Foucaut, enseignante de STMS.
« Dénaturé » : la nature morte contemporaine
Le CDI expose du 26 janvier au 18 mars 2015, une sélection d’œuvres issues des collections de l’Artothèque de Brest, autour du thème "Dénaturé".
Aujourd’hui encore, l’objet est perçu par les artistes comme étant au centre de l’action contemporaine. Représenter un objet c’est envisager le rapport de l’homme ou de la société à son environnement.
Tesson photographie d’Yves Trémorin
Les œuvres de la collection de l’Artothèque, présentées au CDI, sont des variations contemporaines de la nature morte. Chaque artiste a sa façon de l’appréhender et de la réinterpréter.
Définition : l’appellation nature morte se réfère aux compositions d’objets inanimés que l’on peut considérer comme autonomes, contrairement aux Vanités où les symboles du temps et de la brièveté de la vie, de la mort, et de la Résurrection sont présents dans la figuration d’objets tels que le sablier, le crâne, les fleurs, associés aux objets de l’activité humaine.
Série Pariétal noir Fernande Petitdemange
Christine Papail et Jean-Luc Le Cleac’h
« Des racines et des arbres » : des élèves du lycée récompensés, leurs œuvres exposées
Le projet mené par les classes de Mme Le Gall, dans le cadre de l’objet d’étude « Écriture poétique et quête du sens », se clôt sur une exposition des travaux des élèves à la Galerie Rouge à Pont-l’Abbé.
Les réalisations des élèves sont à découvrir du mercredi 28 novembre au samedi 8 décembre 2018, avec les œuvres de l’artiste Gil Bizien, sur le thème « Des racines et des arbres », concours organisé en lien avec le Salon Bigouden du livre au Triskell, les 1er et 2 décembre 2018.
Cinq élèves lauréats
Les résultats du concours ont été publiés : cinq élèves du lycée sont lauréats et recevront le Prix Jeunesse 16-17 ans. Les récompenses ont été attribuées à :
- « L’élu de la forêt » de Marine Raphalen, Eva Stervinou et Lila Haÿs
- « Il est des renouveaux plus amers que d’autres » de Charlotte Gouzien
- « Ces drôles de vertébrés » de Dylan Beauvais
Le Prix Spécial du Jury est décerné au lycée pour l’ensemble des travaux réalisés.
C’est sur la sur la scène du Triskell que la remise des prix aura lieu samedi 1er décembre, lors de l’inauguration du Salon, à 11 heures en présence de Monsieur Stéphane Le Doaré, maire de Pont-l’Abbé et de Clarisse Lavanant, marraine du Salon Bigouden du Livre 2018, sur entrée libre. Les élèves lauréats pourront, à l’appel de leur nom, lire leur texte et prendront la parole pour expliquer le projet et en remercier l’ensemble des participants.
Des œuvres exposées
Les réalisations des élèves, ainsi que leurs sources d’inspiration, seront exposées à la Galerie Rouge de Pont-l’Abbé. Le vernissage de l’exposition aura lieu le vendredi 30 novembre à partir de 18 h 30 et la Galerie est ouverte, sur entrée libre, tous les jours de 10 heures à 12 heures et de 17 heures à 19 heures, en présence des élèves volontaires et de leur professeure
« Filles/garçons : égalité des chances ? » - une expo au lycée
Dans la continuité de la Journée internationale des droits des femmes du 8 mars, le lycée accueille une exposition du Musée national de l’éducation pendant tout le mois de mars.
Intitulée « Filles/garçons : égalité des chances », cette exposition est installée dans le bâtiment historique. Chacun peut donc la découvrir librement ou dans le cadre de ses cours, notamment en EMC (enseignement moral et civique) puisque le programme de la classe de 1re invite à travailler sur la promotion de l’égalité entre les hommes et les femmes.
Elle "traite des débats se rapportant à la démocratisation de l’enseignement du XIXe siècle à nos jours. Deux dimensions sont développées en parallèle : la démocratisation de l’école en fonction du milieu social des élèves et la prise en compte, notamment depuis une quarantaine d’années du sexe/genre des apprenants".
La perspective historique, au cœur de l’élaboration de l’exposition, permet ainsi de questionner la place et les rôles attribués à chacun à travers le temps, tout en abordant autrement cette thématique.
« Juliette au pays des embûches »
Une pièce de théâtre pour la prévention des chutes chez la personne âgée
Dans le cadre d’une action d’éducation à la santé, présentés par les terminale BAC PRO ASSP( Accompagnement Soins et Services à la Personne), la pièce de théâtre intitulée « Juliette au pays des embûches » se jouera le 5 décembre à 15h au lycée en salle Autret.
Elle sera suivie d’un débat avec des professionnels du territoire présentant les facteurs de la chute (ergothérapeute, kinésithérapeute, infirmière) et permettant des échanges avec le public.
Cette action a aussi pour objectif de créer du lien sur le territoire et de promouvoir les relations intergénérationnelles. Une collation clôturera la journée.
Ouvert à tous et gratuit.
« Rawa-Ruska » : une exposition dédiée à ce camp nazi méconnu
Rawa-Ruska : un camp de représailles créé par les Nazis, en Galicie (dans l’actuelle Ukraine), où sont morts de nombreux Français. L’exposition est présentée au CDI du 4 au 15 novembre.
Plus de 25 000 soldats ont été retenus prisonniers dans le camp de Rawa-Ruska (le Stalag 325). La plupart d’entre eux y ont été éliminés d’une mort lente, par la faim, le froid, la fatigue, la maladie.
Prêtée gracieusement par l’association "Ceux de Rawa Ruska et leurs descendants", l’exposition rend hommage aux détenus en illustrant les atteintes portées à la dignité humaine.
En évoquant, après une mise en contexte historique et géographique, les conditions de vie dans ce camp méconnu du grand public, elle permet à chacun de mesurer la déshumanisation à l’oeuvre durant la Seconde Guerre mondiale. Et elle nourrit la réflexion sur la négation de l’homme (thème au programme du Concours national de la Résistance et de la Déportation en 2016-2017).
Par ailleurs trois membres de l’association, Viviane Kervinio, Nelly Masseron et Yolande Fournier viendront témoigner, auprès des élèves, du sort subi par ces soldats, leurs pères.
A cette occasion, le film de Chochana Boukhobza, « Rawa Ruska, le camp des évadés », sera présenté, avant même sa diffusion à la télévision.
1 € pour Réo : opération « crêpes solidaires »
Afin de rénover le CDI du lycée de Réo au Burkina Faso, le lycée Laennec a décidé de lancer une opération « crêpes solidaires » pour récolter des fonds.
Le lycée Laennec vous propose de payer un peu plus cher votre repas de crêpes, afin de nous permettre de récolter des fonds dans le but de rénover le CDI du lycée de Réo. Cet établissement du Burkina Faso est en effet jumelé avec le nôtre. Son CDI a été détruit par des fuites dans les canalisations d’eau et est occupé par des chauves-souris.
Le but de cette opération est donc de les soutenir financièrement afin de redonner une nouvelle vie à leur CDI. Le GRETA est chargé de préparer les crêpes et vous accueillera afin de vous proposer un repas complet, au prix habituel de 7,50 €, plus 1 € au service de la solidarité internationale (que vous déposerez dans une caisse prévue à cet effet).
Nous vous attendons nombreux : n’hésitez pas à vous investir dans une noble cause et à réaliser une bonne action. Opération de Mars à Juin 2017.
10 lycéens au festival d’Avignon
10 lycéens de 1re du Lycée Laennec ont pu se rendre au festival d’Avignon du 8 au 12 juillet, avec leurs deux professeurs de Français, Murielle Goasmat et Yves Le Chevallier, dans le cadre d’une opération menée conjointement par le Conseil régional et le Rectorat de Rennes.
L’opération « Lycéens en Avignon » permet chaque année à plusieurs centaines de lycéens d’assister au Festival d’Avignon.
Elle a pour objectif de favoriser le rayonnement du théâtre dans l’institution scolaire et, grâce à un programme d’accompagnement artistique et pédagogique, de contribuer à la formation du spectateur à partir de l’expérience festivalière d’Avignon.
C’est dans ce cadre que cette année, 10 lycéens de 1re 1 et 2, qui ont suivi toute l’année un parcours du spectateur et participé à un atelier théâtre au mois de décembre, ont pu découvrir la ville d’Avignon et son prestigieux festival de théâtre.
Logés en plein centre-ville à l’école Mistral, et encadrés par les animateurs du CEMEA (Centre d’Etude des Méthodes d’Enseignement Actif), les 10 élèves de Pont-l’Abbé se sont retrouvés avec 30 autres lycéens bretons (des Lycées de Concarneau, Paimpol et Bruz) et ont partagé une semaine très riche en découvertes : visite de la ville et déambulation au milieu des spectacles de rue, rencontre avec une troupe de comédiens, découverte des spectacles du In et du OFF, échanges entre eux…
Tous les matins, les ateliers de pratique artistique leur ont permis de préparer les spectacles à venir, d’échanger leurs impressions de spectateurs et de faire part de leurs découvertes. Deux spectacles du IN étaient à leur programme : une magnifique représentation dans la carrière de Boulbon, d’un épisode du « Mahahbharata », mis en scène par Satoshi Miyagi (voir l’article d’Odile Quirot sur le Nouvel Observateur) ; et « Orlando ou l’impatience », une pièce d’Olivier Py, à la FabricA (voir l’article de Télérama).
Les lycéens avaient par ailleurs la possibilité d’assister à d’autres spectacles du OFF, et ils ont pu rencontrer les comédiens de la troupe rennaise Vertigo, qui présentait cette année la pièce « Mirror Teeth » d’un jeune auteur anglais, Nick Gille, satire de la société occidentale moderne et de son hypocrisie. Ils se sont par ailleurs enthousiasmés pour bien d’autres spectacles notamment une transposition sous forme interactive de « Dom Juan » par la compagnie Dynamythe, une troupe lyonnaise.
Enrichis par cette expérience, les lycéens ont manifestement eu du mal à se quitter, et ont particulièrement été sensibles à l’accueil extrêmement convivial de l’équipe du CEMEA qui les accueillait, que ce soit Margot, Annie, Cassandre, Laurence, Thomas ou Rémi, qui les a régalés le dernier soir d’un récital de ses propres compositions.
1er prix au concours académique « Une entreprise dans votre lycée »
Les élèves de 1re baccalauréat professionnel Comptabilité et de 2de CAP Agent Polyvalent de Restauration ont remporté le 1er prix du concours académique « Une entreprise dans votre lycée ».
Depuis l’année dernière, le lycée Professionnel Laënnec organise des projets pédagogiques autour des ruches et des abeilles. Cette année les élèves de première Baccalauréat Professionnel Comptabilité et de seconde année de CAP APR (Agents Polyvalents de Restaurations) ont décidé de participer au concours académique « Une entreprise dans votre lycée ».
– Sensibilisés aux problèmes du développement durable, ils ont créé une entreprise qui fabrique et commercialise, auprès des particuliers, des ruches « Warré », afin de protéger les abeilles noires de Bretagne.
– Aidés par M. BARBIER, responsable du service création d’entreprises à la CCI de QUIMPER, par M. DURANT, expert comptable et par M. OULHEN, délégué régional des SCOP du Finistère, les élèves ont réalisé un dossier pour créer leur entreprise « Tit’Ruche ».
– Mercredi dernier, ils ont présenté avec succès leur dossier lors de la finale du concours au lycée Colbert de LORIENT.
29/05/2013
2de 4 : « Terre à bonheur » d’après Guillevic
Un poème de Guillevic pour présenter les travaux des élèves de Seconde 4 en Français. Un travail d’écriture pour préparer l’objet d’étude sur la Poésie et une rencontre avec Alain-Gabriel Monot, au printemps, dans le cadre des « Journées de la mer et du littoral ».
Sphère suivi de "Carnac" de Eugène Guillevic, p.148
Tu regardes la mer Et lui cherches des yeux.
Tu regardes des yeux Et tu y vois la mer.
Dans un monde compliqué, violent, revenir à l’essentiel, à la beauté du monde qui nous entoure, tel était un des objectifs de ce sujet d’écriture dont vous trouverez le thème en deuxième page de ce recueil. Les élèves ont pris les photographies, ont écrit ces poèmes à la manière de Guillevic, poèmes qu’ils avaient lus et dont ils devaient s’inspirer. Un florilège, à la fin de ce recueil, montre la manière dont les élèves se sont impliqués dans ce projet, un réel plaisir de dire, d’écrire, de faire « voir » ce qu’était leur lieu de bonheur.
Et en présentation, les mots clés de leurs réalisations.
Armelle Le Gall
A la découverte du commerce équitable
A l’occasion de la Semaine de la Solidarité internationale (14-22 novembre 2015), les lycéens sont invités à réfléchir sur le commerce équitable.
Le hall du bâtiment historique accueille en effet une exposition présentée par Clément Sommier, un militant de l’association Bretagne CENS (Commerce équitable Nord/Sud). Composée d’affiches permettant de comprendre le fonctionnement de ce système d’échange qui se veut plus juste avec les petits producteurs, l’exposition cherche aussi à interpeller le visiteur sur ses pratiques et sa responsabilité de consommateur.
Pour mieux accompagner les élèves dans la découverte du commerce équitable, Clément Sommier intervient également auprès de trois classes de 2de.
Passionné par son sujet, il s’attache à faire comprendre l’importance du cahier des charges lié à la labellisation « équitable ». En contre-partie d’un prix un peu plus élevé, le consommateur sait que le produit acheté (jus d’orange, banane, café, chocolat, thé, coton,…) aura respecté un certain nombre de règles : que le producteur n’aura pas été exploité, qu’il aura été justement rémunéré, que la préservation de l’environnement aura été prise en compte, que les coopératives auxquelles appartiennent les petits paysans auront mis en oeuvre des mesures en faveur de l’éducation et de la santé, etc…
La semaine de la Solidarité internationale est également l’occasion pour les élèves de terminales de bénéficier d’informations sur l’engagement humanitaire, le bénévolat, le volontariat, les chantiers de jeunes, le service civique… Celles-ci sont délivrées par Gaëlle Queffélec, responsable du Point Information Jeunesse de Pont-l’Abbé. Sous la forme d’un débat mouvant, elle anime ainsi des échanges pour déconstruire les préjugés, ouvrir la réflexion des lycéens et leur faire prendre conscience de ce qu’implique tout engagement.
A la rencontre de héros de la Résistance
Invités à assister à une rencontre avec des héros de notre histoire, 17 élèves de 1re ES2 ont eu l’honneur d’entendre le témoignage du colonel Fred Moore et celui de cinq Résistants finistériens.
Dans le salon d’honneur de l’Hôtel de ville de Brest, sous la Présidence de MM. Jean-Luc Videlaine, Préfet du Finistère, Marc Coatanéa, vice-président du Conseil Régional, Marc Labbey, vice-président du Conseil Départemental, François Cuillandre, Maire de Brest, les lycéens ont eu l’occasion de découvrir des destins hors du commun.
Fred Moore : un parcours exceptionnel
Celui de Fred Moore d’abord : Chancelier de l’Ordre de la Libération, il s’est engagé le 1er juillet 1940 dans la France Libre, après avoir rejoint Londres, depuis Brest, le 19 juin. "Je n’ai pas entendu l’appel du général de Gaulle, le 18 juin, a-t-il confié, mais en revanche, en écoutant Radio Stuttgart, j’ai appris, par le speaker qui s’exprimait en français, qu’un rendez-vous était donné aux troupes de l’ex-général de Gaulle en mer avec leurs sous-marins. Je n’ai pas hésité."
Il a ensuite participé à l’opération de Dakar, avant de contribuer aux combats des Français Libres, à Beyrouth, en Égypte ou en Tunisie. Il est aussi des opérations de la libération de Paris au sein de la 2e DB. Il combat enfin dans les Vosges, en Alsace et accompagne sa division jusqu’au Nid d’Aigle de Berchtesgaden (résidence d’été d’Adolf Hitler).
Contre le nazisme, l’occupation et Vichy
Alain Bodivit, Marcel Clédic, Jean Huitorel, Alexis Le Gall ou Charles Paperon ont, quant à eux, expliqué comment le refus du nazisme, l’opposition aux discours et aux positions du Maréchal Pétain (« chaque mot de Pétain était un coup de poignard », selon Charles Paperon), la révolte contre l’occupation et ses interdits, l’indignation devant la collaboration ont motivé leur engagement dans la résistance. Il fallait se dresser contre ce qui portait atteinte à nos si précieuses valeurs, celles de la République : Liberté, Égalité, Fraternité.
Des messages forts à destination des jeunes
"Ce que vous avez de plus cher au monde, c’est la liberté. C’est comme l’air que vous respirez, vous ne vous rendez pas compte qu’il est là. Si vous n’avez pas d’air, vous mourez… cette liberté, il faudra la défendre« , tel est le message adressé par Alain Bodivit aux jeunes de 16-17 ans, soit l’âge qu’il avait au moment où il s’est engagé. »Vous ne réalisez pas la chance, le bonheur que vous avez de vivre dans un pays démocratique. Il faut y aller. Sinon, vous le regretterez. Il faut faire, oser« , n’a pas manqué de rajouter Alexis Le Gall, lui-même entré en résistance à 17 ans et demi. »Osez ! Posez-vous la question : pourquoi ? comment ? Chaque matin… Il ne suffit pas de s’indigner, il faut oser !", a poursuivi Charles Paperon.
Des témoignages conclus par Jean-Luc Videlaine, le Préfet du département : "l’entrée dans la Résistance constituait un acte individuel, un pas de côté, une sortie du troupeau, une « dissidence ». Mais cet acte n’aurait pas eu de portée politique, militaire, culturelle même, s’il ne s’était exprimé collectivement".
Autant de discours permettant aux élèves de s’interroger sur la valeur de l’engagement. La citation de Pablo Picasso par Marc Labbey, "Non, la peinture n’est pas faite pour décorer les appartements. C’est un instrument de guerre offensive et défensive contre l’ennemi« contribuera, quant à elle, à nourrir leur réflexion sur le sujet proposé cette année au concours, »Résister par l’Art et la Littérature".
ACTIONS CULTURELLES ET SCIENTIFIQUES
ACTIONS CULTURELLES et SCIENTIFIQUES
- Festival Etonnants Voyageurs : rencontre avec Azouz Begag, à Saint Malo, en mai, pour 28 élèves de 2de dans le cadre de l’enseignement d’exploration littérature et société (avec S. Coïc et D. Le Floc’h)
- Festival du Goéland Masqué de Penmarc’h : rencontre avec Sam Millar, écrivain, auteur de « polars » pour une classe de Bac Professionnel avec A. Moyou.
- "Le 21 mai 2013 : invitée par Mme Folliard, Mme Mariette Job, éditrice du Journal d’Hélène Berr, fait une conférence pour trois classes de 1re et les élèves de l’atelier-théâtre (ils ont préparé toute l’année un spectacle intitulé « Théâtre contre l’oubli » incluant de larges extraits du Journal d’Hélène Berr). Mme Job présente aux élèves l’œuvre de sa tante Hélène, disparue à l’âge de 24 ans au camp de Bergen-Belsen. "
- En octobre, rencontre organisée par S. Coïc et D. Le Floc’h pour les élèves de Littérature et Société avec Marc Ruscart, cinéaste, et producteur
- Rencontre avec Thierry Hancisse, Sociétaire de la Comédie Française, pour les élèves de Terminales L, à l’invitation de Mme Folliard.
- Rencontre avec deux comédiens de la troupe des Tréteaux de France pour deux classes de Première.
- Partenariat avec le Théâtre de Cornouaille pour 2 classes de 1re 1 et 2, qui ont assisté à 5 représentations (théâtre, danse cirque) et participé à un atelier avec leurs deux professeurs de Français M. Goasmat et Y. Le Chevallier ainsi qu’avec leur professeur d’EPS, Mme Monfort.
- Autres sorties théâtre pour les TL avec Mme Folliard, pour 4 représentations au Théâtre de Cornouaille.
- Pour les élèves de Littérature et Société, projection à Saint Malo (Festival Etonnant Voyageurs) d’un film de Samuel Collardey, Comme un lion et travail sur l’adaptation du Gone du Chaâba.
- Projection salle Autret, en décembre, pour l’ensemble des classes du lycée du film Good Bye lenin
- Visite du musée bigouden à Pont l’Abbé en Novembre avec la classe de 1re ASSPD et leur professeur de Français Sylvie Eugène sur « La Bigoudène » avec Mme Papail, professeur d’Art Plastique.
- Sortie de fin d’année au musée des beaux arts de Quimper et au cinéma pour la classe de CAP APR2
- Visite de l’exposition Claude Clovsky, au centre d’art contemporain de Quimper, avec les options art plastique en Octobre.
- Visites de l’exposition « abstraction manifeste » au centre d’art contemporain de Quimper pour les terminales, puis les 1res et secondes en art plastique.
Atelier Théâtre : Le groupe des participants à l’atelier théâtre animé par Chantal Pasquier a travaillé durant toute l’année autour du thème du « théâtre contre l’oubli ». Ce travail a donné lieu à trois représentations devant l’ensemble des classes du lycée le jeudi 30 mai.
Initiation à la pratique du théâtre : Deux ateliers de 2 heures en octobre pour les deux classes de 1re générale avec 2 comédiens de la troupe des Tréteaux de France venus jouer Ruy Blas.
Initiation aux arts du cirque : Avec Mme Le Berre-Almagrida et M. Delabarre, professeurs d’Eps, les élèves de 1re Bac Professionnel Electrotechnique, BIO-Industries et Comptabilité ont disposé de 7 séances (dont 5 avec un intervenant de l’association « Balles à fond ») pour s’initier aux arts du cirque.
- En 2de, intervention d’Alain Hénaff, universitaire, assisté de l’ingénieur Nicolas Guidicelli, sur l’évolution du cordon littoral dunaire, à l’initiative de M. Faou.
- Dans le cadre des « Cordées de la réussite », avec M. Buord, professeur de SVT, 4 élèves de 1re S, ont pu rencontrer des chercheurs et participer à leurs travaux.
ATELIER DE GRAVURE, Seconde ASSP - D
Avec les élèves de la classe de 2des AASP Domicile Accompagnés d’une artiste peintre et graveuse : MARIE HELENE DURAND -LAUDET.
Pendant 5 semaines, tous les vendredis matins, chacun a découvert à sa façon la technique de la linogravure : les étapes , les surprises, les déboires mais aussi bien évidemment les réussites, sous la bienveillance et les encouragement et l’oeil malicieux mais exigeant de l’artiste.
L’exposition retrace les différents moments de cet art passionnant où la discipline et l’aléatoire peuvent se côtoyer avec bonheur.
En parallèle, des oeuvres de l’artothèque de Brest ont été choisies pour présenter la grande diversité des modes de l’estampe.
Présentation de l’ensemble des travaux des élèves de Seconde ASSP D :
Angelina Beauguion Maxine Cariou Antonin Fauché Marie Fogeron Maria Nicoleta Istrate Youen Le Rhun Léa Lounissi Morgane Reymann Annaïck Stephan Loïc Tousdoux
Marie Hélène Durand– Laudet a réalisé une œuvre dans le cadre de ce projet et en a fait cadeau au Lycée René Laennec.
Ce projet a été réalisé en collaboration avec les enseignements de lettres et d ’arts appliqués Mme Trotte et Mme Papail– Le Breton. Il s’inscrit dans le champ d’étude « des goûts et des couleurs ».
Atelier théâtre pour les premières 1 et 2
Jeudi et vendredi 5 et 6 décembre, les deux classes de premières 1 et 2 étaient invitées à participer avec leurs professeurs, Emmanuelle Montfort, professeur d’EPS, Murielle Goasmat et Yves Le Chevallier, professeurs de Français, à un atelier théâtre autour de Cyrano de Bergerac, pièce qu’ils sont en train d’étudier et qu’ils iront voir le 23 avril à Quimper, dans le cadre d’un partenariat avec le Théâtre de Cornouaille, qui les amènera à voir en tout 4 spectacles. David Guyard, représentant du Théâtre de Cornouaille était également présent durant ces deux journées, après une première rencontre avec les deux classes en septembre pour une présentation des spectacles.
Deux membres de la troupe du metteur en scène Dominique Pitoiset, qui a mis en scène la célèbre pièce d’Edmond Rostand, animaient cet atelier. Il s’agit de Marie Favre, assistante à la mise en scène et Adrien Cauchetier, comédien. Tous les deux ont proposé, durant une journée entière pour chaque classe, différents exercices aux lycéens pour leur permettre d’approcher le métier de comédien, et d’essayer de se mettre en bouche le texte de Cyrano, dont deux tirades ont été plus spécialement étudiées.
Petits exercices d’échauffement physique d’abord, puis vocaux, exercices de déplacement dans l’espace ensuite afin de se mettre en condition, et enfin, des exercices de dynamique de groupe afin de se mettre en confiance et de permettre à chacun de fusionner au sein du groupe, le secret de la réussite au théâtre pour Marie Favre. Place au texte ensuite, avec des approches diversifiées : l’interprétation collective d’une tirade de l’acte II permet de travailler sur une approche chorale du texte, de travailler les gestes, les intonations, la coordination du groupe. Puis un travail sur la lecture de la célèbre déclaration d’amour de Cyrano à Roxane débouche sur la réalisation d’une séquence enregistrée en vidéo, chacun étant chargé d’interpréter une phrase ou un vers de cette tirade.
Convaincus semble-t-il par le dynamisme des deux comédiens et par l’approche qu’ils leur ont proposée, les lycéens ont pu ainsi découvrir une autre façon d’aborder un texte, et peut-être de se découvrir une vocation, d’autant que le spectacle de danse « hip-hop » vu (coïncidence) la veille au soir, Käfig Brasil, avait particulièrement enthousiasmé la plupart d’entre eux.
Ateliers d’origami au lycée des métiers
Ateliers d’origami proposés aux enfants de grande section de l’école MERVILLE de Pont L’Abbé par les 1re Bac professionnel ASSPS.
Les élèves de 1re Bac professionnel Accompagnement Soins et Services à la Personne ont proposé des ateliers d’origami aux enfants de grande section de l’école maternelle MERVILLE de Pont L’Abbé. Différents thèmes ont été abordés : Hallowenn, La nature, le printemps, l’automne, la savane, la mer.
La minutie, la patience, la concentration, l’entraide, Agréable, détente, … ont été des mots clefs de la matinée.
« Les élèves de Bac Pro ont travaillé sur cet art japonais depuis le début de l’année scolaire en montant des fresques dans les couloirs du lycée » explique Mme Foucaut, l’enseignante de Sciences Techniques Médico-Sociales et il était important pour les élèves de transmettre ce qu’elles ont appris durant cette période.
Les élèves de la classe de Mme Patricia Quenet, enseignante chez les Grande Section accompagnée de l’ATSEM Marie-Ange Riou et de 4 parents ont participé très activement à ces ateliers. Les enfants sont tous repartis avec un tableau réalisé par leur soin à l’aide des élèves de la classe de Mme Foucaut, enseignante STMS au lycée LAENNEC. Dorian, 4 ans ½ « j’ai beaucoup aimé le pliage », Sacha 5 ans « j’ai trop aimé faire un lion en papier mais c’était difficile car c’était dur de plier le papier plusieurs fois ».
« C’était sympa de leur apprendre certains pliages en origami que nous-mêmes ne savions pas faire il y a encore 2 mois. Il fallait en plus qu’on trouve des solutions pour garder leur attention » affirment les élèves de la section ASSP.
Capucine et Maya : de Laennec à Sciences Po
Alors que les lycéens sont de plus en plus attirés par les formations dispensées par les Instituts d’Études Politiques, deux anciennes élèves du lycée Laennec ont effectué, mardi 3 novembre 2020, une présentation de leur parcours post-bac, qui les a menées jusqu’à Sciences Po Grenoble.
Capucine Le Lay et Maya Laurens, détentrices d’un bac ES brillamment obtenu en 2018, sont en effet intervenues auprès de 27 élèves de 1re et terminale suivant l’enseignement de spécialité HGGSP. Les un(e)s déjà très déterminé(e)s quant à leur orientation et envisageant d’intégrer un IEP, les autres souhaitant, pour l’instant, seulement s’informer afin de construire leur projet de manière éclairée.
Mais tous ont pu bénéficier des conseils de Maya et Capucine qui n’ont pas manqué de partager leur expérience avec enthousiasme. Après le bac obtenu au lycée Laennec, elles ont en effet poursuivi leurs études en CPGE à Brest (en lettres - hypokhâgne - pour la première, en économie - ECE - pour la seconde) où elles se sont préparées plus spécifiquement au concours de Sciences Po Grenoble. Pour une réussite exemplaire. « Mieux vaut passer un seul concours bien préparé que quatre "à l’arrache !" », conseille Maya, qui se montre ravie de sa première année à Grenoble, « une ville étudiante, de taille modeste, très agréable à vivre et entourée de montagnes ». Capucine précisant même que « de n’importe quelle fenêtre de l’IEP, on a vue sur les montagnes, enneigées l’hiver ». C’est aussi « le seul campus à l’américaine de France ».
Actuellement en deuxième année, elles suivent leur cursus au sein d’universités à l’étranger, à Santiago du Chili pour Maya et à Bogota pour Capucine. Le contexte sanitaire les contraint cependant à participer aux cours à distance. Frustrant pour les jeunes femmes qui espèrent toutefois toujours que le second semestre sera plus propice à une mobilité internationale. Mais une aubaine pour les lycéens de Laennec qui ont ainsi pu profiter de leur témoignage, d’un retour d’expérience très enrichissant et de précieux conseils de méthode pour se préparer au mieux aux concours des IEP et à la formulation des dossiers sur Parcoursup.
Une manière aussi de démystifier les études à Sciences Po., trop élitistes et inaccessibles aux yeux de certains lycéens, et d’encourager la construction de projets d’orientation ambitieux. Il s’agit en effet de donner confiance à celles et ceux qui en manquent et qui estiment ne pas être en capacité de se destiner à de telles formations. « Osez ! » leur conseille implicitement Capucine.
Très soucieuses de transmettre aux actuelles promotions les mêmes types de conseils que ceux dispensés en son temps par Pambou Le Guellec, bachelier au lycée Laennec en 2016 et qui a lui-même intégré Sciences Po en 2018, Maya et Capucine se sont parfaitement acquittées de la mission qu’elles s’étaient fixée.
Merci beaucoup à elles deux !
Paroles d’élèves : « Mes impressions concernant cette intervention sont très positives : elles m’ont confortée dans mon projet d’orientation qui est d’intégrer une classe préparatoire aux grandes écoles littéraire comme a fait Maya, et, selon mes notes et ma capacité de travail de cette année, faire la prépa Tremplin en terminale afin de préparer l’entrée au concours Sciences Po ». (Clara)
Championnats de France UNSS de Surf / Bodyboard
Championnats de France de Surf à Seignosse
L’équipe du lycée composée de Gaël Prigent, Pierre-Yves Rannou, Morgan Portier, Benjamin Pirou et Irois Lambert en Jeune Officiel a terminé 7e dans la catégorie « excellence », qui regroupe les équipes de toutes les sections sportives Surf de France. Ce résultat est tout à fait honorable pour cette équipe composée d’élèves de seconde, qui n’a pas l’habitude de fonctionner ensemble. Elle a du potentiel et nous l’attendons l’an prochain ! La compétition a eu lieu à Seignosse dans les Landes du 2 au 4 Juin. Les conditions étaient quasiment parfaites : des vagues d’1m20 dans les séries qui déroulaient bien sous un ciel sans nuage. Merci à Téo Biglietti d’avoir permis à une équipe du Morbihan de participer à la compétition en se proposant d’être leur Jeune Officiel.
Comédie musicale au lycée Laennec
Comédie musicale « contes et légendes »
Au lycée Laennec, les quatorze élèves de première de la section ASSP (accompagnement, soins et services à la personne) ont joué une comédie musicale sur le thème « contes et légendes ».
Le spectacle a été donné dans la salle Autret devant une soixantaine de personnes, des enfants des grandes sections des écoles Merville et Sainte-Anne et des résidants des Ehpad de Pont l’Abbé.
Un pot de l’amitié à clos les festivités. Les élèves ont monté cet événement dans le cadre de leurs études. Cinq mois de travail ont été nécessaires pour réaliser cette mise en scène.
CONCOURS
CONCOURS
Rencontre avec deux anciens résistants en février, pour les 1re ES et les Terminales L/ES avec Mme Le Floc’h, professeur d’Histoire/Géographie.
En outre, la 1re ES a participé au Concours de la Résistance et de la Déportation, où deux élèves ont été récompensés.
Concours académique « Une entreprise dans votre lycée » : Tit’Ruche
Les élèves des classes de 1re Baccalauréat Professionnel et 2de Agent Polyvalent de Restauration présentent leur projet de création d’entreprise.
Isabelle Guilbaut et Anne Leroy responsables de l’organisation du concours « Une entreprise dans votre lycée » et David Durant, expert comptable, ont visité le ruché du lycée professionnel.
Les élèves leur ont présenté leur projet de création virtuelle d’une entreprise de production et de commercialisation de ruches de type Warré destinées aux particuliers : « Tit’Ruche ».
15/02/2013
Concours de la Résistance : 4 prix pour Laennec
La cérémonie solennelle, présidée par le préfet du Finistère, Jean-Luc Videlaine, s’est déroulée samedi 21 mai au pôle Per-Jakez Helias de l’UBO pour récompenser les lauréats finistériens : trois élèves du lycée étaient à l’honneur.
Une mention spéciale
Carla Ridel, Christina Le Pape et Ninon Vandekerchove (1re ES2) ont reçu un prix dans la catégorie des productions collectives audiovisuelles, prix assorti d’une mention spéciale pour l’excellente qualité du travail réalisé.
Trois récompenses pour Carla
Primée, tout comme Ninon, à titre individuel pour son devoir sur table - une composition et une analyse de documents - et pour la production audiovisuelle collective, Carla a, en outre, obtenu un prix spécial décerné par l’APHG (Association des Professeurs d’Histoire-Géographie). Mais, en raison de son absence, ce sont ses camarades qui, tour à tour, ont reçu ces prix en son nom, en plus de ceux qui leur étaient attribués.
Concours de la Résistance : trois lauréates à Laennec
Carla Ridel, Ninon Vandekerchove et Christina Le Pape, élèves de 1re ES2, ont en effet obtenu une récompense pour leur travail collectif et, pour les deux premières, un prix chacune pour leur devoir individuel.
Une mention spéciale
Alors que 55 élèves de deux classes du lycée - le groupe 1 de Littérature & Société et la 1re ES2 - concouraient, cette année, sur le thème de la « Résistance par l’Art et la Littérature », Carla, Christina et Ninon ont été primées pour la production qu’elles ont réalisée toutes les trois.
Fruit d’un riche travail de recherche, d’une réflexion approfondie et d’un important investissement, leur vidéo de 38 minutes sur les écrivains résistants a particulièrement séduit les membres du jury départemental.
Elle les a conduites à s’interroger, non seulement, sur les conditions difficiles de la production artistique entre 1940 et 1945, mais aussi sur les valeurs et les messages véhiculés par les écrivains (d’Éluard à Vercors, en passant par Aragon ou encore les Bretons Jean Guéhenno et Louis Guilloux). Les élèves ont également mis en lumière les risques encourus par les artistes pour imprimer et diffuser clandestinement leurs oeuvres.
Un travail d’une qualité remarquable et remarquée, au point de se voir décerner une mention spéciale.
Deux prix individuels
Parmi 14 élèves volontaires, Carla et Ninon se sont aussi, par ailleurs, illustrées dans l’épreuve de 1re catégorie (« rédaction d’un devoir individuel en classe ») pour leurs très bonnes compositions sur les motivations des artistes, les formes prises par leurs oeuvres et les valeurs défendues.
Les trois élèves recevront leurs récompenses le samedi 21 mai 2016, au cours d’une cérémonie solennelle présidée par le préfet du Finistère. Un voyage au Musée de la Résistance de Saint-Marcel est également prévu par le Comité départemental.
Félicitations à Carla, Christina et Ninon !
CONCOURS DU MEILLEUR APPRENTI DE FRANCE
CONCOURS DU MEILLEUR APPRENTI DE FRANCE
Mardi 16 juin 2015, Edwin SINOU et Florent PELETIER, élèves de Baccalauréat Professionnel E.L.E.E.C. du lycée des métiers, ont reçu leur médaille d’argent ainsi que leur diplôme en récompense de leur travail lors le concours départemental du Finistère « Un des Meilleurs Apprentis de France » métier électrotechnique, organisé par la Société nationale des Meilleurs Ouvriers de France.
Leur médaille leur a été remise dans les locaux du campus des métiers de Brest par les représentants des meilleurs ouvriers de France en présence de nombreuses personnalités, de leur famille et de leur professeur.
Cette médaille vient récompenser l’implication personnelle de ces deux élèves dans leur formation.
Concours général des lycées : Ninon Vandekerchove récompensée
Alors qu’elle concourait, en compagnie de quatre autres élèves du lycée Laennec, pour le prestigieux concours général des lycées, qui rassemblait 15 445 candidats, Ninon y a obtenu le 2e accessit en géographie.
En cette année 2015-2016, le lycée présentait quatre lycéens de terminale pour concourir en mathématiques, physique-chimie, sciences de la vie et de la terre et philosophie, tandis que Ninon était la seule élève de 1re retenue en composition française, histoire et géographie.
Un concours sélectif et prestigieux
Selon le communiqué officiel du Ministère de l’Éducation nationale, « le concours général des lycées et des métiers distingue les meilleurs élèves des lycées d’enseignement général, technologique et professionnel. Il valorise des travaux qui peuvent servir de référence à l’ensemble des classes, tout en suivant l’évolution de l’éducation nationale. Les candidats composent sur des sujets conformes aux programmes officiels mais dans le cadre d’épreuves plus exigeantes et plus longues que celles du baccalauréat. La cérémonie de remise des prix du concours général a eu lieu le jeudi 7 juillet 2016, en Sorbonne à Paris ».
D’illustres prédécesseurs
Né en 1744, lorsque l’Université de Paris l’institue, à l’initiative de l’abbé Legendre, le concours général ne s’est ouvert aux élèves de province et aux filles qu’en 1924. Depuis 1981, il concerne aussi les disciplines technologiques et, depuis 1995, certaines spécialités de l’enseignement professionnel.
Il compte parmi ses lauréats d’illustres personnalités comme Charles Baudelaire, Henri Bergson, Jules Michelet, Victor Hugo, Jorge Semprun, Jacqueline de Romilly, Eric-Emmanuel Schmitt, Marcellin Berthelot, Louis Pasteur, Jean Jaurès, Léon Blum ou Georges Pompidou.
Aménager les villes
C’est en composant, à l’aide d’un corpus documentaire, sur l’espace urbain français (« Aménager les villes pour réduire les inégalités sociales et spatiales : enjeux, moyens, résultats ») que Ninon s’est illustrée.
Son remarquable travail se classe juste derrière ceux d’élèves issus de prestigieux lycées parisiens (notamment Henri IV aux deux premières places, et Janson-de-Sailly, 3e).
L’excellence n’est pas donc pas l’apanage des seuls établissements de renom. Ninon en a fait la preuve. Félicitations à elle !
Le 15 septembre, le lycée organisait une petite cérémonie, afin de congratuler officiellement Ninon. En présence de ses camarades et de ses enseignants, elle recevait les félicitations nourries du Proviseur, auteur d’un discours très élogieux sur une lycéenne à la réussite scolaire exemplaire et à l’engagement remarquable au sein de l’établissement, sur « une élève brillante et discrète, curieuse et ouverte d’esprit ».
CONCOURS PRESSE « Faites la Une ! »
25e Semaine de la Presse et des Médias dans l’Ecole : Concours « Faites la Une ! »
Dans le cadre de la 25e Semaine de la Presse et des Médias dans l’Ecole, les élèves de 2des Littérature et Société groupe C du Lycée Laennec de Pont-l’Abbé ont participé au concours « Faites la Une ! » ouvert à tous les élèves de l’académie de Rennes.
Pour ce concours, l’agence AFP de Rennes a mis à la disposition des participants un corpus de dépêches, d’images d’actualité et d’infographies de presse, téléchargeables à partir du site du CLEMI Bretagne.
Les élèves ont élaboré la Une de leur journal imaginaire.
Conférence au Lycée Laennec sur le journal d’une jeune Résistante, Hélène Berr.
Jeudi 17 mars, les trois classes de 1re L et Es du lycée Laennec ainsi qu’une classe de troisième du collège ont pu assister à une conférence sur le « Journal d’Hélène Berr », animée par Mme Mariette Job. Nièce de l’auteur, Mariette Job a expliqué au public lycéen qui était Hélène Berr, une jeune française juive arrêtée et déportée en 1944 qui mourra au camp de Bergen-Belsen, et comment elle a fini par publier en 2008 son journal qui était resté longtemps un document confidentiel au sein de sa famille.
Convaincue de ses qualités littéraires, ainsi que de sa valeur exceptionnelle de document historique sur la période de l’occupation en France, Mariette Job a fini par convaincre un éditeur de publier le manuscrit qui a remporté aussitôt un succès considérable dans le monde entier. Il a en effet été publié en 26 langues à l’heure actuelle et a été vendu à des centaines de milliers d’exemplaires.
Les élèves des quatre classes, qui pour la plupart avaient déjà travaillé sur le « journal » ont tous écouté avec beaucoup d’attention la conférencière. Celle-ci leur a d’abord raconté les difficultés qu’elle a connues avant de pouvoir publier cette œuvre, notamment quand il a fallu retrouver le manuscrit resté en la possession de l’ancien fiancé de la jeune femme, qui l’avait gardé précieusement.
Mariette Job a su leur faire entendre la voix de cette jeune fille de 21 ans en 1942, brillante étudiante en anglais à la Sorbonne, qui raconte au début de son texte sa vie quotidienne relativement insouciante de jeune fille appartenant à un milieu privilégié, mais qui va vite voir l’étau se resserrer autour d’elle et de sa famille avec notamment l’arrestation de son père, envoyé à Drancy puis libéré sous caution momentanément, alors qu’il était médaillé de la grande guerre et donc théoriquement « protégé ».
Hélène Berr va tenir ce journal d’avril 1942 à février 44, jusqu’au moment où elle et ses parents, probablement dénoncés, vont être arrêtés, puis envoyés en déportation. Hélène raconte tout : le port de l’étoile, la rafle du Vel d’Hiv, les mesures vexatoires anti-juives, les réactions de la population qui ne comprend pas toujours ce qui se passe, les arrestations qui se multiplient, les familles qu’on arrête et dont on va chercher les enfants en nourrice, les « petits » dont elle s’occupe et qu’elle essaie de sauver en les envoyant clandestinement se cacher. Elle savait qu’elle risquait à tout moment de se faire arrêter et avait confié ses feuillets à la cuisinière de la famille. Elle meurt en mai 1945, après avoir été évacuée d’Auschwitz, juste avant la libération du camp de Bergen-Belsen.
Avec cette œuvre, elle laisse aux générations actuelles un témoignage de premier ordre mais aussi une réflexion qui reste très actuelle et dont Mariette Job a su faire partager l’intérêt avec les lycéens.
Mariette Job au premier plan, présentée par M. Le Chevallier. (Sur l’écran, le portrait d’Hélène Berr)
De la Résistance à la Déportation : des témoignages exceptionnels
A l’invitation des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation, dix élèves de 1re ES2 ont rencontré une éminente Résistante, déportée dans le camp de Ravensbrück : Marie-José Chombart de Lauwe.
Coorganisée par l’AFMD 29 et le Comité départemental du Prix de la Résistance, cette après-midi à Saint-Martin-des-Champs s’inscrivait dans le cadre de la préparation du Concours national de la Résistance et de la Déportation 2017, auquel la classe de 1re ES2 et le groupe 1-2 de Littérature et Société participent en 2017.
L’occasion pour les élèves de rencontrer cinq glorieux Résistants : outre Marie-José Chombart de Lauwe, Alain Bodivit, Marcel Clédic, Jean Huitorel et Alexis Le Gall ont également apporté leur témoignage, ainsi que des proches (soeurs, filles et fils) de déportés. Des témoignages forts, accompagnés de messages à la jeunesse, d’appels à la vigilance : « méfiez-vous de la haine raciste qui peut naître banalement. Il faut être attentif, se regrouper, être capable de dire non ! » (MJ Chombart de Lauwe)
Des récits accompagnés de la découverte de dessins d’Henri Gayot et de Maurice de la Pintière pour préparer au mieux le concours de la Résistance sur le thème de la « négation de l’homme dans l’univers concentrationnaire nazi ».
Paroles d’élèves
« Cette rencontre avec Marie-José Chombart de Lauwe m’a beaucoup touchée. Son histoire, son combat pour la Liberté étaient poignants. D’autres hommes et femmes, engagés dans la Résistance ou proches de victimes de la Déportation ont également témoigné. Ils nous ont transmis leur amour pour la France et pour la Liberté. Ainsi Alain Bodivit (engagé dans la Résistance à l’âge de 17 ans, notre âge !) a-t-il tenu à nous livrer le message suivant : « La Liberté, c’est ce que vous avez de plus précieux. C’est comme l’air, quand on en a, on n’y pense pas, mais quand on en manque, on étouffe ! » » (Capucine)
« Cet après-midi nous a permis de découvrir certains aspects des camps que l’on ne connaissait pas, de les découvrir sous un autre angle qu’en cours : avec des personnes qui ont vécu cette période, qui se sont battues dans la Résistance et qui ont connu les camps pour certains, ce qui rendait cette rencontre très touchante. Je pense qu’il est important d’écouter ceux qui ont vécu la guerre car il y en a de moins en moins et ils ont un message essentiel à nous faire passer. Marie-José Chombart de Lauwe nous a ainsi mis en garde : Méfiez-vous de la haine !" » (Klervi)
« Une rencontre qui nous a davantage permis de nous rendre compte de la réalité de l’époque. Impressionnante par la volonté de témoigner des anciens Résistants et leur force de vie. Je retiens notamment le message d’Alexis Le Gall : " Vous avez le plus joli pays du monde : défendez-le !" » (Maya)
« Une magnifique rencontre, très forte en émotions. J’ai eu le sentiment de me sentir utile et de contribuer au devoir de mémoire ». (Claire)
« Une rencontre très instructive. Une vraie leçon de vie de la part de chacun. Cette conférence était très émouvante avec les témoignages de ces personnes. » (Emma)
« C’est important de parler régulièrement de cette période pour rappeler l’atrocité qu’ont vécue ces personnes qui nous ont livré des témoignages très intéressants, instructifs et émouvants ». (Alicia)
"Une belle leçon d’humanité qui m’a permis de mieux comprendre l’Histoire. Sincèrement, merci pour ces touchants témoignages ! « (Laurie) »Des témoignages touchants, intéressants, enrichissants.« (Noriane) »Je me suis toujours intéressée à l’expérience vécue par les déportés. Ce témoignage m’a permis de mieux comprendre et d’enrichir mes connaissances.« (Judicaëlle) »Ces témoignages nous ont fait comprendre et réaliser ce qu’il s’était passé pendant la guerre. C’était très touchant." (Enora)
Deciday ! pour la classe de 2de 6
Dans le cadre de l’orientation Seconde et du dispositif DECIDAY, le CFA de QUIMPER est intervenu lundi 21 janvier 2019 dans la classe des Seconde 6, de 8 heures à 10 heures.
Un formateur du CFA et un maître d’apprentissage, chef-cuisinier à Domicile ont présenté les formations en apprentissage, du CAP à Bac + 5 sur le Campus des Métiers à Quimper.
Ce fut l’occasion pour les élèves d’enrichir et approfondir leurs connaissances sur le monde professionnel, les réformes qui se mettent en place, les compétences requises.
Ils ont ainsi pu dialoguer sur des attentes communes, élargir leurs horizons pour donner du sens à leurs études.
D’autres adultes pour leur dire aussi l’importance d’une formation tout au long de la vie, se montrer curieux, ouverts et acteurs de leur orientation.
Ce fut un beau moment durant lequel les élèves se sont montrés attentifs.
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Deciday ! La journée nationale des métiers de l’Hôtellerie, de la Restauration, des Loisirs et des activités du Tourisme
Dernière séance pour l’AS Surf
Dernière séance de l’AS Surf
Mercredi 18 Juin a eu lieu la dernière séance de l’AS Surf. Le soleil était au rendez-vous, on ne peut pas dire la même chose pour les vagues…elles étaient vraiment petites. Programme adapté : longboard et paddle-board pour réussir à prendre les petites rides et compétition de sauvetage avec application pour les non-tricheurs d’une technique de sauvetage avec la planche. Malgré une deuxième piqûre de vive pour Jeanne, la journée s’est bien passée !
Des auteurs de littérature noire au lycée
Grâce au partenariat qui lie le lycée Laennec au festival de littérature noire de Penmarc’h, « Le Goéland masqué », l’établissement accueille régulièrement des auteurs de « polars ».
Cette année, à l’initiative de Mme Moreno, deux auteurs espagnols, Carlos Salem et Carlos Zanon, sont intervenus le jeudi 12 mai : conférence et questions/réponses en salle Autret le matin, ateliers d’écriture au CDI le reste de la journée. (élèves de 1re de la section « euro espagnol »)
Toujours le jeudi 12 mai, mais dans l’après midi cette fois, ce sont les élèves de seconde de l’option « Littérature et société » de Mmes Coic et Coloigner qui ont rencontré Marin Ledun.
Enfin, le vendredi 13 mai, ce sont les élèves de 2de 6 de M. Le Chevallier qui ont dialogué, deux heures durant, avec l’auteur marseillais Gilles Del Pappas.
Des élèves avec une âme de poète
La classe de première STMG1 a pratiqué un atelier d’écriture poétique en compagnie de Louis Berthelom, poète quimpérois. Nous avons mis le cap sur la baie d’Audierne afin de prendre le temps de collecter des images, des sensations, des impressions qui ont servi de matière à la création poétique. Les textes ont été travaillés et mis en voix sur plusieurs séances. Cela a été l’occasion d’une vraie réflexion sur l’écriture poétique et la poésie contemporaine.
Mme Gouletquer
Des élèves de seconde au Festival « Etonnants voyageurs » de Saint-Malo
Un groupe de 17 élèves de seconde, qui suivent l’option « Littérature et société » a rencontré David Fauquemberg, l’auteur de Mal Tiempo}}}.
Cette rencontre avait été précédée d’un travail à partir de ce roman : sous la houlette de Mmes Coic et Coloigner, les élèves ont rédigé un Carnet de bord (sous forme de magazine) Ce travail a été très apprécié par le jury du Festival, puisque les lycéens ont emporté l’un des quatre « coups de cœur » attribués.
Les élèves sont revenus de Saint-Malo avec de nombreux livres destinés au CDI.
Des lycéens à l’honneur
Champions de France, lauréats de concours, impliqués dans des projets majeurs, plusieurs élèves étaient mis à l’honneur au lycée Laennec le 8 juin.
En cette fin d’année, et avant même les épreuves du baccalauréat, le Proviseur, M. Aymerich, a tenu à féliciter tous les élèves, du lycée général et technologique ou du lycée professionnel, qui se sont particulièrement distingués cette année.
Des lauréats de concours
Alors que Frédéric Le Bihan de 2MELEC a remporté une médaille d’argent régionale au prestigieux concours des meilleurs apprentis de France, Jeanne Pellen de 1re ES2, quant à elle, a été récompensée au concours de la Résistance et de la Déportation. Le groupe de littérature & société de 2de 1 & 2 y a également reçu un prix du jury.
Ce sont aussi les élèves de 1re S qui se sont engagés, avec succès, dans les cordées de la réussite CAR (Confiance Ambition Réussite en Sud Finistère) : Nolwenn Quéré, Donovan Joncour, Eve-Anne Gate, Morgan Chabaud, Lisa Jégou et Camille Bonizec ont ainsi pu bénéficier de rencontres avec des tuteurs de l’enseignement supérieur pour explorer des domaines pointus, tout en s’initiant aux démarches scientifiques du monde de la recherche. Leur travail aboutissant à la réalisation d’un poster.
La tête et les jambes
L’équipe féminine d’athlétisme s’est, de son côté, brillamment qualifiée pour les championnats de France UNSS qui se déroulaient à Châteauroux. Elle était composée d’Aline Gléhen Robic, Nina Ponza, Floriane Ponza, Julia Barchasz, Abigaël Corban et Angèle Daniel. Lors de cette petite cérémonie, Monsieur Aymerich a également félicité Guillaume Dupouy, Lee Le Gall et Baptiste Conry pour leur performance en badminton.
Des champions de France à Laennec
Et pour clore l’année en beauté, ce sont les surfeurs qui sont, pour la première fois, devenus champions de France, sur leur spot de La Torche, dans la catégorie « lycée excellence ». Bravo à William Le Meur dont le rôle a été essentiel en qualification, ainsi qu’à Ozvan Masseron, Théo Julitte, Titouan Canévet et Corentin Clec’h, sans oublier les jeunes officiels, Alice Le Guénic et Greg Limelette, qui ont porté haut les couleurs du lycée Laennec.
Félicitations à tous ces élèves qui, chacun à sa manière, ont brillé lors de cette année scolaire.
Des surfeurs respectueux de l’environnement
Comme chaque année depuis 2011, une équipe de surfeurs du lycée se sont attelés, lors de la trêve hivernale, à un chantier nature sur les dunes de la baie d’Audierne.
Guidés par Grégory Thomas, garde du littoral à la Communauté de Communes du Pays Bigouden Sud (CCPBS), accompagné par Emmanuelle Monfort, professeur d’EPS, Greg, Samuel, Manon, Margaux, Alexis, Jeanne, Anja et Martin - 8 des 16 surfeurs de la section surf du lycée - ont contribué, cet hiver, au nettoyage et à la protection de la dune.
Ramasser les déchets d’échouage
Leur action s’est déroulée pendant trois vendredis après-midis de ce début 2016. Le premier après-midi, ils ont ramassé des déchets d’échouage au niveau de l’exutoire sud de la Torche. Ils ont eu fort à faire, les détritus abondaient. Plusieurs mètres cubes ont ainsi été enlevés. Par une telle action, les lycéens ont été sensibilisés à cette problématique, véritable source de pollution pour les dunes et pour notre environnement en général.
Protéger la dune
Les deux après-midis suivants ont été consacrés à la protection d’une zone fragile dans la dune entre La Torche et Tronoën. Cette zone avait déjà été renforcée en 2012 par leurs prédécesseurs. Leur travail avait d’ailleurs porté ses fruits, comme on peut le voir sur les photos comparatives ci-dessous :
En quatre ans, du sable s’est accumulé en arrière des ganivelles jusqu’à les recouvrir entièrement au milieu de la brèche. Les oyats plantés ont poussé et fixent la nouvelle dune. En revanche, sur la gauche des ganivelles, le vent a continué son œuvre en élargissant le passage. Cette année, le travail sur cette zone a donc consisté à renforcer la nouvelle dune en installant des ganivelles et en plantant des oyats.
L’oyat, plante sauvage caractéristique des lieux, est utilisé pour fixer et pour stabiliser la dune qui reste un habitat fragile et un élément important de notre patrimoine naturel en pays bigouden sud. C’est pour cette raison que la dune fait l’objet de toute notre attention afin de la préserver des différentes formes d’érosions (naturelles ou liées à l’homme par le piétinement et l’escalade) qui sont répertoriées et qui font l’objet aujourd’hui d’actions de préservation menées par le Conservatoire du littoral et par la CCPBS, propriétaire pour l’un et gestionnaire de cet espace pour l’autre.
C’est ainsi que, si la ganivelle sert à piéger le sable, elle permet également, par sa hauteur, de dissuader les promeneurs d’escalader la dune et d’utiliser des sentiers parallèles qui la déstabilisent. Son intérêt est donc crucial.
En restant sur les sentiers déjà existants et en respectant les mesures de sauvegarde, vous contribuez à la protection de cet espace naturel unique en Bretagne. C’est le message délivré au cours de ces chantiers nature qui sont également l’occasion de sensibiliser le jeune public au bon comportement à observer à travers donc des actions concrètes.
Des voyages photographiques
Du 6 novembre au 16 décembre 2014, le CDI propose une exposition de photos issues des collections de l’Artothèque de Brest : Cette exposition « nous invite à flâner auprès des photographes voyageurs. Certains photographes nous proposent des moments de rêveries où la rue, les paysages deviennent les ateliers de l’imaginaire, des lieux où il est possible de saisir des images à partir des formes et de la lumière. D’autres nous livrent des images proches du journal photographique sur les traces d’écrivains mythiques. »
Avec des œuvres de : Edouard Boubat, Balthasar Burkhard, Nicolas Comment, Thierry Girard, Didier Olivré, Richard Pak, Ernest Pignon-Ernest, Jean-Loup Sieff…
Discriminations : un jeu créé par les élèves de 2de 4
Dans le cadre des cours d’Enseignement Moral et Civique (E.M.C.), 23 élèves de 2de 4 ont adapté le jeu « Un pas en avant », sous la houlette de Gaëlle Queffélec, responsable du Point Infos Jeunes de Pont-l’Abbé.
Amorcée par l’animation « Mondiorail », la séquence pédagogique visait à montrer que nous avons tous des préjugés et que nous nous fondons sur des stéréotypes. Il s’agissait ainsi de prendre conscience des inégalités et des nombreux facteurs de discriminations qui existent.
Mondiorail : prendre conscience de nos préjugés et de nos représentations stéréotypées
« Vous allez prendre un train pour un long périple à travers le monde. Vous êtes dans une gare où il fait chaud, il y a beaucoup de monde, c’est la cohue. Le train arrive, tout le monde se précipite. Les places ne sont pas attribuées et il faut que vous choisissiez rapidement le compartiment où vous allez voyager ». Voilà la mise en contexte proposée par Gaëlle Queffélec. Au sein d’une liste qui leur est ensuite soumise, les élèves doivent, d’abord individuellement, puis en petits groupes de 7 ou 8, choisir à côté de qui ils préfèreraient ne pas voyager et, à l’inverse, qui ils accepteraient volontiers comme voisins.
Une première étape qui a pour objectif principal de lancer la discussion, le débat, de décrypter les préjugés et de s’interroger sur les représentations que chacun de nous peut avoir. Chaque groupe est alors libre de mettre en oeuvre la stratégie de son choix pour aboutir à un consensus. Très rapidement, la voie démocratique est privilégiée par tous, avant un débriefing effectué en commun.
Un pas en avant : luttons contre les discriminations
La seconde étape consiste en la création de personnages par les élèves. Munis de la liste officielle des 20 critères de discrimination fixés par la loi, ils doivent inventer un profil pour 3 ou 4 personnages fictifs. Chaque profil est étudié, sous la forme d’un débat, en classe entière. Il ne faut pas trop en dire, afin de laisser libre cours ensuite à l’imagination des personnes qui se prêteront au jeu. Il est également conseillé de ne pas retenir trop de critères de discrimination pour un seul personnage.
Tester le jeu de rôle
Dans une dernière étape, les élèves testent le jeu ou le proposent à d’autres pour mesurer la pertinence des profils qu’ils ont créés.
En tirant une carte au hasard, chacun se met dans la peau du personnage que le sort lui a attribué. Quelques élèves endossent le rôle d’animateurs. Ils aident leurs camarades à imaginer l’histoire, le passé, les envies, les difficultés, la vie de ce personnage.
Vient enfin le jeu : alignés, les participants écoutent les animateurs énoncer une situation. S’ils sont en mesure de répondre « oui », ils avancent d’un pas. Dans le cas contraire, ils ne bougent pas. Cela témoigne de la discrimination dont est victime leur personnage à leurs yeux.
Le débriefing se fait au fur et à mesure. Pourquoi as-tu avancé ? Pourquoi n’as-tu pas bougé ? Le joueur interpellé doit argumenter, sans dévoiler le profil de son personnage. A la fin de l’animation, quelques élèves (ceux qui ont le plus et le moins avancé) lisent leur carte Profil et présentent en quelques mots le personnage tel qu’il l’avait imaginé. L’occasion de débattre et de réfléchir ensemble aux inégalités et aux discriminations.
Eco-gestes : Laennec se mobilise
Dans le cadre de la Semaine européenne de réduction des déchets, qui se déroulera du 16 au 24 novembre, nous nous mobilisons dans la lutte contre le changement climatique et en faveur de la biodiversité.
Les éco-délégués se sont réunis le jeudi 7 novembre 2019, en présence de Mme Lamy, Proviseure du lycée, et de Mmes Paoletti, CPE, Caplier et Le Floc’h, professeures, afin d’impulser une dynamique collective « éco-citoyenne ».
Ce projet implique une mobilisation de l’ensemble des lycéens. C’est pourquoi en tant qu’éco-délégués, nous avons l’intention d’intervenir dans nos classes respectives la semaine du 18 au 22 novembre 2019.
Il s’agira de présenter les actions engagées, sur lesquelles nous avons déjà eu une réflexion :
- Le recyclage des mégots : deux éco-délégués doivent contacter des associations pour obtenir des devis sur le prix de cendriers spécifiques et connaître la procédure de ramassage. L’objectif étant qu’il n’y ait plus aucun mégot par terre aux alentours du lycée.
- Distributeur de boissons : demander le remplacement des gobelets en plastique. Deux éco-délégués doivent contacter l’entreprise qui gère les distributeurs pour réaliser des devis sur des gobelets en carton.
- Evoquer, au self, la notion du gaspillage au réfectoire. Un éco-délégué participera à la commission repas du 21 novembre avec le chef cuisinier pour aborder cette problématique.
- les étudiants de BTS mèneront une action 3 en 1 : ils s’engagent à ramasser, à collecter, puis à faire recycler les bouteilles en plastique. Les bouchons seront remis à l’association Breizh 29 pour l’opération « Un bouchon, un sourire » qui vise à financer des appareils médicaux pour les personnes handicapées.
La somme récoltée avec le recyclage des bouteilles sera reversée au collectif Pont-l’Abbé Solidarité Internationale. Un éco-geste pour deux opérations solidaires.
Puis, sur du plus long terme, nous souhaiterions engager une action de plus grande ampleur. Il s’agit de relever un défi collectif afin de nettoyer notre environnement, en ramassant des déchets sur le site de la Torche. Pour cela, nous impliquerons les acteurs locaux : Ecole de surf (organiser un relais par équipe ; défi de l’équipe qui aura ramassé le plus de déchets en partenariat avec le POLE et Le CLE). Nous contacterons des Associations (un Air de Terre). Nous proposerons une animation sur le site (bijoux et objets confectionnés, œuvres d’art, avec les déchets ramassés).
Nous contacterons également des artistes du coin afin d’accompagner notre démarche. Enfin, nous envisageons de demander à une personnalité de parrainer notre action pour la portée médiatique.
Nous souhaiterions que cette action se déroule un mercredi après midi au mois d’avril (date à définir) sur le site de la Torche, afin qu’il n’y ait pas d’impact sur le déroulement des cours et pour avoir le temps d’organiser cet événement.
Durant la semaine du 18 au 22 novembre 2019, les éco-délégués interviendront dans leurs classes respectives pour présenter et expliquer tous ces projets aux élèves et recueilleront toutes les idées nouvelles, afin que chacun puisse se mobiliser autour de cette initiative en faveur de la préservation de la biodiversité et de la lutte contre le réchauffement climatique.
Ecriture : oeuvres de l’Artothèque de Brest
« Toutes les lettres ont d’abord été des signes et tous les signes ont d’abord été des images. » Victor Hugo
Certains peintres contemporains ont choisi ce va et vient constant entre l’image et le signe. Est-ce la fascination de la dimension spirituelle et de la grande maîtrise du tracé de l’écriture dans la calligraphie orientale qui a influencé leur démarche ? L’exposition proposée au CDI offre des approches variées de la place de l’écriture dans l’œuvre ; soit comme un équilibre entre le sens et l’image soit en tant qu’impact visuel définitif du signe dans la surface du tableau.
Elèves et journalistes contre la désinformation.
A l’occasion de l’intervention au lycée Laennec, le 13 janvier, de l’ancien rédacteur en chef délégué d’Ouest-France, Alain Peudenier, accompagné d’Anaëlle Berre de la rédaction de Pont-l’Abbé, nos grandes reporters, Inès Le Page et Marie Chevalier, sont allées à la rencontre des journalistes présents, ainsi que des élèves des classes de 1re suivant la spécialité Histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques.
Cette conférence avait pour objectif d’apprendre aux élèves à distinguer le vrai du faux dans les flux d’information mais aussi à se méfier des théories du complot qui circulent sur Internet.
« Sans l’information, nos vies sont impossibles »
Une information est un fait vérifié ou vérifiable mais c’est avant tout l’action de faire connaître. Elle nous sert à comprendre le monde dans lequel nous vivons mais aussi à éclairer nos choix ainsi que nos décisions, « sans l’information, nos vies sont impossibles », comme l’a souligné A. Peudenier. L’information est fabriquée par les agences de presse (AFP, AP, Reuters) puis par les journalistes qui diffusent les informations par le biais des journaux, de la radio, de la télé. Grâce au développement d’internet, et par extension des réseaux sociaux, toute personne peut maintenant fabriquer de l’information.
« Le piège des hameçons attentionnels »
Internet engendre une diffusion massive d’informations aidé par les algorithmes et les « hameçons attentionnels ». Cela crée de la peur et des conflits et, par conséquent, une exposition plus importante à de fausses informations. Ces fausses informations se diffusent et créent une méfiance envers toute parole institutionnelle (journalistes, gouvernement, enseignants…). Notre reporter Inès partage son opinion sur la conférence : « J’ai beaucoup apprécié l’intervention d’Alain Peudenier, ce fut très intéressant. J’ai appris énormément de choses, comme par exemple la relation entre les agences de presse et les journalistes qui signent un contrat qui promet et assure la rapidité, la fiabilité et la neutralité de l’information transmise par l’agence. Le sujet des « fake news » ou « infox » m’a aussi fait beaucoup réfléchir… ».
Des infox pour manipuler l’opinion
Pour rappel, une infox est une information truquée, modifiée ou fabriquée de toute pièce dans le but de manipuler l’opinion publique, elle a pour objectif de répandre des idées politiques, de gagner de l’argent, de déstabiliser les États ou d’entacher des réputations… Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les fake news ne datent pas d’hier et étaient, dans le passé, bien plus présentes qu’à l’heure actuelle. Le sujet des infox se rapporte à celui du complotisme et des théories du complot…
« Le complotisme répond à un besoin profond de comprendre ».
Une théorie du complot est un contenu se voulant informatif attribuant l’existence d’un fait à un petit groupe de personnes généralement puissantes, riches et dominatrices, planifiant ou ayant planifié en secret une action néfaste au plus grand nombre. Nous pouvons combattre ces théories en nous demandant si l’information est signée, datée, sourcée, contextualisée et en étant attentifs aux « signaux complotistes », tels que l’utilisation d’expressions comme « le système » ou « on nous cache des choses »… Comme l’a dit François Dubet, sociologue français, « Le complotisme répond à un besoin profond de comprendre », ce qui explique son succès.
Nous avons demandé le ressenti de notre seconde reporter, Marie Chevalier : « Je me suis rendue compte grâce à cette intervention que j’ai moi-même été confrontée à des théories complotistes sans m’en être aperçue, comme par exemple la théorie selon laquelle la princesse Diana a été assassinée ou que le COVID-19 a été créé par les gouvernements afin de réduire la population mondiale. Je ne pense pas être la seule à être dans ce cas-là, c’est donc là que l’intervention d’Alain Peudenier prend tout son sens. Malgré tout, comme il l’a souligné, je pense qu’il ne faut pas tomber dans la paranoïa car les théories du complot sont rares, tout comme les infox d’ailleurs ». Mais comme « il n’est pas nécessaire qu’il y ait 51 % de complotistes pour mettre en danger la démocratie, il faut combattre le complotisme ».
L’objectif des journalistes est donc atteint : à travers leur intervention, ils ont sensibilisé les élèves aux dangers des fausses informations et des théories complotistes. En effet, ces informations truquées ou modifiées, même relayées par un petit groupe de personnes, sont aujourd’hui une menace pour les démocraties, et nous l’avons récemment vu avec les groupes bolsonaristes qui ont organisé, sur les réseaux sociaux, l’assaut du palais présidentiel de Brasília.
Dans l’optique de cette conférence, les élèves avaient préparé une enquête, auprès des lycéens de l’établissement, sur « les jeunes, les infox et le complotisme ». Durant son intervention, Alain Peudenier y a beaucoup fait référence. Retrouvez les résultats de l’enquête ici.
Nous remercions Alain Peudenier et sa collègue, Anaëlle Berre, pour leur intervention qui, nous en sommes sûrs, aura appris beaucoup de choses à tout le monde.
Interview d’élèves par d’autres élèves du groupe
- « On a pu découvrir le monde du journalisme et comment le complotisme peut-être un enjeu pour les démocraties. C’était intéressant, les informations étaient complémentaires à ce que je savais déjà. Alain Peudemier avait l’air passionné par son métier, ce que je trouvais captivant. » (Reem, 1re G4)
- « Aujourd’hui je me rends compte qu’il est essentiel de vérifier les informations qui sont relayées sur les réseaux sociaux, surtout quand on ne voit que ce qu’on nous propose ou ce qu’on a envie de voir. » (Josse, élève de 1re 3)
- « Tout le monde dans la classe a déjà constaté que les réseaux nous enferment dans une bulle informationnelle bien à nous et qu’il est facile de se faire avoir par le complotisme, des infox ou des photos trompeuses, si on ne vérifie pas les sources. » (Flore, 1re G4)
- « Le journaliste nous a beaucoup sensibilisés aux fake news et au complotisme. Il nous a montré que si l’on recadre l’image, on peut en changer le sens donc il faut s’en méfier. La technique de vérification des sources s’appelle l’image inversée […] également, il nous a appris a vérifier des informations en confrontant différentes sources et il nous a indiqué des sites internet pour nous aider à le faire. Il nous a aussi montré que les fake news et le complotisme peuvent servir des enjeux politiques et économiques et que cela peut donc constituer une menace. En conclusion, on voit que ce métier de journalisme est une passion, et que cela passionne celui qui donnait la conférence ». (Clet, élève de 1re G1)
Et si tu tentais Sciences po ?
Après Capucine, venue présenter son parcours et les études au sein d’un institut d’études politiques lors du forum de décembre, c’était au tour de Maya et Pambou d’informer la quarantaine de lycéens présents en salle Autret en ce 24 janvier.
"Même s’il faut franchir l’étape d’un concours très sélectif, il n’est pas impossible d’intégrer un IEP", c’est du moins le message martelé par les deux jeunes adultes, anciens élèves du lycée Laennec, dont le parcours en est le témoignage le plus convaincant.
Comme Maya, Pambou ou Capucine à l’IEP de Grenoble, Ninon et Jeanne ont suivi un tel cursus. Sciences Po Bordeaux, Paris ou Rennes, les anciens lycéens de Laennec ont continué leurs études au sein de ces formations exigeantes. Et ne manquent pas de communiquer leur enthousiasme à ceux qui leur succèdent, sans pour autant occulter les difficultés rencontrées.
Ils invitent surtout leur auditoire à faire preuve d’ambition, à briser le plafond de verre et à lutter contre l’autocensure : ces formations sont assurément accessibles pour un élève sérieux, travailleur et disposant de solides compétences. Maya et Pambou en sont la preuve.
D’anecdotes en petits conseils, ils égrènent leur parcours, qui les conduits à un premier emploi au Ministère des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques, pour l’un (après un stage auprès de Tony Estanguet, le patron des JO 2024), et à une expérience au Chili dans le cadre de son master 1 pour l’autre.
La conclusion revient à Pambou : " c’est un exercice très plaisant et si nous pouvons contribuer à court-circuiter les entreprises de « coaching » en orientation des lycéens, nous serons très ravis".
Exposition Henri Gayot : la Déportation en gravures
Le CDI accueille du 18 novembre au 18 décembre 2015, les dessins d’Henri Gayot, un Résistant déporté au Struthof-Natzweiler.
« Résister par l’Art et la littérature »
Tel est le thème du Concours national de la Résistance et de la Déportation 2016. Cette année, deux groupes d’élèves y sont inscrits par leurs professeurs de français et d’histoire-géographie : les Secondes du groupe 1 de Littérature & Société et la classe de 1re ES2.
Un partenariat avec l’AFMD 29
Pour les aider dans la préparation de ce concours, l’Association des Amis pour la Mémoire de la Déportation, représentée par sa présidente départementale, madame Maryvonne Moal, leur un proposé le prêt gracieux d’une série de dessins.
Tout au long de sa déportation au KL de Natzweiler, ce Résistant rochelais a dessiné, au péril de sa vie, des croquis qui représentent le quotidien des détenus, les baraquements, les exécutions, les maladies, les fours crématoires, les corvées et la violence des gardes.
« Ces croquis, si on les avait découverts, lui auraient valu les peines les plus sévères, la mort peut-être. »
C’est d’après ces derniers qu’il a réalisé ses gravures après guerre.
« Les dessins ont été réalisés d’après de petits croquis relevés sur le vif et camouflés à travers les nombreuses fouilles dont celles au cours des transports vers Dacha et Allach. » (Extrait de La plume, le crayon et le bronze d’Henri Gayot)
A travers ses dessins, véritable mine pour nourrir la réflexion des élèves, Henri Gayot offre un précieux témoignage sur la vie quotidienne dans le camp.
Festival du « Goéland Masqué » : Conférence et atelier d’écriture
En lien avec le Festival du "Goéland Masqué" de Penmarc’h, festival de littérature noire et de BD, le lycée a accueilli le 17 mai, José Pablo Garcia pour une conférence et un atelier d’écriture.
Dans le cadre de son partenariat avec le festival du "Goéland Masqué" le lycée Laennec de Pont-L’Abbé recevait ce jeudi le dessinateur de BD espagnol José Pablo Garcia. Cet auteur a connu un succès important en Espagne avec deux albums illustrant la guerre civile espagnole ou le bombardement de Guernica et, plus récemment, un récit sur la Palestine occupée.
Les élèves de seconde et de première de la section euro espagnol du lycée ont suivi le matin une intervention de José Pablo Garcia, qui a répondu à leurs questions. L’après-midi, un atelier d’écriture a permis aux élèves de première de la section euro, encadrés par leurs professeurs d’espagnol et d’histoire-géo, d’élaborer un scénario, en lien avec la guerre civile espagnole (sur laquelle ils avaient préalablement travaillé). Illustré par José Pablo Garcia, ce scénario a abouti à une histoire en 2 planches. Une belle rencontre pour les élèves, qui leur a permis de comprendre le processus de création du 9e art.
Festivals de l’AS Danse
As Danse
Cette année 16 élèves de l’AS Danse ont préparé une chorégraphie pour participer à 2 festivals : celui de l’UNSS à Morlaix les 23 et 24 Mai et celui d’Entrendanse à Quimper le 11 Juin. Le titre de la chorégraphie « Et si on inspirait ? » a été choisi devant la difficulté à trouver des idées sur le thème « Et si… » choisi par le festival unss et devant le besoin de se poser pour respirer pendant cette année qui est passée à toute vitesse. Bravo à l’implication des danseurs avant, pendant et après la danse et merci pour tous ces moments précieux, et pour le spectacle !
Forum de l’orientation : les conseils des anciens élèves
A l’occasion de la semaine de l’orientation, le lycée organisait, vendredi 21 décembre 2018, un forum à l’intention de ses élèves de terminale.
Une cinquantaine d’étudiants, anciens élèves de l’établissement, ont répondu présents à l’invitation de faire découvrir leur parcours. « J’avais trouvé ces échanges très utiles l’an dernier, j’espère pouvoir aider d’autres élèves à faire leur choix cette année », souligne Agathe, venue présenter la CPGE ECE.
Grâce à la diversité des écoles et des formations représentées, chacun aura pu affiner son projet, conforter ses choix, dissiper ses doutes, voire ouvrir de nouvelles perspectives.
Aider les lycéens de terminale à construire leur parcours post-bac, telle était en effet la finalité principale de cette rencontre. Mais les questions sur la vie étudiante, au sein des établissements, comme en dehors, n’ont pas manqué non plus.
Une douzaine de licences, une grande diversité de classes préparatoires (scientifiques, littéraires ou commerciales), plusieurs BTS ou DUT, quelques écoles spécialisées aussi,… les lycéens disposaient d’un large panel de formations à découvrir. Mais sans surprise, ce sont les étudiants en Droit, PACES et STAPS qui ont attiré le plus d’élèves de terminale, soucieux de mieux connaître ces filières dans lesquelles ils se projettent déjà, sans toujours en mesurer les exigences.
Que toutes ces expériences inspirent les lycéens et les guident dans la construction de leur propre parcours ! L’an prochain, ils seront peut-être à la place de ceux dont ils ont écouté les conseils avec attention.
Quant aux enseignants, ils étaient ravis de revoir leurs anciens élèves, pour la plupart fort satisfaits des études dans lesquelles ils se sont lancés.
Des expériences décrites avec enthousiasme et la certitude, pour nombre d’entre eux, d’avoir trouvé leur voie.
Fresque réalisée par les élèves au foyer
FRESQUE GRAFFITI AU FOYER DU LYCEE
LES 2 MELEC REALISENT UNE FRESQUE GRAFFITI AU FOYER DU LYCEE
Dans le cadre d’un projet pédagogique initié par Christine Paoletti, (CPE), la classe de seconde MELEC (Métiers de l’Electricité et des Environnements Connectés) a travaillé avec l’artiste François Kernen à la réalisation d’une fresque graffiti au foyer du lycée afin de rendre ce lieu plus convivial.
Après avoir rencontré l’artiste, les élèves ont sélectionné avec Madame Papail, leur professeur d’Arts Appliqués, des idées de thème pour la fresque et réuni un maximum de documents sous forme de dessins et photos pour se constituer une « banque d’images » qui pourrait nourrir leur inspiration.
La classe a ainsi travaillé trois matinées aux côtés de l’artiste qui les a initiés aux techniques de son art. Ils ont été très enthousiastes et se sont bien impliqués dans ce projet.
Par la suite, une inauguration officielle a été organisée. Une exposition sur la fresque ainsi qu’un « time-laps », à savoir un montage vidéo en accéléré retraçant la réalisation de la fresque ont été conçus afin de garder un témoignage de cette belle aventure artistique.
Goncourt des Lycéens : un 2e prix de la critique pour Emma Deunf, élève en 1re L
Classée 2e sur plus de 1100 critiques adressées cette année au jury du prix de la critique, Emma Deunf a reçu son prix jeudi 27 novembre au centre culturel du Triangle à Rennes, lors des 24es rencontres nationales Goncourt des Lycéens.
Comme chaque année, le Conseil Régional de Bretagne propose aux lycéens amateurs de littérature de participer à un concours de critique autour des romans sélectionnés à la rentrée par les jurés de l’Académie Goncourt. Cette année, 15 oeuvres étaient à lire, dont « Charlotte », un très beau roman de David Foenkinos, qui a réussi à être couronné à la fois par le prix Renaudot et par le prix Goncourt des Lycéens. C’est justement sur ce roman qu’Emma Deunf avait choisi de faire sa critique, qui a retenu l’attention du jury puisqu’elle a remporté le 2e prix. Celui-ci lui a été remis en personne par le critique littéraire du journal « Le Monde », Philippe-Jean Catinchi, devant une salle de plusieurs centaines de lycéens venus participer aux 24es rencontres nationales de Rennes, organisées par l’Association « Bruit de lire ».
Lors de cette journée, Emma a pu notamment participer à un échange avec David Foenkinos, venu témoigner de son bonheur d’avoir remporté le prix Goncourt des Lycéens cette année, après avoir été sélectionné à deux reprises les années précédentes. Expliquant à quel point ce roman lui tenait à cœur puisqu’il y travaillait depuis 8 ans, il a remercié les lycéens de leur choix et raconté les difficultés qu’il lui a fallu affronter dans l’écriture de cette histoire qui l’a amené à adopter du coup une forme très originale.
Emma et les autres lauréats du concours de critiques ont eu ensuite le privilège, après la remise des prix, d’avoir une conversation avec Didier Decoin, secrétaire de l’Académie Goncourt, et avec Pierre Gestède, attaché de presse aux Éditions Gallimard. Tous les deux leur ont longuement parlé du monde de l’édition et de l’importance de la critique dans la vie littéraire. Une voie possible pour Emma, qui a pu profiter d’une journée particulièrement riche.
La critique d’Emma Deunf
La jeune fille et la mort
C’est un hommage tout en pudeur et délicatesse que rend David Foenkinos à Charlotte Salomon, juive allemande et artiste avant-gardiste morte à vingt-six ans alors qu’elle était enceinte.
“Elle apprivoisait sa mélancolie Est-ce ainsi qu’on devient artiste ? En s’accoutumant à la folie des autres ?”
Charlotte, c’est la mélancolie. Mais peut-on vraiment être autre que mélancolique lorsque l’on n’est que la seconde Charlotte, et que le spectre d’une morte flotte sur son prénom ? Lorsque l’on est le fruit d’un arbre aux racines gangrenées par le suicide ?
On sent, sous le rythme haletant - comme si l’auteur reprenait son souffle à chaque phrase - toute sa fascination pour Charlotte. Ces phrases courtes laissent monter l’émotion peu à peu, tracent la vie dela jeune femme à petites touches, tantôt sobres, tantôt lyriques, et par leur lenteur obligent le lecteur à s’imprégner entièrement de sa vie tragique. La rencontre entre Foenkinos et son œuvre s’apparente presque à un coup de foudre : « La connivence immédiate avec quelqu’un ». Seules les intrusions de celui-ci dans son propre récit interrompent la plongée dans un bouillon de sentiments et d’instants, entre passion et déraison.
“Il existe un point précis dans la trajectoire d’un artiste Le moment où sa propre voix commence à se faire entendre”
Charlotte, c’est une âme exaltée et sauvage, baignée dans l’art dès son plus jeune âge, pour qui la peinture devient obsession, mais aussi libération. Le seul moyen par lequel elle peut exister. D’être elle, enfin, alors que les nazis nient son droit d’être. “
”Peindre pour ne pas devenir folle”
Charlotte, c’est une folie douce, celle des grands artistes qui se consument entièrement dans une unique œuvre, un unique amour jusqu’à l’obsession, perdus dans leur solitude et rongés par un certain mal de vivre.
“Elle voulait mourir, elle se met à sourire”
Charlotte, c’est l’ambiguïté, entre rage de vivre et peur de la vie. « Vie, ou théâtre ? » est le titre de son œuvre. Mais sa vie elle-même n’est-elle pas un théâtre ? Et son œuvre, le théâtre de sa vie, fixé à jamais en dessins, en musiques, en textes ?
Le point final de cette élégie tombe comme une délivrance, teinté de tristesse, de souffrance mais également d’émotion… comme la mélancolie.
Horizon mer : une exposition au Triskell
En préambule aux Journées de la mer & du littoral qui se tiendront au lycée du 29 mars au 1er février, une classe de 1re ES a répondu à l’invitation de l’association « Effet mer », organisatrice du festival « Si la mer monte… »
Les élèves ont ainsi visité une exposition interactive de l’ONG Surfrider Foundation : « Des monts à la mer ».
Organisée en 3 modules, présenté chacun par un bénévole de l’association de l’Île-Tudy, celle-ci vise à sensibiliser le public aux enjeux de la pollution des espaces maritimes et littoraux.
1er module : LE CYCLE DE L’EAU ET SES POLLUTIONS présente un écran multimédia où le visiteur se déplace à l’aide d’une manette sur un visuel représentant un bassin versant (montagnes, rivières, champs, routes,…) afin d’explorer les différentes sources de pollution.
2e module : PLANÈTE OCÉAN comporte un globe terrestre posé sur 3 piliers laissant suspendre 3 visuels traitant tour à tour :
- des caractéristiques physico-chimiques des mers et océans (salinité, température,…),
- du rôle de l’océan sur Terre (réserve de biodiversité, absorption de dioxyde de carbone,…)
- et enfin des menaces pesant sur le milieu marin (pollution, espèces invasives).
Des figurines sont implantées sur le globe, elles illustrent les propos des visuels.
3e module : DUREE DE VIE DES DECHETS ET RECYCLAGE dans lequel l’utilisateur scanne des cartes « déchets ». Une série de cartes permet ainsi l’affichage à l’écran d’informations sur leur durée de vie et une autre série sur les possibilités de recyclage.
Un documentaire vidéo était aussi au programme pour permettre à chacun de mesurer les effets du recul du trait de côte dans le Languedoc et de percevoir les choix auxquels sont confrontées les populations : lutter contre l’érosion des littoraux à grands frais ou accompagner le recul dans un repli stratégique, selon l’expérience menée à Vias (à l’Ouest du Cap d’Agde).
IMMERSION SCIENCES
IMMERSION SCIENCES
“ Immersion sciences “ est une opération conduite conjointement par l’académie de Rennes, la région Bretagne et le CNRS.
Il s’agit de proposer à des lycéens de participer à un séminaire d’une semaine, au cours duquel ils rentrent “en immersion“ dans les sciences :
- rencontre avec des scientifiques qui viennent présenter leur activité, ainsi que leur parcours, dans le cadre de conférences ou d’ateliers,
- participation à des visites de laboratoires de recherche ou d’entreprises innovantes.
L’objectif est de donner envie aux lycéens de faire des sciences, y compris en termes de projet professionnel ou d’orientation. L’opération Immersion Sciences permet de démystifier l’idée que les jeunes se font des carrières scientifiques, afin de leur donner envie de s’orienter vers ces filières après le bac.
4 élèves de 1re S du lycée Laennec s’immergent dans les sciences du 23 au 27 mars 2015 au centre nautique de l’Ile-Tudy
PROGRAMME :
Immersion sciences pour les lycéens
Lors de la semaine du 25 au 29 mars 2024, Nous avons participé au stage immersion sciences proposé par la région Bretagne. Nous étions 64 lycéennes et lycéens de Bretagne à pouvoir assister à ce stage et nous sommes très heureux d’avoir été sélectionnés.
Ce stage se déroulait à l’Île Tudy, au sein de son centre nautique. Nous avons eu l’occasion d’y rencontrer de nombreux docteurs et doctorants. 7 conférences nous ont été proposées sur des sujets divers et variés allant de la filtration aux mathématiques en passant par les abysses. Nous avons également pu faire des activités proposées par les intervenants et le centre. Par exemple, nous avons fait de la randonnée nautique sur la plage de l’Île Tudy. Les conférences proposées étaient très intéressantes et notre préférée a été celle sur les abysses. Cette conférence était présentée par William Johnson et Riwan Leroux, deux chercheurs de l’Ifremer à Brest . Ce stage était très enrichissant de par la qualité des intervenants qui présentaient très bien leurs sujets respectifs. Il nous a permis de voir quels sont les usages directs des sciences dans différents domaines . Nous avons pu faire des belles rencontres parmi les autres élèves sélectionnés. C’était une bonne opportunité offerte par la région pour se rapprocher des sciences et les rendre plus accessibles.
Les conférences :
1- « De la production industrielle à la recherche fondamentale : la filtration membranaire, un défi du quotidien » par Agathe LIZEE 2- « La résonance magnétique nucléaire pour la détection des fraudes » par Elsa CAYTAN 3- « Nitrates : des champs à l’océan » par Camille VAUTIER 4- « La recherche en mathématiques : Pourquoi ? Comment ? Mesurer l’infini » pas Rémi CARLES 5- « Abysses : la dernière frontière » par Riwan LEROUX et William JOHNSON 6- « Du sable vivant sous tes pieds… » par Daniela ZEPPILLI et Valentin FOULON 7- « A la découverte du Nanomonde : de la science-fiction à la réalité ? » par Maud GUEZO
Les activités :
Nous avons été au marinarium de Concarneau où nous avons eu la chance de voir les différents laboratoires et des métiers divers.
Voici un des métiers très peu commun : Taxidermiste. Cela consiste à empailler des animaux marins. Le professionnel rencontré est le seul au monde à le faire.
Voici quelques observations partagées avec les chercheurs de l’Ifremer :
Nous avons également fait une visio conférence avec l’équipage du bateau Tara. C’est un voilier océanographique servant à des missions scientifiques de plusieurs mois. Lors de notre contact ils étaient au port de Barcelone.
Boissel Clervie Perennou Simon
Impressions de la Baie d’Audierne
Horizon Mer : Dans le cadre des « Journées de la mer et du littoral », le CDI expose des photos de Phillipe Scordia ainsi que des dessins et aquarelles de Laurent Mary.
La baie d’Audierne est un endroit « magique » pour qui sait l’observer, un lieu d’une grande richesse en matière de faune et de flore.
Les superbes photos de Philippe Scordia, les dessins et aquarelles pleines de finesse de Laurent Mary viennent largement confirmer ce point de vue. Un « regard croisé », à la fois naturaliste et esthétique, qui témoigne d’une grande sensibilité.
Une exposition à voir au CDI, du 21 mars au 22 avril.
Journalisme : un localier hors pair au lycée
Le jeudi 2 mars 2017, les élèves de Littérature & Société de 2de 1 & 2 ont rencontré Stéphane Guihéneuf, le chef de la rédaction du Télégramme de Pont-l’Abbé. Suivez-les à la découverte du métier de journalisme et de l’envers du décor.
Journaliste par hasard
S. Guihéneuf n’est pas devenu journaliste par vocation. Curieusement, ce n’était pas ce métier qui l’intéressait au départ. Depuis son enfance, la géographie l’a toujours passionné : il envisageait alors de devenir professeur d’histoire et de géographie. Il s’est donc engagé dans la série B (actuelle filière ES) puis a poursuivi ses études dans une fac d’histoire-géographie et les a achevées avec un DEA (master 2) aménagement du territoire, n’ayant rien à voir avec le métier de journaliste. Stéphane Guihéneuf, a ainsi débuté sa carrière professionnelle en devenant professeur d’histoire-géographie et a d’ailleurs enseigné quelques années avant de se lancer dans le journalisme.
Il serait alors rentré dans le monde du journalisme par opportunité, après avoir, dans un premier temps, été correspondant (personne non salariée apportant des informations aux journaux nationaux, régionaux et locaux ou qui écrit des articles sans avoir le droit de les signer). Il est très compliqué de devenir journaliste-localier de cette manière car la plupart des nouveaux-venus dans le métier possèdent un BAC+5, dont deux années en école de journalisme.
Entre passion et contraintes
A présent, chef de la rédaction de Pont-l’Abbé, il dispose d’un statut de cadre supérieur au journal quotidien Le Télégramme. Son métier le satisfait pleinement, parce qu’il est valorisant, d’un point de vue économique (une rémunération de cadre supérieur), mais surtout grâce aux nombreux contacts qu’il permet. Souvent amené à interviewer des personnalités, plus ou moins importantes, telles que Emmanuel Macron ou Joe Cocker, il nous a confié qu’il rencontre plus d’artistes que d’hommes politiques car il travaille beaucoup sur les festivals bigoudens et à Crozon (le Bout du monde). Une des principales contraintes de sa profession vient des horaires parfois décalés quand, par exemple des événements importants doivent être couverts entre 18h et 23h, comme un incendie. Parfois même très tôt le matin comme dernièrement, lors de la venue du candidat à la présidence de la République, Emmanuel Macron, à la criée du Guilvinec.
Un bon journaliste
Il rédige des articles d’une grande diversité : il peut aussi bien écrire sur les faits divers, la politique, la culture que couvrir les événements sportifs. Il aime cet éventail de choix auquel il est confronté. D’après lui, un bon journaliste doit être structuré, curieux, persévérant. Il doit savoir revenir à la charge aussi souvent que nécessaire pour obtenir la réponse qu’il souhaite.
La menace internet
S’il n’est soumis à aucune censure, il doit cependant respecter la charte déontologique du journalisme et ne peut diffuser de rumeurs. Il lui faut toujours vérifier l’information qu’il diffuse et, pour cela, il doit au minimum se baser sur deux sources. Il écrit, fait de l’audio, de la vidéo et de la photographie, ce qui a bien changé depuis le début de sa carrière, en 2001. En effet, à cette date-là, internet et les nouvelles technologies n’étaient pas aussi développés qu’ils ne le sont actuellement. Beaucoup de personnes pourraient penser que cela est une menace pour le journalisme puisque toutes les informations sont dorénavant mises dans l’instant sur la plupart des réseaux sociaux et autres plates-formes internet. Mais Stéphane Guihéneuf nous a fait part de sa confiance dans l’avenir du journalisme, et notamment face à internet : pour lui, le format papier n’est pas menacé. Il travaille en effet en grande partie grâce aux réseaux sociaux, où il puise son inspiration. Il possède d’ailleurs une page Facebook, un compte Twitter, Instagram et Snapchat. Selon lui, face au trop plein d’informations qui circulent, seuls les journalistes sont en mesure de démêler le vrai du faux. Nous aurons donc toujours besoin d’eux.
Scoops de l’année
Ses plus gros coups de l’année, il en est assez fier : l’annonce de la démission du maire de Pont-l’Abbé et, bien évidemment, l’histoire des lunettes de Polnareff. Un soir où il se baladait, il a eu la chance de faire cette découverte inattendue : l’image du chanteur lui est apparue à travers cette paire de lunettes blanches posées sur un arbre. La photo qu’il a prise ce soir-là a fait le tour des médias nationaux.
Nous avons beaucoup apprécié lui poser des questions et en apprendre plus sur le métier de journaliste. Nous le remercions du temps qu’il nous a consacré pour nous faire partager sa passion.
Journée d’integration
Le lundi 03 septembre 2018 après avoir fait connaissance avec notre professeur principal, notre classe et après avoir reçu notre emploi du temps et visiter les locaux du lycée, nous élèves en 2d ASSP Domicile nous nous sommes rendus en Bus à L’Ile Tudy avec les 2d ASSP Structure, les CAP APR 1re année et les 2d MELEC.
Cette sortie avait pour but de nous mélanger dès le 1er jour avec tous les élèves du Lycée Professionnel ainsi que les enseignants. Lors de cet après-midi, nous avons découvert des sports nautiques tels que le Kayak, la « plate », et le bateau à moteur. Nous avons pu profiter de l’océan pendant 2 heures après avoir mis nos tenues (Combinaison et gilet de sauvetage) Ces activités nous ont permis d’aller les uns vers les autres et de s’ouvrir. Nous avons eu la chance de profiter de cette journée sous un beau et grand soleil.
Nous remercions les équipes pédagogiques du lycée professionnel de nous avoir organiser une telle journée d’intégration.
Les 2d ASSP Domicile.
Journées de la mer & du littoral 2016
Dans le cadre du projet « Horizon mer » financé par la Région Bretagne, un riche programme attendait les élèves de 1re en ce printemps 2016 : conférences, sorties de terrain, visites d’exposition, découverte de la criée.
29 mars : découverte de la géomorphologie de la Baie d’Audierne ou du polder de Combrit
Sous la houlette de Jean-Claude Bodéré, un éminent géomorphologue, les 1re 2 & 3 ont arpenté le littoral de la baie d’Audierne.
Au même moment, les élèves de 1re 1 parcouraient le littoral de l’Île-Tudy/Combrit, de la digue de Kermor à la dune du Treustel, en passant par le polder.
29 mars : la logistique du transport maritime présentée aux élèves de 1re 6 & 7
Les élèves de 1re STMG, de leur côté, ont assisté à une intervention réalisée par des enseignants de l’IUT de Quimper, visant à présenter, non seulement, les formations au DUT GLT (gestion logistique et transport) mais aussi les métiers auxquels elles préparent. Une opportunité pour ces lycéens de se projeter dans les études post-bac et, un peu, dans le monde professionnel.
30 mars : les femmes dans le secteur maritime, approche sociologique
Des perspectives historiques aux enjeux contemporains, Yvonne Guichard-Claudic, professeur de sociologie de l’UBO a présenté aux élèves le fruit de son travail de recherche.
Pêche à pied, confection et entretien des filets, longues journées de travail à l’usine dans les conserveries de poisson, autant de tâches professionnelles effectuées par les femmes dans le secteur maritime en Bretagne. Malgré la précarité de leurs conditions, jusqu’aux années 1970, elles demeurent « invisibles ». C’est avec l’extension du salariat, que ces femmes, victimes de la division sexuelle du travail, s’organisent et gagnent quelque peu en reconnaissance. L’année 1997 constitue un tournant pour elles avec l’adoption du statut officiel de conjoint collaborateur. Cependant, les femmes embarquées ne sont-elles pas toujours victimes de discriminations ? En 2010, en pêche, elles représentent seulement 3,4 % des effectifs… mixité ne veut donc pas dire égalité. Les inégalités femmes/hommes dans le domaine maritime sont bien réelles. Difficile d’y faire sa place.
31 mars : des Sables Blancs aux rochers de Lesconil
31 mars : la criée du Guilvinec
L’atelier théâtre brûle les planches
C’est le 1er juin, dans la salle Autret du lycée, que les élèves de l’atelier théâtre effectuaient la représentation publique du Dragon, la pièce d’Evgueni Schwartz, mise en scène par Marie-José El-Iman.
Durant l’année scolaire 2022-2023, l’atelier théâtre du lycée a été animé par la metteuse en scène Marie-José El-Iman à destination d’une quinzaine d’élèves, sous la houlette de Murielle Goasmat, professeure de lettres au lycée.
Après avoir passé une partie de l’année à travailler l’improvisation, les élèves ont choisi une pièce à mettre en scène. Ils ont donc présenté “Le Dragon” d’Evgueni Schwartz le 1er juin à 10h, à 14h et à 20h, devant les autres élèves, les professeurs et leur famille.
Cette pièce présente "une ville tyrannisée par un dragon [qui] doit lui livrer en tribut une jeune fille chaque année. Mais les habitants s’y sont habitués et il faut attendre l’arrivée de Lancelot pour que le dragon soit mis hors d’état de nuire".
Paroles d’élèves
“Pour moi l’atelier théâtre a été très enrichissant, car tout d’abord cet atelier nous a permis de développer une cohésion de groupe entre tous les participants, lorsque nous nous retrouvions le jeudi soir, cela nous permettait de décompresser des cours et, en plus de ces deux points, le fait d’exercer son aisance à l’oral m’a aidée à être plus détendue lors des représentations. “ (Juliette)
“C’est une bonne idée d’avoir ré-ouvert l’atelier théâtre au lycée Laennec. Cela permet aux élèves de s’investir dans un processus artistique et de travailler aussi bien la mise en scène générale que la mise en scène de soi.” (Faustine)
L’équipe de l’atelier théâtre (2022-2023) : Alix, Clara, Eileen, Églantine, Emmanuelle, Faustine, Juliette, Louane, Louise, Maëlle, Naïg, Naomy et Victor, ainsi que Laura et Emma à la technique.
La langue des signes 1re ASSP-D
Projet langue des signes
Nous sommes 15 élèves en classe de première baccalauréat professionnel Accompagnement Soins et Service à la Personne. Nous avons eu l’idée de faire découvrir aux autres lycéens ce que nous faisons dans notre section et principalement, la langue des signes.
Nous avons eu six heures de pratique de langue des signes avec une formatrice professionnelle sourde, Laëtitia, de l’association URAPEDA de Quimper, qui se deplaçait pour venir nous faire découvrir le monde des sourds.
La langue des signes est utilisée par les sourds et les malentendants pour communiquer. Ils utilisent des signes pour se comprendre, soit des expressions faciales ou bien des expressions corporelles.
Nous avons appris des signes sur différentes thématiques comme la politesse, la famille, l’école, les paysages, les expressions du visage, les objets, puis quelques animaux lors d’un jeu de cartes. Nous avons aussi appris à exprimer des situations de la vie courante.
Lors des séances, la formatrice nous montrait comment faire, ensuite on devait le refaire à deux, puis le montrer. Une deuxième technique était le bouche à oreille : l’une reproduisait le signe que la formatrice lui présentait, puis elle le reproduisait à sa voisine de dos, puis ainsi de suite jusqu’à la dernière qui devait le montrer à toute la classe.
Ou bien une partie de la classe se trouvait dans le couloir, la formatrice les faisait entrer une par une. La première observait ce que la formatrice lui montrait, puis faisait entrer la suivante, lui reproduisait le signe et allait s’asseoir, puis la suivante faisait entrer une autre élève et lui reproduisait le signe, et ainsi de suite. Puis la formatrice nous a dit de chercher des mots qui nous représentent (sports, caractéristiques physiques ou morales, objets) et avec le mot qui nous caractérisait le mieux, elle en faisait notre prénom.
Nous vous invitons à venir regarder nos affiches au CDI et les vidéos dans le hall de l’externat.
La classe de 1ASSP.D.
La presse pendant la Première guerre mondiale
Les élèves de « Littérature et société » (2de 4 et 6), encadrés par Mme Coic et Mme Coloigner ont travaillé sur La presse pendant la Première guerre mondiale. Ils ont étudié quelques uns des journaux de cette époque, en dégageant les caractéristiques de ces titres (public visé, orientations politiques etc.)
Ce travail a été exposé au CDI au cours du mois de novembre.
La section surf : les honneurs du télégramme ce samedi 11 octobre
Présentation du pôle espoir
Ce samedi les surfeurs du pôle espoir, et le lycée Laennec reçoivent les honneurs de la presse…
Suivez le lien suivant :
La semaine bleue
Actions en faveur des personnes âgées
La semaine du goût
Participation au Concours pâtissier de Pont l’Abbé
Dans le cadre de la semaine du goût, les élèves de seconde bac pro Accompagnement Soins et Services à la Personne option « à domicile » ont participé au Concours pâtissier organisé à la résidence Ty Pors Moro. Le thème de ce concours était cette année : « Entre terre et mer… »
Différentes structures ont participé à ce concours : le lycée Laënnec, l’EHPAD Ty Pors Moro et son accueil de jour Ty Deiz, l’EHPAD de l’Hôtel Dieu, la résidence Tréouguy, le foyer Ker Odet de Plomelin ainsi que la Crèche Ti Liou de Pont l’Abbé. Chaque groupe devait apporter un dessert en rapport avec le thème et sa fiche technique permettant de partager la recette avec le public.
Les élèves de 2deASSP D ont réalisé le matin un dessert sur le thème de la plage qu’ils ont inséré dans un décor. Une équipe a réalisé une affiche pour présenter les différentes recettes : le château ensablé, les petits pâtés au chocolat, les coquilles aux pépites, les étoiles aux amandes, les poissons au naturel.
Tous les participants au concours se sont retrouvés l’après-midi à la résidence Ty Pors Moro pour juger les différentes créations pâtissières sur leur goût et leur originalité. Les élèves de 2de ASSP D ont servi avec attention et bonne humeur les participants à ce grand goûter intergénérationnel.
À l’issue de ce concours, chaque équipe a reçu un diplôme et les félicitations du jury !
Le « José Bové de la mer » au lycée
Gwen Pennarun, ligneur de bar, membre de trois associations de promotion de la pêche durable et adjoint au maire de Combrit pour les affaires portuaires, est intervenu auprès des élèves de la filière ES. Au programme : la pêche propre, le lobbying, l’engagement.
Promouvoir la petite pêche
Sensibiliser les élèves aux enjeux de la pêche durable, tel était le premier objectif de son intervention.
Commencée par une présentation d’un métier entre tradition et modernité au sein de bateaux de plus en plus bardés d’électronique, celle-ci s’est poursuivie par la démonstration des qualités de la petite pêche : très sélective, permettant la capture de poissons de très grande qualité et très respectueuse de l’environnement, « elle préserve les fonds marins, n’abandonne pas de matériel et n’émet aucune pollution », a précisé Gwen Pennarun.
Cet exemple concret de la pêche au bar de ligne permettait aux élèves d’établir des parallèles avec les connaissances acquises dans les cours de SES (tragédie des biens communs, création de niches, fixation des prix…).
Se regrouper pour mieux défendre les intérêts de la petite pêche
Pour peser face aux gros armateurs ainsi que face à la pêche industrielle et se faire entendre, les petits pêcheurs, comme Gwen Pennarun, ont choisi de s’associer, non seulement au niveau local mais aussi à l’échelle européenne. Le pêcheur de Sainte-Marine s’est d’abord engagé dans l’Association des ligneurs de la pointe de Bretagne, avant de participer à la création, en 2012, de la Plateforme de la Petite Pêche Artisanale Française.
« Dans la pêche, tout se décide à Bruxelles »
Mais comme les décisions prises par les autorités françaises peuvent être remises en cause par la Commission européenne, il est essentiel d’être aussi basé à Bruxelles. Des pêcheurs de 6 pays se sont donc associés pour fonder LIFE (Low Impact Fishers of Europe).
La France y est représentée par Gwen Pennarun pour la zone Atlantique, tandis qu’un de ses homologues se charge de la partie méditerranéenne de l’hexagone. Ils sont accompagnés de représentants des Pays-Bas, de l’Allemagne, du Royaume-Uni, de l’Espagne et de l’Italie et seront rejoints bientôt par des pêcheurs portugais, polonais ou croates. « LIFE dispose désormais d’un bureau à 10 minutes à pied de la Commission européenne, si bien que ses revendications sont bien mieux prises en compte que si elles étaient formulées du fin fond de la Bretagne » n’a pas manqué de souligner le pêcheur. Une illustration très claire et très concrète pour les élèves de ce qu’est le lobbying et de l’importance de faire partie d’un réseau. « Il est important d’être présent à Bruxelles et de connaître les bonnes personnes », selon Gwen Pennarun qui a ajouté, « la pêche, ce n’est que du réseau ».
Tom (élève de TES2) : Êtes-vous en conflit avec d’autres types de pêcheurs ?
G.P. : d’une manière générale, je n’ai rien contre le chalut (sauf le pélagique !). En revanche, il peut exister des conflits plus localisés liés aux pratiques de certaines personnes. Mais avec les 3/4 de la flottille, il n’y a aucun souci.
Kenza : Où vendez-vous votre poisson ? Localement ? En supermarché ? A l’étranger ?
G.P. : Je vends à la criée du Guilvinec. Certains collègues approvisionnent directement les grands restaurants parisiens. Mais livrer à Paris, en Suisse, en Allemagne, est très compliqué à gérer.
Kenza : Par qui, comment sont payés vos représentants ?
GP : Nos avons mis en place un système d’étiquetage pour permettre aux consommateurs d’identifier la pêche durable. Cela revient à 2 ou 3 centimes par poisson mais c’est revendu 5 centimes. Cette différence permet d’alimenter un fonds pour payer les personnels et financer les déplacements. En outre, les pêcheurs cotisent pour leur adhésion à l’association et nous bénéficions de fonds européens. Parfois aussi, nous recevons des dons. Une famille anglaise très riche accorde 300 000 € pour des projets qu’elle sélectionne en fonction de leur intérêt pour la protection de la planète. Deux de nos projets ont ainsi été retenus.
Tom : Seriez-vous favorable à ce que la France sorte de l’Union européenne ?
G.P. : Au niveau de la pêche, il vaut mieux rester uni. Le stock n’a pas de nationalité. Pour gérer des stocks sauvages, il vaut mieux des accords internationaux. L’Europe est une solution pour gérer les conflits éventuels en la matière.
Léa : Comment gérez-vous votre temps entre la pêche et vos engagements associatifs ? Comment gagnez-vous votre vie ?
G.P. : Ce n’est pas toujours facile, surtout pour les jeunes qui manquent un peu d’expérience. Et l’engagement ne rattrape jamais l’argent perdu.
Tom : Seriez-vous favorable à une règlementation de la pêche plaisance ?
G.P. : En France, ce n’est pas la règlementation qui manque mais les moyens de contrôle. Dix ans après leur adoption, certaines lois ne sont toujours pas appliquées. Et pourtant des fonds européens sont prévus pour effectuer les contrôles.
Pambou : Comment peut-on s’entendre en Méditerranée avec des pays du Sud et de l’Est qui ont des intérêts divergents de ceux de l’Europe ?
G.P. : C’est vraiment très compliqué, encore plus qu’ici, où ce n’est déjà pas simple. Nous avons eu une réunion à Madrid avec des pays d’Afrique du Nord, une autre avant, en Sicile, mais ça part dans tous les sens. Si l’on ne prend que l’exemple de la Grèce, il y a tellement d’îles, tellement de techniques différentes que ce n’est vraiment pas facile de s’accorder.
Ninon : Vous est-il arrivé de vous sentir découragé ?
G.P. : Très souvent. Heureusement que l’on est en groupe. Il y a toujours quelqu’un pour remonter le moral des autres. On peut compter les uns sur les autres.
Léa : Les « gros » n’essaient-ils pas de vous « mettre des bâtons dans les roues » ?
G.P. : Si, très souvent ! Sur la question des quotas, quand vous n’êtes pas présents, les gros armements récupèrent tous les quotas sans tenir compte des petits pêcheurs. Mais grâce à la Nouvelle PCP [Politique commune des pêches] de l’Union européenne, la petite pêche est mieux reconnue. L’article 17 prévoit en effet de prendre en compte l’impact socio-économique et environnemental de notre activité pour pouvoir bénéficier de fonds européens. La petite pêche remplit donc parfaitement le cahier des charges.
Christophe : N’avez-vous pas été l’objet de tentatives de récupération politique, notamment par les hommes de réseaux dont vous nous parliez.
G.P. : Je me suis engagé sur une liste apolitique pour les élections municipales à Combrit. Mais j’ai été approché pour les régionales par une des listes. Comme je n’ai pas le temps, j’ai décliné la proposition. Quoi qu’il en soit, il faudrait que cela corresponde à mes idées.
Cette intervention s’inscrit dans le cadre d’un projet mené au lycée dont le temps fort aura lieu du 29 mars au 1er avril, sous la forme de « Journées de la mer & du littoral ».
Le Bigoud’ day se prépare
Jeudi 16 mars 2017 se tenait une réunion du Conseil de Vie Lycéenne pour organiser le prochain « Bigoud’ day », autrement dit la déclinaison locale de la fête des talents.
Lors de la dernière assemblée, la date de l’événement avait été programmée au jeudi 18 mai 2017, date considérée comme la plus propice dans l’optique du bac qui « approche à grands pas », selon Florent, l’un des représentants des élèves.
C’est donc un débat qui a été lancé pour planifier le déroulement de l’événement et les activités qui y seront proposées : quidditch, boxe thaï, tir à l’arc, photographie ou encore tatouage éphémère et concerts…. Florent et Mathieu ont aussi proposé d’organiser une olympiade, ce que le proviseur a accepté, à condition que les animations prévues n’entraînent pas un trop grand travail de nettoyage pour les agents.
Il a également été décidé que le thème de déguisement de cette année tournerait autour des personnages de fiction (cinéma, BD, jeux vidéos…).
Les élèves du CVL passeront dans les classes de l’établissement pour informer leurs camarades et solliciter leur participation à l’événement. Chacun pourra apporter ses idées pour peaufiner l’organisation de cette fête.
N’hésitez pas à proposer des activités qui montreront à tous vos talents cachés.
Simon Clément 2nd2
Le droit à la différence
Jeudi 4 décembre, Gilles Le Druillenec IMC (Infirme Moteur Cérébral) a présenté aux lycéens sa pièce de théâtre sur le handicap. Une rencontre à l’initiative des 26 élèves de Bac Pro ASSP (Accompagnement Soins et Services à la Personne) option structure. Les lycéens ont joué le jeu en participant à la représentation de Gilles Le Druillenec afin de sensibiliser le public sur la notion du handicap.
Le journal du Bigood’ day est sorti
En littérature & société, nous avons réalisé une couverture journalistique du Bigood’ day. Retrouvez notre journal en ligne.
Le lycée à l’heure de la COP21
Alors que la COP21 se déroule à Paris du 30 novembre au 11 décembre, le lycée Laennec accueille une exposition réalisée par PASI (Pont-l’Abbé Solidarité Internationale) sur les conséquences humaines du réchauffement climatique.
Sensibiliser aux enjeux du réchauffement climatique
Réalisée par le collectif bigouden de 9 associations de solidarité internationale, l’exposition vise à expliquer le réchauffement climatique, à faire prendre conscience de ses causes et à interpeller les visiteurs sur les conséquences catastrophiques qu’il pourrait engendrer.
De la baisse de la production agricole à l’accroissement des risques naturels, en passant par le problème des ressources en eau ou la perte de biodiversité, les élèves pourront réfléchir au rôle de leurs modes de vie dans ce défi colossal auquel est confrontée l’humanité.
Une invitation à agir
L’objectif de l’exposition est en effet d’éduquer les jeunes à la nécessité de modifier les modes de vie et de prendre en compte cet impératif : limiter au maximum les émissions de gaz à effet de serre. Des solutions sont proposées pour bien montrer que le défi n’est pas insurmontable. Par une affiche intitulée « il est urgent d’agir », les élèves sont conviés à s’interroger sur leur quotidien : « et nous, que pouvons-nous faire à notre niveau ? »
Le lycée accueille une exposition sur les migrations.
Intitulée « Halte aux préjugés sur les migrations », elle est affichée au CDI du lycée, du 11 janvier au 8 février.
Les migrations ? Des représentations et des idées reçues, des fantasmes et des peurs aussi. Beaucoup de préjugés. Les affiches en passent 7 au révélateur des statistiques, des données chiffrées.
Mise gracieusement à la disposition de notre établissement par le collectif PASI (Pont-l’Abbé Solidarité internationale), cette exposition coproduite par Ritimo et le CCFD-Terre Solidaire est à voir au CDI jusqu’aux vacances de février.
Le Magazine de la Section Surf (2014-2015)
Le bilan de l’année 2014-2015 des 16 élèves de la section surf du lycée, de la Seconde à la Terminale, entraînés par Maël L’Helgoualch et encadrés par Emmanuelle Monfort, fait l’objet d’ un magazine.
Retrouvez Maxime Keravec, Corentin Nicole, Noémie Larzul, Chloé Bodéré, Mathilde Gacquière, Maël Josse-Jezequel, Sophie Del Valle, Gaël Prigent, Théa Hémon, Thomas Guillemot, Jules Rolland, Téo Biglietti, Louise Trimaille, Louka Oprzinski, Eliot Kempf et Arawn Stéphant dans le magazine réalisé par Téo avec l’aide d’Emmanuelle Monfort.
Des compétitions aux activités physiques diverses, en passant par les chantiers nature, la saison 2014-2015 s’est révélée particulièrement riche pour les élèves de la section surf, comme l’illustre le magazine ci-dessous :
Le petit journal du Lycée
Le petit journal du Lycée - éditions de février et mars 2014
Dans le cadre de l’enseignement d’exploration Littérature et Société, les élèves de 2de ont rédigé le petit journal du lycée, édition de février - mars 2014 qui ont appelé The Big’Good news.
Le portrait : exposition au CDI
Exposition au CDI, jusqu’au début décembre, de portraits sélectionnés dans la collection de l’artothèque de Brest.
Le portrait
Genre artistique.
Allégorique, officiel, intimiste, psychologique, de société.
Pose, attitude, expression, regard, attributs.
En pied, en demi-grandeur, en buste, en gros plan.
Peinture, photographie, sculpture.
Lointain, expressif, réaliste, étrange, dérangeant.
Coloré, contrasté, flou, noir et blanc.
Ces quelques mots définissent l’art du portrait.
Sont exposées des œuvres des artistes : Jean-Paul Chambaz, Georges Tourdjman, Karel Appel, Rip Hopkins, William Klein, Daniel Dezeuze, Michael Kern…
Les 2nd1 réalisent un court-métrage
Lauréats du projet Séquences femmes 2023 pour leur scénario, écrit sous la houlette de Christophe Clément, leur professeur de SES, les élèves de la classe de 2de 1, ont eu l’immense satisfaction de voir celui-ci transformé en un court-métrage. C’est à la pointe de La Torche que le tournage s’est déroulé à la mi-mai.
« Séquences femmes » est un « dispositif d’éducation à l’image pour sensibiliser les lycéen.ne.s aux discriminations et violences faites aux femmes ». Il a été créé par l’association Femmes et cinéma, dont les objectifs visent à "mettre en avant les femmes du cinéma, réalisatrices, cheffes opératrices, scénaristes, productrices…, militer pour une représentation plus juste des femmes dans les films et sensibiliser les jeunes populations aux discriminations et aux violences faites aux femmes grâce à l’éducation aux images. Pour cette 6e édition, Christophe Clément s’est lancé dans l’aventure avec l’une de ses classes de 2de.
La 2de 1 compte dans ses rangs les élèves inscrits au pôle surf, au CLE et à la section. C’est donc tout naturellement dans le milieu des surfeurs et surfeuses que s’inscrit l’histoire inventée pour l’occasion. Et quoi de mieux qu’une compétition sportive pour servir de cadre à un questionnement sur les inégalités femmes/hommes, filles/garçons et sur les violences faites aux femmes ?
C’est ainsi qu’ils ont élaboré le scénario suivant : Séverine vient s’inscrire à une compétition de surf mais n’a pas assez d’argent pour payer l’inscription. Son coach va lui faire une proposition indécente qu’elle va refuser avec force. Elle devra compter sur elle-même et sur la solidarité des compétitrices pour faire face aux violences et aux inégalités qu’elle subit en tant que fille.
Bravo aux élèves pour la création de ce remarquable scénario ! Ils ont su séduire le jury : au total 5 projets ont eu la chance d’être retenus cette année au vu de leur qualité.
Une fois le scénario rédigé et sélectionné par l’association Femmes et cinéma, est venue l’heure de jouer et de tourner l’histoire sur ce site emblématique du surf mondial qu’est le spot de La Torche.
La réalisatrice Sonia Larue était à la manœuvre, initiant les élèves aux différents métiers du cinéma et les accompagnant dans chaque étape de la réalisation du film.
Le court-métrage sera diffusé sur France 3, au mois de septembre dans l’émission Libre court. Belle récompense pour ce très beau projet !
Les APR vous invitent dans leur restaurant
Les élèves de 1re L/ES rencontrent les anciens combattants de la Guerre d’Algérie
La classe de Première L/ES a mené un travail d’histoire sur plusieurs semaines dans le cadre de l’accompagnement personnalisé sur le thème de l’Algérie, de la colonisation à l’indépendance.
Par groupe de 2 ou 3 élèves, nous avons mené un travail préparatoire afin de réaliser des exposés sur différents sujets allant de la présentation de l’Algérie avant la guerre de colonisation (1830-1848) aux conséquences de son indépendance après 1962. Pour mener à bien ce travail, nous avons recueilli des informations au CDI (romans, manuels, revues, sites internet…). Nous nous sommes appuyés sur les conseils de Monsieur Le Cleac’h, documentaliste, et de Monsieur Le Loc’h, professeur d’histoire-géographie. Le travail que nous avons mené fut très intéressant mais nous avons tout de même rencontré plusieurs difficultés, tant au niveau des connaissances que de la méthodologie. Pour conclure cette séquence, nous avons présenté oralement notre travail devant trois anciens combattants de la guerre d’Algérie, membres de la section bigoudène de la Fédération Nationale des Anciens Combattants d’Algérie (FNACA), ce qui fut une expérience enrichissante bien que nous fûmes quelque peu intimidé(e)s. En effet, la guerre d’Algérie reste à bien des égards un sujet sensible. Nous avions tellement peur de dire devant eux des informations erronées ou déformées.
Après nos exposés, nous avons pu avoir avec eux un entretien de près d’une heure, entretien d’autant plus intéressant que leurs expériences différentes du conflit, nous ont permis de dépasser nos lectures et de nous rapprocher de la violence des combats. Nous avons ainsi appris comment s’était déroulée cette guerre mais pas seulement sous l’angle de la chronologie. Nous avons ressenti à travers leurs témoignages que les anciens combattants restaient encore très marqués par ces violences, notamment l’homme qui nous a raconté avoir combattu dans la banlieue d’Alger. Nous avons malheureusement manqué de temps pour leur poser toutes nos questions. Nous tenons à remercier Monsieur Yves Le Bec, Président de la FNACA du Pays bigouden, qui a rendu possible cet échange. Des élèves de la classe assisteront à la cérémonie du 19 mars prochain au cimetière de Pont-l’Abbé, afin de rendre un hommage à toutes les victimes de ce conflit. Une exposition sera également présentée au lycée à partir du 24 mars prochain (hall du bâtiment historique et CDI).
Les élèves de bac pro ASSP à la semaine intergénérationnelle de Pont L’abbé
Les élèves de bac pro ASSP structure et domicile ont participé à la semaine intergénérationnelle de Pont L’abbé.
Les élèves de bac pro ASSP structure et domicile ont participé à la semaine intergénérationnelle de Pont L’abbé début octobre 2017. Cette semaine bleue est un moment fort pour les personnes âgées car il est proposé différentes animations et échanges
Les 1res structures ont participé le mardi au goûter dansant au Triskel. Après avoir décoré les tables , les élèves ont accueillis les résidents des EHPAD du secteur ainsi que les adhérents du club des personnes âgées. Ils n’ont pas hésité à inviter ces personnes à danser, certains avaient préparé des chansons pour contribuer à l’animation.
1res structures qui dansent avec les personnes âgées
décoration de la salle du triskel
Le jeudi, au lycée Laënnec, deux animations ont eu lieu. Ainsi, un colloque « personnes aidées, personnes aidantes » a été animé par un médecin et une psychologue de l’Hotel Dieu. En parallèle, la classe de première domicile a accueilli et accompagné les personnes âgées lors d’un loto suivi également d’un goûter dont les gâteaux avaient été préparés le matin par les élèves.
Ces temps d’échanges ont permis à nos élèves de mettre en pratique leurs acquis théoriques et aux personnes âgées de se divertir, et pour certains de se remémorer leurs souvenirs du lycée.
Les premières ES et L en atelier de pratique théâtrale autour de « Oncle Vania »
Les deux classes de 1re 1 et 2 regroupant des élèves des séries ES et L ont pu participer durant quatre demi-journées les mardi 18 et vendredi 21 novembre à un atelier de pratique théâtrale autour de la pièce de Tchékhov, « Oncle Vania », animé par deux acteurs de la troupe du metteur en scène Eric Lacascade.
Organisé en partenariat avec le Théâtre de Cornouaille, et animé par les deux comédiens Ambre Kahane et Arnaud Chéron, l’atelier théâtre a permis aux élèves des deux classes de se confronter avec le texte de la pièce de Tchekhov, dont ils devaient apprendre deux extraits et qu’ils sont allés voir ensuite le jeudi soir avec leurs professeurs.
Durant les deux jours de cet atelier, ils ont ainsi découvert le théâtre et aussi la façon très originale de travailler du metteur en scène Eric Lacascade, qui propose à sa troupe un travail véritablement collectif, puisqu’il demande à chaque acteur de connaitre l’ensemble des rôles et de proposer pour chaque scène une interprétation possible.
C’est ainsi que les élèves se sont retrouvés à travailler la scène choisie par groupes de deux, scène qu’ils ont ensuite interprétée devant leurs camarades sur la scène de la salle Autret, sous la direction des deux comédiens qui ont essayé de leur faire sentir ce qu’est l’interprétation théâtrale. Les lycéens ont pu aussi après avoir vu le spectacle, échanger longuement avec les deux comédiens, qui leur ont parlé de leur métier et de la façon dont ils avaient travaillé sur cette pièce.
Le parcours du spectateur engagé ainsi pour les 64 élèves des 1re 1 et 2 va se poursuivre au cours des deux trimestres prochains, puisque le projet emmené par leurs deux professeurs de français, Murielle Goasmat et Yves Le Chevallier, ainsi que par leur professeur d’EPS, Emmanuelle Montfort, leur permettra de voir également un spectacle de danse moderne, un autre de cirque, et une pièce contemporaine, spectacles sur lesquels ils travailleront en interdisciplinarité.
Les TG4 au défi du Koh-Lanta breton
Avec l’argent récolté dans l’optique d’un voyage scolaire et une très forte participation de la FCPE, les élèves de TG4 ont finalement choisi la direction de… l’archipel des Glénan pour clore l’année sur la meilleure note possible.
Sur cet archipel exposé à un soleil de plomb et aux quatre vents, où rien ne pousse ni ne survit, les élèves de la TG4 ont réuni leur courage pour endurer des épreuves aussi exigeantes et insoutenables que le ski sur plage slalomé en quator, la chasse au trésor au pas de course, un défi à l’aveugle ou encore les baignades pour se rafraîchir.
Denis Grogniart était présent, ’’Grumpy Denis’’ in English. Certaines épreuves se sont tenues en anglais et ont vu les différentes équipes s’opposer et surtout s’amuser.
Au coucher du soleil et contrairement à l’expression ’’A la fin, il n’en restera qu’un’’, ils étaient toutes et tous là, bien décidés à en découdre avec ce menu hamburger frites suivi d’une glace qui les attendait à Bénodet après une journée de jeûne. Un totem est venu récompenser la meilleure équipe et unir davantage tous ces participants avant les épreuves finales du bac. Tout le monde s’est amusé, a célébré la fin de l’année dans des conditions idéales et en gardera un souvenir glenantesque, vous l’avez compris.
Très belle continuation à tous nos élèves.
La rumeur dit que Denis Brogniart envisage de tourner la prochaine saison aux Glénan. Bon courage !
Louis Le Gros, artiste rescapé de Buchenwald
Son fils, Marc, écrivain et poète, commissaire scientifique de l’exposition qui lui était consacrée par le Musée de Morlaix (« 26 décembre 1943, Louis Le Gros otage déporté de Morlaix »), a présenté l’oeuvre de son père au groupe 1 de Littérature & Société et à la classe de 1re ES2.
Préparer le concours de la Résistance
Tous ces élèves, encadrés par leurs professeurs de français et d’histoire-géographie, participent au Concours National de la Résistance et de la Déportation 2016. Le thème au programme (« Résister par l’Art et la Littérature ») invite en effet, cette année, à une approche pluridisciplinaire.
Des croquis pour témoigner
Déporté dans le camp de Buchenwald et dans le Kommando de Flössberg, le Nord-Finistérien, Louis Le Gros, n’a eu de cesse, tout au long de sa détention, de dessiner des croquis témoignant de son quotidien et de celui de ses camarades. « Pour Louis Le Gros, rien ne vaut le témoignage immédiat, la captation dans l’urgence et le danger, de la chose vue. » (Marc Le Gros)
Dessiner pour survivre
Avec pédagogie et passion, Marc Le Gros témoigne de l’expérience concentrationnaire de son père, y compris dans les détails les plus sordides. Son discours très didactique permet aux lycéens de cerner l’importance du dessin pour l’artiste qu’était son père.
« Ces images volées dans les pires conditions disent seulement l’ordinaire, le quotidien le plus brut et parfois le plus trivial. Elles se déclinent strictement au présent, un présent cruel auquel il fallait répondre et l’on peut penser que seul l’exorcisme du dessin pouvait, pour Louis le Gros, contrecarrer l’épreuve ».
« La bête ne meurt jamais »
En soi donc, dessiner était vital à Louis Le Gros, une manière de survivre, de rester humain, un véritable acte de résistance. Mais aussi un vibrant appel à la vigilance : la bête ne meurt jamais. L’artiste souhaitait en effet, qu’à travers ses dessins, “on se souvienne que le "bacille de la peste ne meurt, ni ne disparaît jamais”, qu’il peut toujours comme le notait Camus, “réveiller un jour ses rats et les envoyer mourir dans une cité heureuse”. »
Ce message, les lycéens ne sont pas près de l’oublier.
Nos éco-délégués se mobilisent
Les propositions fusent dans la salle polyvalente, en ce 10 décembre, pour la 3e réunion des éco-délégués : des ateliers pratiques, des séances de sensibilisation, des défis collectifs,…., ils ne manquent pas d’idées, ces élèves élus, dans chaque classe, par leurs camarades, au mois d’octobre.
Reste maintenant à faire aboutir tous ces projets. Et ce n’est pas le plus simple. Mais, sous la houlette de Florent, ils s’organisent, se partagent les tâches, s’engagent dans les quelques actions qui leur tiennent particulièrement à cœur.
Le pôle « communication » a déjà montré toute son efficacité : autour de Maëlle et Lola, il a créé un compte Instagram et commencé à publier des posts.
Vous pouvez suivre toutes les actions, prévues cette année, à l’adresse @ecodelegue.laennec
Le Green Project, lui aussi, est déjà bien avancé. Et pour cause ! Il s’agit d’une reprise du projet lancé il y a deux ans par les éco-délégués d’alors. Projet tombé à l’eau, puisqu’il était programmé pour le mois d’avril 2020 et qu’il n’a, malheureusement, pu se concrétiser du fait du premier confinement. Qu’à cela ne tienne ! Le témoin est repris avec énergie, en cette année 2021-2022. Rendez-vous le 6 avril !
La réflexion est aussi menée sur d’autres suggestions et des groupes de travail s’y engagent avec détermination : créer un potager et un poulailler participatifs, faire intervenir l’association « Sur un air de terre », organiser le recyclage des masques, améliorer la gestion des déchets et réduire le gaspillage alimentaire au self, proposer des menus entièrement végétariens à tous les repas, préparer un événement « troc de vêtements », accroître l’efficacité énergétique du système informatique de l’établissement, mettre en place un site de covoiturage pour le lycée…
Les velléités sont nombreuses. Les éco-délégués, comme tous les élèves du lycée, ont toute l’année pour les concrétiser et transmettre le flambeau à leurs successeurs.
EN BREF, ÊTRE ÉCO-DÉLÉGUÉ, ÇA VEUT DIRE QUOI ?
Être éco-délégué de classe, c’est :
- Être un élève respectueux de l’environnement et montrer l’exemple
- Sensibiliser ses camarades aux gestes quotidiens (éteindre les lumières, vérifier qu’en hiver les fenêtres sont fermées et que les radiateurs sont bien réglés, installation de poubelles de tri des déchets de la classe, etc.)
- Être force de proposition (proposition d’initiatives et d’actions, comme les « marches vertes », etc.)
Être éco-délégué d’établissement, c’est :
- Porter des projets pour améliorer la biodiversité, diminuer l’impact énergétique de l’établissement, promouvoir des gestes éco-responsables de l’ensemble de la communauté éducative, sensibiliser à la lutte contre le gaspillage alimentaire, promouvoir des actions
- Être ambassadeur auprès des services, des responsables et des instances de l’établissement, ainsi que des partenaires extérieurs
- Restituer les actions menées, contribuer à leur évaluation et à leur valorisation
- Transmettre des informations et des connaissances à leurs camarades
Participez à l’enquête !
Les médias et les supports de communication n’ont jamais été aussi nombreux et divers que de nos jours. Cependant, la confiance à l’égard des médias s’est dégradée ces dernières années. Nous avons donc souhaité mener une enquête sur les pratiques d’information aujourd’hui.
Nous vous remercions de bien vouloir nous accorder quelques minutes pour répondre à nos questions.
Merci aussi de l’aide que vous apporterez à notre travail.
Les élèves du groupe 1 d’HGGSP
Portraits croisés : des étudiants français à la rencontre de jeunes Burkinabè
Le CDI du lycée accueille, durant le mois de janvier 2016, une exposition, réalisée par les étudiants de l’INSA de Rennes, présentant des regards croisés de jeunes - Français et Burkinabè - sur le monde et la vie.
Membres de l’EAI Rennes (Échange Afrique INSA), une association étudiante engagée dans la solidarité internationale, les 12 élèves-ingénieurs de l’Institut National des Sciences Appliquées ont mené, en partenariat avec l’AFIDESA, une action majeure dans la région du Sanguié (Burkina Faso) : ils ont concrétisé un projet de construction de trois classes dans une école de Koukouldi.
Outre l’action humanitaire et l’inestimable expérience acquise sur le terrain, ce fut l’occasion pour eux de nouer des échanges interculturels avec des étudiants de Koudougou. La rencontre avec l’autre, la confrontation des idées et la découverte de la différence leur ont offert une exceptionnelle ouverture sur le monde.
Ce sont les réflexions nées de cette rencontre que présente l’exposition affichée au CDI du lycée qui invite à prendre du recul et à décentrer son regard sur le monde.
A voir au mois de janvier 2016.
Près de 50 lycéens félicités par le Proviseur
Au-delà de leur réussite scolaire, certains élèves se sont aussi illustrés dans des compétitions, concours ou projets divers. Monsieur Aymerich les mettait à l’honneur le jeudi 7 mai.
Comme tous les ans, les sportifs ont porté haut les couleurs de l’établissement. Et comme souvent, ce sont les badistes et les surfeurs qui se sont particulièrement distingués. 6e des championnats de France de badminton UNSS, telle est la très belle performance réalisée par l’équipe de Laennec. Composée des joueurs et arbitres Baptiste Conry, Donovan Joncour, Anna Steinlin, Célia Lagadic, Juliette Doux, Kyan Le Grand, Killian Stéphan, Mathilde Madec et Camille Bock, elle a auparavant conquis le titre de champion académique.
De leur côté, Klervi Masseron et Téo Goulois ont brillé en surf. Klervi a remporté, au Maroc, la Gymnasiade 2018, l’équivalent des Jeux Olympiques pour le sport scolaire, tandis que Téo a obtenu le diplôme de jeune officiel, c’est-à-dire qu’il peut désormais œuvrer comme juge au niveau national.
Encore une fois, des élèves de Baccalauréat Professionnel Métiers de l’électricité et de ses environnements connectés (M.E.L.E.C.), Mathis Horel, Frédéric Le Bihan, Edwin Tanneau et Thierry Courtès ont relevé le défi du concours du "Meilleur Apprenti de France" : Frédéric y a obtenu la médaille d’or départementale et l’argent au niveau régional, tandis qu’Edwin remportait la médaille d’argent dans le Finistère.
Lors du Concours de la Résistance et de la Déportation 2018, trois élèves de 1re ES2 se sont distingués et ont reçu les compliments de Monsieur Aymerich : Jules Brigant, pour son 1er prix départemental dans la catégorie individuelle et sa sélection pour le jury national, ainsi qu’Anzia Camus et Sterenn Lancien dont l’implication notable aura permis à l’établissement de recevoir le drapeau des lycées et collèges du Finistère. Le groupe de littérature et société (2de 5 & 6), quant à lui, a remporté le 3e prix au niveau départemental et obtenu une mention spéciale pour sa production collective.
Dans les concours et défis littéraires (« les plumes de Paon » ou « le Goéland encré »), Melan Allain de 1re STMG1, Mathilde Madec, Lou Cal et Louison Le Bec de 2de 3, Iwan Sicard et Florian Rannou de 2de 2, Lily Abel, Héloïse Loussouarn et Léna Tardivel de 2de 5 ont également été primés cette année. Monsieur Aymerich n’aura pas manqué de souligner cette réussite.
Léna Baquet, Abigaël Corban et Léane Quéau de 1re S1 se sont signalées, quant à elles, par leur engagement dans les Cordées de la réussite pour un travail sur les « molécules taxi » pour la thérapie génique. Le Proviseur a remis à chacune d’elle son diplôme et un chèque-cadeau.
Il a par ailleurs également tenu à féliciter et à remercier Clément Kerloc’h, de terminale ELEEC, pour la création du logo Qualycée, logo qui s’inscrit désormais sur les documents officiels de l’établissement.
Bravo à tous ces élèves pour leur engagement, la qualité de leur productions ou leur brillante réussite.
Prix Spécial « NON AU HARCELEMENT »
Les élèves du Lycée Laennec ont reçu ce lundi la remise du prix pour leur participation à la campagne ministérielle de prévention « Non au Harcèlement » dans la catégorie « Sexiste et Sexuel ».
Ce concours organisé par le Ministère chargé de l’éducation nationale propose aux élèves de réaliser un travail dans lequel les lycéens s’expriment collectivement sur le harcèlement à travers la création d’une affiche ou une vidéo.
Participer au concours a donné l’opportunité à chaque élève de faire l’apprentissage de la citoyenneté, d’adopter un comportement réfléchi et responsable, de développer un esprit critique et d’acquérir une culture de l’engagement en participant à la vie de l’établissement.
Cette année, le Lycée Laennec a mis en place une campagne de prévention avec des interventions visuelles et audiovisuelles autour de la thématique. Des échanges avec le corps médical et la mise en place d’un projet de création d’affiche de sensibilisation complètent le dispositif coordonné par Mme Grippon CPE et Mme Magueur Assistante d’éducation.
Des lycéennes volontaires de l’internat se sont impliquées dans le projet en menant une réflexion sur les comportements visibles d’élèves qui paraissent anodins mais qui se révèlent être des comportements inadaptés autant par le verbe que par l’attitude, relevant du harcèlement sexuel.
Lors de séances de travail, Amélie, Romane et Maëlle, élèves de 1 STMG ont eu l’occasion de constater du vocabulaire employé pour certains élèves (filles comme garçon) pour qualifier certaines filles au prétexte de leurs tenues.
A l’issue de ses temps d’échanges, les créations graphiques réalisées ont été proposées au concours « Non au Harcèlement ».
Ce projet de création d’affiche est une base pour mener des séances pour les autres classes afin de sensibiliser à des propos qui s’avèrent parfois humiliants et qui laissent des traces psychologiques pour les jeunes.
Cette année, le dispositif « Non au Harcèlement » est relancé malgré les difficultés sanitaires. Les élèves récompensées poursuivent la campagne de sensibilisation et mobilisent de nouveaux élèves, sources de propositions, pour de nouveaux projets engagés.
Rencontre avec d’anciens combattants de la Guerre d’Algérie
Les 1re 4 et 5, ainsi que les T-STMG ont eu l’occasion, à l’initiative de la FNACA, de rencontrer d’anciens combattants de la Guerre d’Algérie, pendant une matinée à Pont l’Abbé.
Ces derniers, alors que se préparaient les commémorations d’une guerre encore chargée de sens, voulaient transmettre, par devoir de mémoire, un passé encore « à fleur de peau ».
Une guerre pas encore bien digérée dans la mémoire collective française, dont les élèves savent peu de choses, sinon les conséquences qu’elle a eues sur la société. Cependant, sans bien saisir le déroulement et les retournements de situation entre 1954 jusqu’aux accords d’Evian de 1962, et même après.
Cette découverte avait pour but de transmettre des connaissances sur les origines, les acteurs, les phases du conflit, ses horreurs parfois, mais aussi le vécu de ces évènements transmis par ces jeunes soldats, aujourd’hui âgés.
Sans rien cacher de leurs points de vue, de leur engagement, en regrettant la façon dont ce conflit a été géré par les responsables de l’époque, mais voulant faire preuve de pacifisme (c’est l’objectif de la FNACA, promouvoir la paix), les anciens soldats, appelés et issus de tous les corps - de la communication aux commandos en passant par la maintenance ou les liaisons aériennes - ont expliqué les conditions de leur engagement. Ils ont aussi répondu aux élèves, en évoquant parfois de douloureux souvenirs, sans langue de bois, appuyés sur une fort intéressante exposition de 36 affiches qui donnèrent à penser aux lycéens.
Ceux-ci semblent avoir pris conscience que cette guerre n’est pas un conflit simple, sans « gentils ou méchants », mais que la pluralité des acteurs (Engagés de la IVe, puis de la Ve, partisans du FLN, membre de l’OAS, civils « pieds noirs », harkis), la brutalité terrible du conflit (terrorisme en métropole, assassinat de population, usage de la torture), dans un contexte de décolonisation, après la perte de l’Indochine, est une part de l’histoire de France qu’il faut connaître.
Un grand merci à la FNACA, et à son président pour la délégation de Pont-l’Abbé, M. Yves Le Bec, sans qui cette journée n’aurait pu se tenir.
Rencontre intergénérationnelle au lycée professionnel
Rencontre intergénérationnelle au lycée professionnel
L’an dernier, les lycéens de bac professionnel Accompagnement soins et service à la personne, de l’option à domicile (ASSP), se sont rendus dans les Ehpad de Pors Moro et les Camélias, pour y rencontrer des personnes âgées.
Déplacement au lycée
Cette année, afin de privilégier la sortie de ces personnes des établissements, ce sont elles qui se sont déplacées mercredi après-midi à la rencontre des élèves.
Ainsi, après avoir été accueillis le 23 avril pour un après-midi chant et jeux de mémoire (Le Télégramme du 24 avril), les Ehpad de Pont-l’Abbé (Camélias, Pors Moro, Hôtel-Dieu), de Combrit (Kerboc’his), le CCAS, le foyer Pen Ar Prat et le club des retraités de Pont-l’Abbé se sont, à nouveau, déplacés au lycée Laennec.
Il s’agissait, cette fois, de participer à trois ateliers : danses traditionnelles bretonnes et danses d’aujourd’hui, détente par la réflexologie de la main et détente par les jeux d’ambiance.
Une quarantaine de personnes ont fait le déplacement.
Chant et danse
Dès le début, en attendant l’arrivée de tous et avant la présentation de la journée par Alexandre, l’un des élèves, certains chantaient quelques chansons. Puis, les groupes se sont formés.
Les professeurs Marianne Basty et Béatrice Roesch encadraient les élèves.
Ces derniers, très attentionnés à l’égard des personnes âgées, les ont pris en charge, accompagnés de la descente des véhicules jusqu’à la salle et installés confortablement.
Pendant que certains se rendaient aux ateliers, les danses commençaient. Le miracle de l’intergénération s’est produit, la plupart des anciens affichant de grands sourires au bras des élèves.
Quelques pas de danse entraînaient les couples ou les groupes. Des boissons et des gâteaux, confectionnés par les élèves et le cuisinier du self, attendaient les participants de cet après-midi convivial apprécié tant par les élèves que par les résidents.
Repas des voeux à la maison de retraite les « Camélias »
Repas des voeux à la maison de retraite les « Camélias »
Le mardi 14 janvier, les élèves de terminale bac professionnel ASSP option structure ont été sollicités pour animer et servir le repas des voeux aux résidents de la maison de retraite les « Camélias » de Pont-L’Abbé.
Semaine bleue : participation des élèves du lycée des métiers
Semaine bleue : participation des élèves du lycée des métiers
Du 7 au 11 octobre 2019 s’est déroulée la semaine bleue à Pont L’Abbé. Le thème de cette année était « sauvons la planète ».
Les classes de premières Bac Pro ASSP ont pris part à cette semaine en participant à la conférence sur l’habitat au lycée mais aussi en se joignant à l’animation cabaret présentée au Triskell.
Les élèves de première structure ont préparé la décoration des tables puis ont accueilli les personnes âgées.
Après avoir servi le goûter , les élèves ont profité du spectacle pour faire danser nos ainés.
Semaine du goût au lycée professionnel
Semaine du goût au lycée professionnel
Dans le cadre de la semaine du goût la classe de 2de APR et Classe d ULIS ont participé à un bel après-midi autour de la découverte des saveurs.
Chaque classe réalisait une prestation gustative pour les autres. Chez les CP-CE1, ce fut la réalisation de toasts salés et sucrés, chez les CE1-CE2, ce fut des brochettes de fruits et enfin, chez les CM, quatre cocktails furent présentés : la pina colada, le tropical sunrise, les crayons de couleur et l’impérial ! Une véritable ronde des goûts fut mise en place sur la cour afin que chaque classe puisse déguster tour à tour ces différentes recettes.
Un grand merci aux lycéens qui ont assuré la mise en place des recettes, le service et le nettoyage des locaux !
Semaine d’intégration au lycée professionnel
Semaine d’intégration au lycée professionnel
Dans le cadre de la semaine d’intégration des élèves entrant cette année au lycée professionnel Laennec, les classes :
∗ de 2de bac pro ASSP (Accompagnement Soins et Services à la Personne) option « en structure » et option « à domicile »
∗ de 2de bac pro MELEC (Métiers de l’électricité)
∗ CAP1 APR (Agent Polyvalent de Restauration)
Ces classes ont, dans un premier temps, suivi quatre ateliers en vue de mieux les préparer aux stages qu’ils vont effectuer au cours de leur parcours de formation.
Il s’agissait de réfléchir sur le « savoir-être en entreprise », mieux cerner les obligations du stagiaire en analysant divers documents (convention de stage, charte d’engagement, discrétion et secret professionnel), donner des outils pour construire une lettre de motivation, un C.V et enfin simuler divers entretiens pour savoir se présenter.
Dans un deuxième temps ils ont effectué des visites d’entreprises ou de structures partenaires du lycée et susceptibles d’accueillir les jeunes en PFMP (Périodes de Formation en Milieu Professionnel).
En bac pro ASSP, chaque élève aura visité deux types de structures avec des publics différents : crèche, école maternelle (petite enfance), EHPAD, foyer de vie (personnes âgées ou en situation de handicap). C’était l’occasion pour les lycéens de découvrir le milieu professionnel sur différents sites et de poser diverses questions concernant la place du stagiaire mais aussi sur le mode de fonctionnement de l’établissement, les activités proposées, les divers métiers…
Pour le bac pro MELEC, une visite de l’établissement Krampouz a été effectuée. Quant à la classe de CAP APR, pour des contraintes de calendrier de l’entreprise, cette immersion aura lieu la semaine suivante dans une cuisine centrale.
Dans un troisième temps, les élèves vont faire la synthèse puis la restitution des informations recueillies sous forme d’affiches ou de panneaux exploités ultérieurement lors de la porte ouverte du lycée…
SNU : Service National Universel
Le Service national universel (SNU) s’adresse à tous les jeunes, filles et garçons, âgés de 15 à 17 ans volontaires. Il comporte un séjour de cohésion et une mission d’intérêt général. Les jeunes de 16 à 25 ans peuvent ensuite poursuivre par un engagement volontaire qui peut prendre diverses formes.
Vous trouverez ci-joint une présentation de ce dispositif ainsi que la plaquette 2021.
Les jeunes intéressés peuvent les consulter des informations sur le SNU sur le site dédié du ministère : https://www.snu.gouv.fr/le-service-national-universel-29
Les jeunes peuvent s’engager en s’inscrivant sur le site https://www.snu.gouv.fr
Plus d’informations, vous pouvez consulter la plaquette de présentation, ainsi un power-point.
Sors 2 ta Bulle : le coup de cœur pour Gwénaëlle !
Les secondes APR participent au concours de lecture de BD académique « Sors 2 ta Bulle » mené par M Le Cléac’h (professeur documentaliste) et Mme Le Roy (professeur de lettres).
Les secondes APR participent au concours de lecture de BD académique « Sors 2 ta Bulle » mené par M Le Cléac’h (professeur documentaliste) et Mme Le Roy (professeur de lettres).
Après la lecture des 10 bandes dessinées en compétition cette année, les élèves rédigent un avis argumenté pour chaque ouvrage qui est transmis sur le blog académique ouvert pour le concours. Chaque semaine une critique est décernée « coup de cœur » sur le blog et cette semaine il s’agit d’une élève du lycée Laënnec : Félicitations Gwénaëlle !
"Cette semaine, nous mettons à l’honneur la critique de Gwenaëlle, du lycée Laënnec de Pont-L’Abbé pour Culottées 2 :
Même si c’est un seul livre, il raconte plusieurs histoires de différentes femmes. Chacune a eu de la malchance dans sa vie, ainsi que de l’injustice. Chaque histoire se passe dans un pays différent : ce sont toutes des histoires vraies. L’histoire qui m’a le plus surprise, c’est celle de la femme qui a une barbe. Au début je ne savais pas qu’elle était le point commun entre toutes les histoires… Mais en lisant toutes ces histoires complètement différentes, je pense que le point commun de toutes ces femmes c’est le courage. Elles ne se laissent pas faire et se défendent comme des lionnes ! J’ai beaucoup aimé."
SORTIE AU CENTRE D’ART CONTEMPORAIN DE KERGUEHENNEC
Avec leur professeur d’Arts Plastiques, Christine Papail-Le Breton, les élèves de Terminales suivant l’option sont partis le vendredi 17 octobre toute la journée pour découvrir le domaine de Kerguéhennec, un centre d’art Contemporain, à côté de Bignan, dans le Morbihan.
La journée a commencé par la visite du parc qui présente des sculptures d’artistes contemporains dont les projets ont été réalisés spécifiquement pour ce lieu. Les élèves ont pu voir , le matin, les œuvres sculptées de Jean Pierre Raynaud, Rainer Gross, Markus Raetz, Richard Long, Ian Hamilton Finlay…dans l’immense parc du château.
L’après midi, les élèves ont participé à une visite atelier sur l’exposition des 50ans de la collection Maeght. Ils ont travaillé d’abord en salle sur une pratique du pliage de feuille de papier et leur mise en couleur, une expérimentation sur un processus de création par l’aléatoire.
Sortie pédagogique au théâtre de Cornouaille
Le mardi 14 mai, les terminales ASSP structure et Domicile sont allés voir la pièce « Mon Coeur » de Pauline Bureau, compagnie la part des anges d’après le combat du docteur Irene Frachon et de ses patients contre le Médiator. Ils étaient accompagnés par Mme Labat, Mme Foucaut, Mme Bonetat, M.Elwahidi et Mme Clement.
Sortie scolaire : entre histoire et mémoire
Les trois lauréates du Concours national de la Résistance et de la Déportation ont été invitées, par le Comité départemental, à passer une journée dans le Morbihan, auprès de deux glorieux Résistants.
En guise de récompense, tous les lauréats Finistériens du Concours se sont en effet rendus dans le Morbihan, à Saint-Marcel d’abord, où était organisée, en présence du Maire, une cérémonie mémorielle en hommage aux martyrs du maquis de Saint-Marcel. Ils étaient accompagnés, pour l’occasion, d’Alexis Le Gall engagé dans les Forces Françaises Libres, dès juin 1940, et Alain Bodivit qui a rejoint la Résistance intérieure en 1943, à l’âge de 17 ans.
Place ensuite à la visite du musée de la Résistance bretonne.
Une seconde cérémonie s’est tenue, en fin d’après-midi, à Port Louis, où étaient réunis, au Mémorial des fusillés de la Citadelle, le Maire et son premier-adjoint, des enfants du conseil municipal des jeunes, des membres des associations de Résistance et des habitants de la commune.
Ce fut l’occasion d’un dépôt de gerbe par les collégiens et lycéens du Finistère.
L’après-midi s’est terminée par la visite libre du Musée de la Compagnie des Indes à Port-Louis.
Un programme mêlant avec beaucoup de pertinence histoire et mémoire.
Soutenez le projet « Promenade dans la Rome antique… »
Les élèves latinistes, 1res Littéraire et 1res et Terminales option Arts du Lycée organisent un séjour à Rome du 1er au 6 avril 2019. Aidez-les à concrétiser leur projet.
Leur projet : découvrir le monde antique, faire le lien entre monde antique et monde contemporain.
Pour cela, ils ont lancé une collecte sur la Trousse à projets : c’est la plateforme de financement participatif dédiée aux projets pédagogiques.
Vous pouvez dès à présent découvrir ce projet ici : Promenade dans la Rome antique, et les aider à atteindre leur objectif de collecte.
C’est en réunissant de nombreux petits dons (à partir de 5 euros) qu’ils espèrent réussir leur collecte !
Merci à vous.
Tournoi de gestion 2014
Pour la deuxième année consécutive, certains élèves de secondes de l’enseignement d’exploration Principes Fondamentaux de l’Économie et de la Gestion ont participé au Tournoi de Gestion organisé par l’académie de Rennes.
Cette année, les élèves ont travaillé sur l’entreprise LOC MARIA, celle qui fabrique les célèbres Gavottes. Leur première mission a consisté à rechercher un maximum d’informations sur cette entreprise, à les organiser de manière à répondre à un quizz, à construire un nouveau logo pour cette entreprise et à rédiger une argumentation sur les raisons du succès de cette entreprise et de ses produits. Sur plus de 150 classes inscrites, niveau seconde et première, les élèves du lycée se sont classés dans les 24 premiers. Cela leur a ouvert l’accès à la demi-finale.
Lors de cette demi-finale, les élèves se sont transformés en responsable d’entreprise. En effet, dans le cadre du jeu sérieux SIMULAND, les 24 équipes deviennent 24 entreprises qui se concurrencent sur un marché durant 2h30. Les élèves doivent sur 10 périodes de jeux, avec de nombreux aléas, prendre des décisions sur le volume de production, le prix de vente, le nombre de salariés et leur rémunération, le niveau de publicité, … Leur objectif est d’être l’entreprise la plus rentable.
Cette année, nous terminons dans la première moitié du classement mais notre performance ne nous a pas permis d’accéder à la finale. Nous réessaierons l’an prochain et félicitations aux participants de cette année.
Travaux des élèves de Seconde et 1re en Lettres et EMC
En Seconde 3, l’écriture de courts récits à partir des séries photos sélectionnées, merci aux photographes pour leur autorisation enthousiaste. En Seconde 6, l’illustration en photo de ces courts récits Merci à Irène Jonas qui a accompagné les élèves dans ces 2 activités
En 1re G2, dans le cadre de l’EMC, réfléchir à la manière dont un festival comme « l’homme et la mer » du Guilvinec peut contribuer à renouer les liens sociaux, merci à l’association du festival d’être venue à la rencontre de nos jeunes pour leur expliquer le fonctionnement d’une association
Créer du lien, des liens était sans doute le fil conducteur de ces projets avec le festival :
Lien entre les élèves par les travaux de groupe
Lien entre les classes par un même partenariat
Lien entre les établissements scolaires du Finistère et plus particulièrement de notre Pays
Bigouden.
Lien avec les lieux culturels de ce Pays Bigouden parce que l’élève, me semble-t-il, fier de ses
racines, sécurisé par tous ces liens, pourra se tourner, en confiance, vers les autres et vers
d’autres horizons
La culture, la littérature, les arts, ces photographes qui nous disent le monde, les hommes et les femmes à travers le monde se trouvent dans ces projets que nous menons avec nos élèves
« Dans un monde où les liens sociaux se fragilisent, ce festival nous rappelle l’importance de
se retrouver autour de valeurs communes, de partager et de respecter l’autre. » conclut l’un
des travaux de nos élèves.
Merci à eux toutes et tous pour leur réalisation.
Armelle Le Gall
« Et le chant des femmes appelle la délivrance
Le chant des mères le chant des sœurs
Le chant des sans peur
Le chant de celles qui ne lâchent rien
Le chant pour tenir debout
Le chant courage le chant sauvage
Le chœur des louves
Les yeux de l’enfant
Dévorent la beauté du monde »
Murielle Szac, Elles ont surgi d’une vague
Un travail d’élèves devient « trésor national »
Une vidéo recueillant le témoignage de Joël Lazennec, membre des Forces Navales Françaises Libres (FNFL), vient d’être déposée aux Archives départementales du Finistère par Paul Bachoffer, Carla Ridel et Ninon Vandekerchove.
Réalisée en fin d’année scolaire dernière, la vidéo a fait l’objet d’un don aux archives, entériné par une cérémonie officielle, le 4 novembre, sous la présidence de Bruno Corre, le directeur des archives du Finistère. Elle devient donc « trésor national », c’est-à-dire « bien culturel présentant un intérêt majeur pour le patrimoine français du point de vue de l’histoire ».
Outre l’officialisation du don, la cérémonie prévoyait une passionnante visite des archives menée par Maël Cariou, le responsable du service éducatif.
Un petit cadeau attendait également les élèves : chacun d’entre eux a en effet reçu un ouvrage sur la Grande Guerre réalisé à partir d’archives privées du Finistère. Un petit geste très apprécié qui visait à féliciter Paul, Carla et Ninon pour la qualité de leur travail et à les remercier pour le don qu’ils venaient d’effectuer.
La vidéo est mise en ligne sur le site du musée de la résistance en ligne.
Une exposition sur l’esclavage au CDI
Réalisée par les classes de 2de 1 & 2, cette exposition est affichée au CDI du 9 au 24 mars.
Intitulée « L’esclavage de l’Antiquité à nos jours », elle est le fruit d’un travail mené par les groupes B et C de 2de, dans le cadre de l’accompagnement personnalisé en Histoire-Géographie.
Elle présente un panorama historique de l’esclavage à différentes époques. Nous vous invitons à la découvrir.
Une vidéo sur un héros de la bataille de l’Atlantique réalisée au lycée
Trois élèves de 1re ES2, Carla, Paul et Ninon, ont filmé un entretien avec Joël Lazennec, un marin qui a rallié le général de Gaulle et la France libre dès juin 1940. Ils en ont réalisé une vidéo de 35 minutes.
Intitulée, "Joël Lazennec, un « marin libre » au coeur de la bataille de l’Atlantique", elle retrace l’engagement du jeune homme, à 20 ans, dans les Forces Navales Libres Françaises et évoque le rôle décisif, dans la victoire finale des Alliés, de cette "bataille, qui a duré du premier au dernier jour de la guerre".
Fier d’avoir ravitaillé l’Angleterre durant de longs mois, en défiant la surveillance et les attaques des sous-marins allemands, et contribué ainsi à la préparation du débarquement en Normandie, le Loctudiste d’adoption ne se considère pourtant pas comme un héros.
S’il accepte volontiers de témoigner auprès des jeunes, c’est parce qu’il est sollicité pour cela et surtout qu’il souhaite leur transmettre un message : « ayez un idéal, peu importe dans quel domaine, mais ayez un idéal. Moi, j’avais un idéal, naviguer, et la guerre a constitué une grande aventure pour moi. » C’est à bord d’un cargo armé par la France Libre, le Saint-Bertrand, qu’il a accompli 18 traversées de l’Atlantique Nord, souvent dans les pires conditions et au péril de sa vie.
La rencontre avec le héros de la bataille de l’Atlantique, afin de lui remettre le DVD issu de l’entretien, a été organisée grâce au parrainage de François Fouré, Secrétaire général adjoint de Mémoire et Espoirs de la Résistance. L’occasion pour Joël Lazennec de témoigner, à nouveau, auprès du groupe de lycéens qui ont participé à l’épreuve individuelle du Concours de la Résistance en mars dernier.
Une belle leçon sur le sens et la valeur de l’engagement qui parle sans doute bien plus aux lycéens qu’un cours d’enseignement moral et civique plus « classique. »
La vidéo sera intégrée dans le musée de la Résistance en ligne, dont les responsables souhaitent valoriser le travail réalisé par Carla, Ninon et Paul. Une copie sera également déposée aux Archives départementales.
VISITE DE L’EXPOSITION JEAN DUBUFFET, A LANDERNEAU
Au cours du premier trimestre, les lycéens de l’option facultative Arts Plastiques ont pu profiter de l’opportunité qui leur était offerte avec l’exposition proposée par le fonds Hélène et Edouard Leclerc, à Landerneau.
Répondant à l’ouverture culturelle et à la nécessité de rencontre des élèves avec des artistes et des œuvres, cette visite a permis aux élèves de l’option, ainsi qu’aux Terminale L, de découvrir et d’apprécier l’exposition consacrée à JEAN DUBUFFET. Visite encadrée par les professeurs documentaliste, d’arts plastiques et de lettres : C. Freydier, C Papail-Le Breton, et Y. Le Chevallier.
Visites en écoles primaires réalisées par les terminales ASSP S
Actions d’Education à la Santé pour les scolaires
Les terminales Bac Pro ASSP S réalisent dans le cadre de leur formation, des actions d’éducation à la santé en faveur de différents publics.
Les thèmes sont entre autres :
– l’équilibre alimentaire en classe de CM2
fabrication de la fleur alimentaire qui représente les différents groupes alimentaires
– initiation aux premiers gestes de secours en CM2
Voeux du maire de Pont-L’Abbé
Voeux du maire de Pont-L’Abbé
Le jeudi 16 janvier au Triskel, Monsieur Le Maire de Pont-L’Abbé présentera ses voeux aux citoyens. Les élèves de CAP APR (Agent Polyvalent de Restauration) participeront au service du pot de l’amitiè et du buffet qui clôtura l’événement.
Voyages
Voyages
Voyage en France
Séjour en Val de Loire
Un séjour littéraire, artistique et culturel a été organisé par M. MARTIN, professeur d’Histoire/Géo, en Val de Loire pour les élèves de 2de, en avril 2013.
Ce fut l’occasion d’aborder les thèmes de l’Architecture et de l’Histoire de l’Arts et de l’Humanisme et de visiter les châteaux de Chambord, de Chenonceau, la forteresse royale de Chinon, la « Devinière » maison de Rabelais et enfin le Clos Lucé, dernière demeure de Léonard de Vinci.
Voyage à Paris
Les étudiants de BTS Tourisme se sont rendus avec leur professeur Mme Le Fessant à Paris, en octobre, pour un voyage d’études.
Découvertes artistiques, culturelles et touristiques des hauts lieux de la capitale étaient au programme :
Montmartre, le Père lachaise, les bateaux mouches, le Louvre, l’Opéra Garnier, l’Ile de la Cité, Notre Dame, les Halles, Beaubourg, la Défense, le musée d’Orsay, le Marais puis Versailles ont su captiver nos étudiants.
Voyage à l’Etranger
VOYAGE A VENISE
Chaque année, les professeurs du lycée professionnel organisent un séjour pédagogique dans une ville européenne.
Cette année, leur choix s’est porté sur l’Italie et plus particulièrement sur la Cité des DOGES, VENISE
Ainsi, 63 élèves fréquentant les classes de 2des ASSP structure et domicile, de 1re ASSP domicile et de terminales électrotechniques et biotechnologies et quatre de leurs professeurs de Lettres, Anglais et Mathématiques vont séjourner à VENISE en Italie, du 14 au 18 avril 2014.
Au programme : Visite du Palais des Doges (Porta della carta), visite guidée des quartiers Rialto et Cannaregio, des places, des ponts et des ruelles qui font le charme de cette ville. Des balades en vaporetto vers les îles de la lagune (Murano, Burano et Torcello), la visite d’un atelier de fabrication artisanale de masques, symboles du carnaval, et de la galerie de l’Académie à la rencontre des œuvres de nombreux artistes contribueront à l’enrichissement culturel et à l’ouverture internationale de nos élèves.
GALERIE DE PHOTOS :
Voyage à Berlin
M. LE LOC’H, professeur d’Histoire/Géographie a organisé un voyage à Berlin, pour les élèves germanistes.
L’objectif de celui-ci s’inscrit dans les objectifs pédagogiques du programme d’histoire au lycée (guerre au Vingtième siècle ; totalitarisme).
Les élèves ont découvert à quel point Berlin a marqué l’histoire du Vingtième siècle à travers les visites du camp de concentration de Sachsenhausen, du Mémorial de la SHOAH, du musée de la DDR et des vestiges du mur de Berlin.
La ville fut capitale du régime nazie et devint au lendemain de la guerre symbole de la Guerre froide, enjeu planétaire de la rivalité Est/Ouest.
Aujourd’hui, Berlin est une capitale européenne. L’urbanisme mêle à la fois les souvenirs d’un passé douloureux et le développement durable.
Voyage à Bilbao
Après avoir établi une correspondance entre les élèves du lycée Laennec de Pont l’Abbé et l’établissement Begoñako Andra Mari à Sestao, Bilbao au Pays Basque en Espagne, pour échanger des informations sur leurs régions respectives, Mme Moreno, professeur d’Espagnol accompagné de M. Perrigaud se sont rendus avec 17 élèves de la section européenne hispanisante à Bilbao du 13 au 19 mai 2013.
Ce séjour a permis de plonger les élèves dans un bain linguistique et de les mettre en situation réelle de communication.
Ils ont pu découvrir le patrimoine culturel du Pays Basque et de Bilbao, legs du passé qui s’allie à l’art contemporain, prendre conscience de l’essor, du renouveau de Bilbao et de ses attraits touristiques depuis la construction du musée Guggenheim, (lien avec la DNL dispensée par le professeur de Tourisme), le tout dans un souci constant de mettre en valeur et de préserver l’environnement.
Voyage à Valencia
Mme LE DARS, professeur d’Espagnol et ses élèves de secondes LV2 et de 1re Bac Pro Comptabilité se sont rendus à Valencia, en Mars.
Au programme : Visite de la Cité des Arts et des Sciences, Musée fallero, visite de la ville de Valencia, lagune de la Albufera, dégustation de la Horchata, tribunal des eaux, musée taurin et rencontre avec l’établissement partenaire.
Voyage à Cardiff au Pays de Galles
Après échanges de mails et de lettres avec l’école St John Lloyds à Lanelli, les 47 élèves de seconde, première et Terminale option Anglais renforcé ainsi que les Terminales L option Anglais approfondi sont partis à la rencontre de leurs correspondants au Pays de Galles. Ce séjour à Cardiff et à Bristol, organisé par Mme PRIMOT, professeur d’Anglais, s’est déroulé du 4 au 8 février 2013.
Voyage en Tunisie pour les BTS Tourrisme
C’est en Tunisie que MM. PERRIGAUD et MARTIN, respectivement professeur de Tourisme et d’histoire/Géographie, ont conduit les étudiants de BTS.
« Le banal sublime »
Exposition photographique des élèves de 1res, option arts plastiques
A l’heure où photographier témoigne d’une banalité quotidienne, devient un geste sans préméditation, juste appuyer sur un écran plat ou sur un bouton, l’œuvre de Fernande Petitdemange nous rappelle que la photographie est une question de regard… Ses photographies révèlent toute la poésie, la beauté de ces riens, de ces choses invisibles. Elles témoignent aussi d’une démarche artistique, par la collecte, la mise en scène, le point de vue.
Porter un regard différent, s’engager, affirmer un point de vue, tel était l’objectif du travail. En l’associant au projet des « Journées de la mer et du littoral », les élèves s’approprient un paysage qui est le leur.
Au lycée des métiers
Action Octobre Rose pour les Terminales ASSP Option Domicile
Nous nous sommes rendus avec Mesdames Foucaut et Pochat au Phare d’Eckhmül à Penmarch. Dans le cadre d’octobre rose, L’association La PenmaR’Ose a fait appel à diverses personnes pour tricoter. L’Ehpad de Plonéour-Lanvern a pris contact avec notre enseignante pour lui proposer de tricoter dans le cadre des séances d’animation. L’objectif était de tricoter une écharpe sur les tons Rose de plusieurs mètres pour entourer le phare dans le cadre d’Octobre Rose : c’est un mois pour sensibiliser au dépistage du cancer du sein. Tous les ans au mois d’octobre, ce sont des milliers de personnes qui se mobilisent pour la lutte contre le cancer du sein. Allez hop c’était parti ! Nous nous sommes rendus quatre fois à l’Ehpad pour tricoter avec les résidents. Ce sont eux qui nous ont appris à tricoter. La pro- fesseuref nous avait expliqué comment monter une maille mais c’est vrai que de voir nos aînés nous apprendre,c’était très enrichissant et valorisant pour eux. Beaucoup d’Ehpad du coin et de particuliers ont aidé à réaliser cette longue écharpe qui finalement fait 85 mètres, ;il y a même un foyer logement de Bar- le-Duc qui s’y est mis … On a eu des dons de laines par Bergère-de-France. Et voilà, mercredi 11 octobre 2023, nous sommes allés à l’inauguration ; on a eu la chance de couper un morceau de laine devant le phare en guise de baptême pour l’écharpe. Cette inauguration s’est prolongée à la salle Cap Caval ou l’association PenmaR’Ose nous a offert boissons, gâteaux et on est repartis avec un petit présent pour nous remercier.
Lycéens en Terminale ASSP option Domicile, nous remercions toutes les personnes qui ont contribué à cette belle action.
Semret, Bastien et Mme Foucaut.
Action semaine bleue pour les élèves de la 1re ASSP
Une après-midi festive au Triskell
Mardi 03 Octobre, notre classe de 1re ASSP 2, nous nous sommes rendus au Triskell, pour participer à une après-midi dansante avec les résidents des Ehpad de Pont- l’Abbé, Plonéour-Lanvern, Combrit ainsi que des personnes suivies par le CCAS de la ville de Pont- l’Abbé. Cette rencontre a eu lieu dans le cadre de la semaine bleue : semaine nationale dédiée à la personne âgée et aux retraités qui a été lancé en 1951. Cette semaine a pour but de contribuer aux enjeux de la cohésion sociale et au changement de regard sur les personnes âgées, comme l’indique son slogan : « 365 jours pour agir, 7 jours pour le dire ». Lors de cet après-midi-là, nous avons eu l’occasion de mettre en avant certains de nos talents : nous avons dansé avec eux (Madison, valse, …), nous avons participé aux services des boissons et collations et nous avons échangé avec les aînés. C’était une après-midi très enrichissante et émouvante. Cette sortie nous a permis de mettre en avant certaines compétences professionnelles et d’appréhender notre prochaine période de formation en milieu professionnel qui se déroulera auprès d’un public non autonome. Nous remercions le CCAS de la ville de Pont l’Abbé qui est à l’initiative des animations de cette semaine spéciale ainsi que les différents partenaires, et nos enseignant(e)s.
Les élèves de la 1re ASSP 2 le 20 octobre 2023.
Animation Watt is Smart au lycée
L’exposition sur le thème « watt is smart » a eu lieu dans la salle « Autret » le mercredi 13 octobre … Les élèves par groupe de deux participent à la gestion d’un territoire fictif , chaque équipe se retrouve avec une commune à gérer ( source de production et équipements à créer …).
Après un questionnaire sur leurs habitudes de consommation , qui aura un impact direct sur la puissance demandée … les élèves doivent choisir leurs sources de production ainsi que les infrastructures( collège ,cinéma etc ) , cela avec un boitier de vote .
Le médiateur Mr Leroy peut même influencer la météo ! . Un équilibre est a trouver entre la puissance demandée et la puissance consommée … et le groupe gagnant est celui qui réussi le mieux cet équilibre .
La prise en main est facilitée par le médiateur , cette intervention est au coeur des enjeux énergétiques d’aujourd’hui ( compteur linky et maitrise des consommations ) et si cette intervention concerne principalement les sections MELEC , elle est applicable aux autres classes ( dans notre cas la section 1 AP y a participé ).
Mr Bruno coordinateur de l’exposition
Avez-vous déjà entendu parler de la « Semaine bleue » ?
Avez-vous déjà entendu parler de la « Semaine bleue » ? Certainement, car c’est une rencontre annuelle qui a lieu chaque première semaine d’octobre en France. Elle est bleue car c’est la couleur qui symbolise la sagesse et la plénitude du grand âge. Jeudi 5 octobre, les élèves de la 1 ASSP1 (accompagnement, soins, services à la personne) ont participé à une rencontre intergénérationnelle organisée par Mesdames Colin et Foucaut, enseignantes en Sciences Techniques Médico-Sociales. L’EHPAD de Pors Moro de Pont-l’Abbé accueillait des résidents des EHPAD des alentours ainsi que nous, futurs professionnels. Dans la bonne humeur, jeunes et moins jeunes se sont défiés dans d’amusantes parties de jeux traditionnels bretons : boîte à palets, grenouille, lancer d’anneaux… Tout le monde a passé un très bon moment. Les élèves étaient ravis par cet échange qui a conforté leur choix d’orientation. Alors, pourquoi ne pas multiplier ce type de rassemblement ? Tous les élèves de la 1ASSP1, Lycée Laennec, le 11 octobre 2023
Création de jeux de société en Première ASSPS
La classe de 1re ASSP S en lien avec les cours d’Animation avec Mme Foucaut ont mis en oeuvre un projet d’animation : créer des jeux de société sur le thème du pays bigouden à l’attention d’un public dépendant (Personnes Agées et/ou Personnes en Situation de Handicap).
Les élèves ont eu 7 séances de 2 heures (environ) pour réaliser par groupe de 3 un jeux de société en y créant tout : le plateau, le dé, les pions, les cartes, la boite de jeux, les règles du jeu …. le but étant de mettre en pratique la théorie vue précedemment et de les préparer à l’épreuvre d’animation du bac qui se déroule au cours de la pfmp de juin 2021 : créer, mettre en oeuvre et évaluer un projet d’animation ou des activités collectives auprès d’un public dépendant.
Les élèves malheureusement à cause de la crise sanitaire n’ont pas pu aller présenter les jeux en Ehpad et en Foyer médicalisé. Ils ont du coup mis en oeuvre les jeux auprès de la classe de 2d ASSP Structure et espèrent pouvoir les présenter l’an prochain en établissement médico social.
Des jeux au lycée
Mardi 22 mars et Jeudi 24 mars les élèves de 1re ASSP Structure ont mis en œuvre un projet d’animation axé autour d’ateliers cognitifs sur le thème du Pays Bigouden auprès de la classe ULIS et des CAP PSR1.
Divers jeux ont été proposés : Uno Breizh, des mots fléchés, mémory breton, Des mots dans le désordre, un dooble breton, etc…. « Un moment très convivial qui a permis aux élèves de mettre en œuvre les jeux qu’ils ont élaborés et de se mettre dans la peau d’animateur » / « Mener notre activité c’était chouette » Tous les jeux ont été élaborés lors des cours d’animation avec Mme Foucaut. Les élèves ont eu plusieurs séances de 2 heures pour réaliser par groupe de 2/3 leur atelier. « Il a fallu tout créer, les cartes, la règle de jeux, la boîte… et surtout trouver un jeu adéquat » dixit certains élèves.
Ce travail leur permet de se préparer à l’épreuve E32 « Projet d’Animation » qui se déroulera lors de leur prochaine PFMP qui aura lieu pour la plupart des élèves en EHPAD en juin 2022 : créer, mettre en œuvre et évaluer un projet d’animation ou des activités collectives auprès d’un public dépendant.
Pour finir ce travail, les élèves iront prochainement à l’EHPAD Pors Moro à Pont l’Abbé pour de nouveau se mettre en pratique.
Etre confrontés au Handicap le temps d’un après-midi
Deux résidents du Foyer Pen Ar Prat de Pont L’Abbé se sont rendus ce mardi 26 novembre au lycée Professionnel LAENNEC accompagnés de Valérie Cossec Animatrice et Judicaëlle Aide Médico Psychologique pour rencontrer les élèves de la classe de Terminales Accompagnement Services et Soins à la Personne Option STRUCTURE.
« Se mettre à la place de … le temps d’une après-midi », voici le but de cette rencontre, explique Elodie FOUCAUT, enseignante de Sciences Technique Médico-Sociales … « De plus, très peu de nos élèves ont l’occasion d’aller en stage dans des structures qui accueillent des personnes en situation de handicap du fait de leur jeune âge …. » Après un échange avec Gilles et Sophie, qui vivent au foyer de vie depuis plusieurs années, sur leur quotidien, les élèves se sont mis en situation. En effet, ils se sont confrontés à la réalité en effectuant un circuit dans le lycée et dans la cour en fauteuil roulant manuel et électrique. « Ce n’est pas toujours facile d’avancer ; ça tire dans les bras » explique certains élèves.
Organiser une démarche de ce type permet de dédramatiser des situations que les lycées pourront rencontrer plus tard dans leur poursuite d’études. En effet « les élèves après réussite au baccalauréat intègreront des écoles d’aide-soignante, infirmière, certaines postulent en BTS Economie Sociale et Familiale ou Services et Prestations des Secteurs Sanitaire et Social, d’autres en formation Accompagnement Educatif et Social », souligne l’enseignante.
Après la venue des 2 résidents, ce sont les élèves de la classe qui se rendront au foyer Pen Ar Prat afin de visiter leur lieu de vie, de rencontrer les différents professionnels de la structure ainsi que d’autres résidents.
Découverte, apprentissage, joyeux, convivial, partage, enrichissant, instructif, surprenant, touchant, etc… voici quelques mots que les élèves ont cités pour conclure cette rencontre.
Journée d’intégration à l’Ile Tudy
Elèves de secondes ASSP (Accompagnement, Soins et Services à la personne) accompagnés des secondes MELEC (Métiers de l’Électricité et de ses environnements Connectés), des 1re année CAP PSR (Production et Service en Restaurations) et de nos enseignants, nous nous sommes rendus à l’Ile Tudy, le jeudi 11 septembre 2025 pour participer à notre journée d’intégration.
Nous avons pu découvrir des activités nautiques : nous avons eu le choix entre faire du kayak biplace/binôme ou de la plate (Petite barque en bois). Sur une plate nous étions 5. Nous avons eu de la chance pour le temps, la pluie s’est arrêtée fin de matinée mais malgré tout nous avons dû nous habiller en tenue adaptée.
Nous avons navigué et fait des jeux sur l’eau pendant 1h30. Certains de nos camarades sont tombés à l’eau, et d’autres ont été éclaboussés c’était marrant. Nous avons mangé tous ensemble face à la mer et sous le soleil. L’après-midi, nous avons été mélangés et nous avons fait des jeux de théâtre, des jeux de coopération et du molky tout cela dans la bonne humeur.
Nous sommes rentrés au lycée, ravis de cette journée riche en émotions et en découvertes mais avec beaucoup de fatigue (mais de la bonne fatigue). Nous avons pu faire connaissances avec nos camarades, c’était chouette.
Nous remercions le lycée pour cette journée.
Les podcasts du lycée des métiers
mardi 01 octobre : semaine bleue avec les élèves de 1re ASSP.
Le mardi 01 octobre, nous nous sommes rendus au Triskell avec l’autre classe de 1re ASSP dans le cadre de la semaine bleue pour une après-midi dansante.
La semaine bleue est une semaine nationale dédiée à la personne âgée : cette semaine a pour vocation de valoriser la place des aînés dans notre société et l’importance des liens entre les générations. Cette année le thème de la semaine bleue était : « Bouger ensemble pour entretenir la flamme ». Ce thème est en lien avec les Jeux Olympiques que nous avons vécu tout l’été. La vieillesse pour beaucoup de monde est synonyme d’inactivité et en mettant en place cette semaine, la société prouve bien le contraire.
« Nous avons accueilli les ainés lorsqu’ils sont arrivés des différents EHPAD ( Pors Moro, Les Camélias, Kerbor’his, Le Prat) et des particuliers et nous les avons accompagné pour les installer autour des tables. Nous avons dansé et communiqué avec eux et nous leur avons servi un goûter (thé, café, gâteaux) » explique les élèves de 1re ASSP. « Cette sortie nous a permis d’appréhender notre future pfmp qui aura lieu auprès d’un public personne âgée » déclare une élève. Nous avons passé une excellente après-midi. C’était dynamique, joyeuse, agréable et très positive pour la suite de notre formation.
Nous remercions le CCAS de Pont l’Abbé pour l’organisation de cette semaine et de nous y avoir conviés.
Médaille d’argent pour un élève de bac pro MELEC
Jeudi 17 septembre 2020 a eu lieu, au Lycée Vauban de Brest, l’épreuve de sélection départementale du concours MAF (un des Meilleurs Apprentis de France) dans la spécialité Electricien. A l’issue de 8 heures d’épreuve portant sur la réalisation d’un ensemble électrique, Damien Vigouroux, élève de Bac Pro MELEC (Métiers de l’ELectricité et de ses Environnements Connectés) au Lycée LAENNEC de PONT-L’ABBE a obtenu la médaille d’argent.
Il est de ce fait qualifié pour les sélections régionales du concours. Cette médaille récompense le travail d’un an de préparation.
Mise en situation professionnelle : activité manuelle autour de Noël…
Mardi 10 décembre 2019, les 9 élèves de la classe de 2d ASSP option Domicile se sont rendus à l’école Merville de Pont l’Abbé avec Mmes Foucaut et Clément et ont proposé aux élèves de Moyenne Section des ateliers manuels autour du thème de Noël…
Le but de cette rencontre était de mettre en pratique tous les apprentissages théoriques appris depuis la rentrée scolaire. Une nouveauté pour ces jeunes élèves.
Timidité, appréhension, découverte, apprentissage, envie, … ont été les maîtres mots de la matinée !!!
Les enfants de Moyenne Section de la classe de Cécile Le Pape ont participé activement à cette matinée pas comme les autres. Les élèves de 2d bac pro se sont investies, elles ont commencé par chercher différentes idées d’ateliers, ensuite, ont réalisé un prototype avant de préparer tout le matériel pour le jour « J » afin de mettre en œuvre leur atelier. 7 ateliers ont été proposés : cartes de fin d’année, carte de noël, tête de père noël, cerf et rennes en assiettes en papier, compte à rebours de noël, etc…. Chacune des élèves était responsable de son propre atelier.
Merci aux élèves de 2d Bac Pro ASSP Option Domicile
Semaine bleue 2021
Lors de la semaine bleue 2021, les élèves de première BAC PRO ASSP option domicile du lycée Laënnec de Pont L’Abbé, sont intervenues l’après-midi à la résidence des Camélias.
Encadrées par leur professeur, Mme Le Livec Françoise, cette rencontre intergénérationnelle a été l’occasion pour les élèves d’accompagner nos ainés lors d’une animation de loto musical. Ces élèves dès leur arrivée et sur les indications de l’animatrice de la résidence se sont rendues dans les logements des résidents afin de se présenter et proposer l’animation. Cet après-midi a permis des échanges fructueux et conviviaux entre les générations
Sensibilisation au braille pour les secondes ASSP
Dans le cadre de leur enseignement des Sciences Médico Sociales, la classe de 2de ASSP (Accompagnement Soins Services à la Personne) a été sensibilisée au handicap et notamment au système d’écriture à l’usage des personnes aveugles ou fortement malvoyantes : le braille.
Le braille est une écriture tactile à points saillants. Le braille standard est un caractère dans une matrice de six points sur 2 colonnes, chaque caractère étant formé par un point en relief. Les élèves par groupe ont réalisé un alphabet à base de matériaux différents pour les points saillants (coquillage, boutons, légumes secs, haricots, grains de café). Les jeunes ont pu sensibiliser leurs paires à cette écriture en leur proposant d’écrire leur prénom et ils ont aussi fait la signalétique des salles du LP
Sortie des 1ASSP2 au théâtre de Cornouaille
Mardi 26 mars 2024, la classe de 1re ASSP 2 s’est rendue au théâtre de Cornouaille pour une visite guidée en avant-première de la sortie théâtre du jeudi 11 avril pour le spectacle « King Lear Syndrome ou les mal-élevés » avec leurs enseignants Mesdames Foucaut, Labat et Papail-Le Breton et Mr Paubert.
Cette sortie entre dans le cadre du Chef d’œuvre, sur le thème du « Théâtre ».
Cette visite fait l’objet d’un travail de restitution sous la forme de diaporama, de clips vidéo …
Les élèves ont pu visiter les coulisses, la scène, les sous-sols, la salle, et écouter l’histoire de ce théâtre et des anecdotes liées au monde du spectacle. Nous remercions notre guide Clotilde pour cette intéressante visite.
Visite à La Conserverie Le Gall à Loctudy
Dernièrement, les élèves de 1 ASSP S accompagnés de 2 enseignantes, Mmes Bonetat et Foucaut ont visité la conserverie Le Gall à Loctudy qui a ouvert ses portes il y a quelques mois. Tout au long du parcours de nombreux liens avec les cours d’histoire et de sciences médico-sociales ont relancé l’intérêt du déplacement.
Les élèves ont apprécié cette enrichissante visite car ils ont découvert les conditions de travail du passé dans un lieu plein de surprises et rempli d’histoire. Tout cela dans un lieu qui fait partie de l’environnement quotidien de beaucoup d’élèves. Ils ont aussi été surpris par la petite taille de l’usine et par la proximité de la conserverie avec les lieux d’habitation des ouvrières qui devaient être joignables à toute heure au son de la cloche, dans un monde sans téléphone ! Tout le monde a apprécié de sortir de la classe, comme si la crise sanitaire était loin derrière.
Alors, on conseille cette visite aux curieux du pays bigouden et d’ailleurs, et de tout âge !
Les élèves de 1res ASSP S.
VISITE AU MUSEE DEPARTEMENTAL BRETON
Les élèves de terminale CAP PSR, sont allés à Quimper pour visiter le musée départemental breton, le 22 novembre.
Ils ont assisté à une visite conférence sur la vie quotidienne au XIXe siècle. Ils ont pu découvrir comment vivaient les personnes en Bretagne à cette époque, à partir de la collection de costumes et de meubles du musée.
Cette visite a été réalisée dans le cadre du cours d’arts appliqués où ils ont exploré des objets emblématiques dans l’histoire du design. Tout s’est bien passé, malgré un imprévu sur le retour. Le bus n’est jamais passé à l’arrêt prévu… Nous avons dû prendre le suivant 1h20 plus tard. Je remercie les élèves pour leur fairplay, alors qu’ils avaient très faim !
Les accompagnateurs : M. C.Benwout et leur professeure d’arts appliqués, Mme Papail Le Breton
Laennec et l’international
Actions et voyages
« Promenade dans la Rome antique… »
Les élèves latinistes, 1res Littéraire et 1res et Terminales option Arts du Lycée ont effectué un séjour à Rome du 1er au 6 avril 2019.
Découvrir le monde antique, faire le lien entre celui-ci et le monde contemporain, tels étaient les objectifs de ce séjour dans la capitale italienne pour les 51 lycéens, accompagnés de Mmes Goasmat, Gouletquer et Felut.
Le premier jour, après avoir arpenté la colline du Palatin et le Forum, les élèves ont pu découvrir le Colisée, le plus grand amphithéâtre du monde romain.
Le lendemain, c’est à Tivoli, à une trentaine de km à l’Est de Rome, que le groupe s’est rendu pour visiter les villas d’Este et Adriana.
Le troisième jour du séjour était réservé à la visite des musées (musée national Étrusque, situé dans la villa Giulia, et Galerie Nationale d’Art Moderne et Contemporain dans la villa Borghèse), après une plongée, via Appia, dans les catacombes de Saint-Sébastien. Fondées au 3e siècle, celles-ci ont servi de cimetière chrétien et ont accueilli la dépouille de Saint-Sébastien jusqu’au 5e siècle
Avant leur retour à Pont-l’Abbé, les lycéens et leurs accompagnatrices ont aussi visité le Palazzo Massimo et les thermes de Dioclétien. Enfin, une promenade libre, à pied, leur a permis de parcourir la Rome de la Renaissance et baroque, jusqu’au Panthéon, à la Piazza Navona et à la célèbre Fontaine de Trevi.
Le groupe était hébergé en pension complète dans un hôtel de Santa Marinella, avec vue sur la mer Tyrrhénienne.
Durant ces quelques jours à Rome, les lycéens ont donc pu découvrir le monde antique, faire le lien entre les différentes périodes artistiques, entre hier et aujourd’hui, montrer les échos de l’Antiquité à travers le temps, apprendre à vivre ensemble et découvrir une ville mythique.
Ce séjour s’inscrivait dans le cadre de la préparation du baccalauréat en permettant aux élèves d’établir le lien entre tous les arts, de croiser les différentes époques, de travailler sur des œuvres,… Mais aussi de faire la promotion des Langues Anciennes, en découvrant combien notre civilisation en est imprégnée.
65 élèves du lycée Laennec sur les lieux de mémoire de la Shoah
65 élèves du lycée Laennec devraient se rendre au printemps prochain sur les lieux de mémoire de la Shoah. Ce séjour a pour objectif de mieux comprendre le processus génocidaire qui conduisit lors de la Seconde Guerre mondiale à l’extermination de près de 6 millions d’Européens.
Ce séjour a un coût (63 000 euros) et nous comptons sur votre aide pour nous aider à le financer.
Vous pouvez retrouver les détails de notre projet et participer au financement via ce lien :
https://trousseaprojets.fr/projet/6756-les-memoires-des-genocides-juifs-et-tsiganes-lycee-laennec
A Bristol et au Pays de Galles
Fin mars-début avril, une cinquantaine d’élèves de la section d’approfondissement anglais (1re et terminale) et la classe de première L sont partis au Pays de Galles.
Ils étaient accompagnés de Mmes Primot, Goasmat et Felut, M. Delabarre, ainsi que de l’assistante canadienne Yooseung. Les élèves ont pris le bateau à Dunkerque (après plus de 8 h de route), ils se sont ensuite rendus à Bristol où ils ont passé une journée dans le musée @Bristol qui est un musée interactif très intéressant.
Ils ont ensuite rejoint leur famille d’accueil à Cardiff où ils ont passé la nuit. Le jour suivant, la journée s’est déroulée à Swansea où les lycéens ont découvert les chutes d’Aberdulais (des chutes magnifiques habituellement, mais un paysage un peu décevant ce jour-là, à cause du mauvais temps). Ils y ont appris le pouvoir de l’eau et l’impact de l’industrie.
Le jour d’après, les élèves et leurs accompagnateurs ont visité le Welsh Folk Museum, la reconstitution d’un village gallois authentique. Dans l’après-midi, ils ont eu du temps libre pour faire du shopping ou se balader dans la ville.
Le lendemain, ils ont découvert le Millenium Stadium de Cardiff où ils ont vu des joueurs de Rugby s’entraîner.
L’après-midi, ils ont pu parcourir la capitale galloise et faire du shopping dans le grand centre commercial de la ville. Ils ont ensuite rejoint le bus et repris le bateau pour Dunkerque, avant un retour au lycée vers 13 h 30.
Day 1 : Sunday, 28th of February
The students left Pont-l’Abbé at 4 pm by coach to Dunkerque where they took the boat to Dover.
Day 2 : Monday, 29th of February
After leaving Brittany, they arrived at Calais at 3 am to take the boat at 4h during 1:30. They were at Dover at 4:30 (be careful of time difference !). Then, the bus took them to Bristol at 9:30, and they visited the @-Bristol, which is a playful and interactive museum of sciences. They also discovered the solar system through the planetarium. Next, they took a break to relax, with the visit of Bristol. Then they joined the bus at 6:30 pm, in order to meet their families. They met them at 7:30 pm, and discovered their houses and their way of life.
Day 3 : Tuesday, 1st of March in Swansea
They started the day at 8:30 am in Swansea. They were headed for Talbot to visit the Aberdulais Falls where they discovered the power of water and the impact on the industry. In the afternoon, they discovered Gower Peninsula.
Day 4 : Wednesday, 2d March in Cardiff and the folklore
In the morning, in Cardiff, they visited the Welsh Folk Museum, which is a reconstitution of the evolution of a typical Welsh village over time. In the afternoon, they did some things organized by the teachers (discovery of the city and shopping).
Day 5 : Thursday, 3rd of March
They left their families at 8 am. In the morning they visited the Millenium Stadium which is the most impressive stadium in Europe with its futuristic and spectacular appearance. The afternoon they visited the capital of Wales : the Civil Center, the Arcades, the museum. And they also went shopping. After that, they had an appointment with the bus driver at 5:15 pm and they went to Dover where they took the boat for Dunkerque at 11 : 59 pm.
Day 6 : Friday, 4th of March
They arrived by boat in France at 2:30 pm. Next unfortunately, they were driven back to the high school by coach to finally arrive in Pont-l’abbé at 1:30 pm, they had wonderful memories in their mind.
Article rédigé par Sydney Berger (1re 2), élève de la section d’approfondissement anglais.
Accueil d’une enseignante Galloise au lycée professionnel
Dans le cadre de sa politique d’ouverture sur l’Europe, le lycée professionnel Laennec a été sélectionné par le consortium B’Mouve de la région Bretagne, en partenariat avec l’IFAS de Douarnenez, pour accueillir 4 étudiants Gallois et deux professeurs du 15 au 21 mars. Ainsi, tout au long de ce voyage de découverte professionnelle, ils auront l’occasion de comparer la prise en charge des patients dans les deux régions. Par ailleurs, cette immersion en Bigoudennie sera leur première approche à l’identité Bretonne, au travers de sa culture, de son patrimoine, de son économie et de sa gastronomie.
Nous avons eu le plaisir de recevoir Leanne Hallett, professeur de biologie au College Gwent, au Pays de Galles qui a fait le déplacement pour quelques jours afin de finaliser l’organisation du voyage.
Au cours de ce séjour, qui alternait visites touristiques et professionnelles, nous lui avons fait visiter la région (Pont L’Abbé et sainte Marine, Quimper et Concarneau), le lycée et l’EPHAD « les camélias » de Pont L’Abbé. Bien évidemment, le repas de crêpes et des produits de la mer ont été des incontournables !
Après des échanges très intéressants, nous lui avons remis un panier gourmand composé de spécialités Bretonnes, qu’elle a ramené avec plaisir dans ses bagages. Ainsi, son souvenir de la Bretagne durera un peu plus longtemps, de l’autre côté de la Manche !
Atelier cuisine en espagnol
Le 4 mars, comme nous avons pris l’habitude de le faire ces dernières années, les élèves de section EURO de 2de et de 1re ont participé à un atelier cuisine.
Cette année nous avons profité de la présence de notre assistante mexicaine Diana pour mettre le Mexique à l’honneur.
Après avoir consolidé le lexique lié à la cuisine, les élèves ont dans un premier temps découvert les habitudes, les produits et des plats typiques mexicains avant de concocter quelques recettes autour de la tortilla.
Le jour J, en salle de cuisine du lycée professionnel, ils ont pu réaliser ces recettes, bénéficiant des conseils avisés de Diana, le tout en espagnol bien évidemment !
Atelier d’écriture Lycée Laennec/Goéland Masqué
Dans le cadre du partenariat avec le festival du Goéland Masqué, le lycée Laennec accueillait ce vendredi 7 juin deux auteurs espagnols de renom : Víctor del Árbol et Carlos Zanón.
Tous les élèves de section européenne ESPAGNOL ont assisté ce matin à une conférence au cours de laquelle les deux écrivains ont évoqué de manière vivante leurs œuvres et leur façon de travailler. Ils ont répondu aux nombreuses questions des élèves enchantés de découvrir leur univers et leurs sources d’inspiration.
L’après-midi, les élèves de 1re ont participé à deux ateliers d’écriture sur le roman noir. Ils ont présenté et retravaillé les textes en espagnol sur lesquels ils planchent, seuls ou en petits groupes, depuis plusieurs semaines pendant les cours de section EURO. Les auteurs leur avaient auparavant donné les bases des intrigues et quelques consignes.
Les auteurs ont montré beaucoup d’intérêt face à la créativité et à l’imagination des élèves, ont dispensé de nombreux conseils et les ont amenés à se poser de nombreuses questions sur le processus d’écriture. Enfin, chaque groupe a finalisé un récit basé sur les contributions de chacun.
Les élèves – et les auteurs – ont particulièrement apprécié cette journée d’échange qui leur a permis de pratiquer l’espagnol et de découvrir le monde de la littérature noire.
Ateliers cuisine bolivienne
Les vendredi 29 janvier et 5 février, les élèves de section EURO de 2de, 1re et Tle ont participé à un atelier cuisine, sous la direction de notre assistante bolivienne, Fammy Marin, à raison de deux heures par groupe.
Ce sont donc des plats boliviens qui cette année ont été inscrits au menu de cet atelier particulièrement vivant et entièrement réalisé en espagnol.
Après avoir découvert le lexique lié à la cuisine, les élèves ont, la semaine précédente, en cours, suivi les explications de Fammy au sujet des habitudes, des produits et des plats typiques boliviens avant de réaliser quelques recettes de specialités dans la salle de cuisine du lycée professionnel.
Ils ont ainsi pu cuisiner le « pique-macho », le plat national mais aussi différentes recettes à base de bananes plantain et de manioc (« Masaco de Yuca », « Masaco de plátano », « Masaco de yuca al horno »), ingrédients indispensables dans la cuisine bolivienne, le tout dans la bonne humeur et sous l’œil et les conseils avisés de Fammy.
¡Buen provecho !
Ateliers théâtre en espagnol
Projet théâtre en espagnol pour la section EURO espagnol au lycée LAENNEC
-* Le projet : écrire une pièce en espagnol et la représenter. Projet qui fait l’objet d’une subvention Karta par la Région Bretagne et qui permet donc ce partenariat avec l’association La Obra.
-* Le public concerné : les élèves de terminale EURO espagnol (15 élèves)
-* Les intervenants de l’association Strollad La Obra
- en amont Martina Diaz Perez, militante indienne maya-tsotzil, a présenté aux élèves une conférence sur les peuples indigènes d’Amérique Latine et plus particulièrement du Chiapas d’où elle est originaire
- Pour les ateliers Théâtre (8 en tout) c’est Carolina Garel, artiste espagnole qui guide les élèves. Nous venons de terminer le 3e, suivra ensuite une période d’écriture de la pièce en cours d’EURO, puis Carolina reviendra pour 5 ateliers, préparer la mise en scène et le spectacle final.
Lors de ces trois premiers ateliers, Carolina, grâce à des activités variées et toujours en espagnol, a fait prendre conscience aux élèves de l’importance de l’espace scénique, de leur expression corporelle, de la nécessité d’interagir et de fonctionner ensemble. Petit à petit, elle leur a fait prendre connaissance des textes qui serviront de point de départ à une pièce qui se voudra chorale et expressive.
-* Les objectifs : Les ateliers favorisent la prise de parole à l’oral, l’aisance ainsi que le lâcher prise grâce à la découverte des techniques d’improvisation et des jeux théâtraux. Ils permettent ainsi de développer les compétences orales dans l’apprentissage des langues.
-* Le thème retenu : la situation des peuples indigènes en Amérique Latine, tout particulièrement au Chiapas. Leur vision du monde. La situation des femmes dans ces communautés. A affiner au fur et à mesure du processus de création de la pièce mais les élèves ont commencé à travailler sur des recueils de contes du Subcomandante Marcos qui invitent à la fois au rêve et à la lutte.
Bienvenida Fammy
Conférence sur les peuples indigènes pour les sections EURO espagnol
Des terminales à Londres
Alors que certains de leurs camarades découvraient Santander pour les uns, le Pays de Galles pour les autres, les élèves de TES2, TSTMG 1 & 2 ont parcouru la capitale du Royaume-Uni pour s’immerger dans la culture britannique.
Au programme le premier jour : visite du quartier de Westminster, relève de la garde à Buckingham Palace, quartier chinois.
Par la suite, les élèves ont pu visiter l’immense British museum, avec son impressionnante architecture. Ils y ont pris quelques photos du département égyptien, dont la célèbre Pierre de Rosette
Le lendemain, ils avaient le choix entre deux musées (celui des sciences ou celui d’histoire naturelle), tandis que l’après-midi, ils ont goûté les joies d’une visite interactive de la BBC, certains se prêtant même au jeu de journaliste.
Par la suite, la découverte de la City s’est révélée particulièrement intéressante, grâce à des guides très impliqués : Leaden hall (lieu du tournage du premier Harry Potter lorsqu’il arrive dans « le chemin de traverse »), gherkins tower (tour cornichon pour les Français), Guildhall (mairie de la City où se préparait une réception) puis balade dans Covent garden et les environs.
Le séjour s’est poursuivi dans le quartier des Docks par une chasse au trésor et la visite du Musée des Docks, avant une conclusion du voyage par un fish ans chips dans un pub.
Une très instructive plongée de quelques jours dans la langue, la culture ou la géographie de Londres.
Echange avec le Mexique
Les élèves de 1re euro espagnol se sont investis ce dernier trimestre dans un échange avec de jeunes Mexicains de l’État du Chiapas. Au programme, une prise de contact en visio, un fil de discussion whatsapp pour maintenir et développer le contact, la réalisation d’une vidéo, le tout en espagnol bien sûr.
Le thème de l’échange : le rapport à sa culture locale pour un jeune d’aujourd’hui. D’un côté de jeunes mayas de langue tzotzil, de l’autre de jeunes Bretons bigoudens. Avec l’aide de deux animateurs de La Obra (Mar une madrilène et Josué, un guatémaltèque), les 1res Euro ont réalisé un film pour montrer à leurs récents camarades mexicains leur quotidien, leurs activités (surf, danses bretonnes, pratiques musicales, fabrication des crêpes, …).
Après échange de leurs films respectifs, les deux groupes ont conclu ce projet par une dernière visioconférence. Améliorer sa pratique de l’espagnol tout en s’enrichissant dans la découverte d’autres cultures et modes de vie, un projet sympa pour conclure l’année en section européenne espagnol …
La « dolce vita » à Rome pour des lycéens de Laennec
Alors que les restrictions liées à la crise sanitaire prennent fin peu à peu, l’heure est venue pour les lycéens de Laennec de renouer avec les voyages pédagogiques. C’est ainsi qu’un premier groupe a séjourné à Rome du 25 avril au 1er mai.
L’escapade dans la capitale italienne concernait tous les latinistes et une grande partie des élèves de la spécialité HLP (Humanités, Littérature et Philosophie) de 1re et terminale. 53 élèves étaient ainsi de la partie, accompagnés par Mmes Goasmat, Gouletquer et Houlez.
La Rome antique au programme
Au menu du premier jour : la colline du Palatin et le Forum, en guise de préambule, avant la découverte du plus grand amphithéâtre du monde romain, le Colisée.
Le lendemain, une petite excursion hors de la ville éternelle, à Tivoli, était prévue afin de visiter les villas d’Este et Adriana. Et par la suite, la visite des musées (musée national Étrusque, situé dans la villa Giulia, et Galerie Nationale d’Art Moderne et Contemporain dans la villa Borghèse), ainsi que la déambulation, sous la houlette d’une guide, dans les catacombes de Saint-Sébastien. Celles-ci, datant de la fin du 2e siècle, doivent leur nom à un martyr chrétien exécuté parce qu’il refusait de renier sa foi. Elles ont servi de cimetière chrétien : c’est là que reposait notamment la dépouille de Saint-Sébastien jusqu’au 5e siècle.
Découvrir la ville de l’époque moderne
Pour terminer le séjour, les élèves se sont offert un temps libre afin d’arpenter la Rome de la Renaissance et de l’époque baroque, jusqu’au Panthéon (temple de l’Antiquité transformé au fil des siècles), à la Piazza Navona et à la célèbre Fontaine de Trevi.
Cette découverte du monde antique et du remarquable patrimoine romain, fruit de 2 700 ans d’une histoire riche et mouvementée, permettra à chacun de mieux comprendre combien notre civilisation en est imprégnée. Le voyage restera surtout un souvenir impérissable pour des adolescents privés pendant plus de deux ans des nombreuses réjouissances liées à leur passage au lycée. Une grande bouffée d’oxygène !
La section euro anglais au pays de Sa Majesté
C’est à Londres, entre crème solaire et crème glacée (quelques jours avant les cérémonies du Jubilé de platine de la reine Elizabeth II), que les élèves inscrits en section européenne anglais, ainsi que les terminales approfondissement, ont pu tutoyer différents aspects de la culture anglaise.
Durant ce joli mois de mai et sous un soleil radieux, 57 lycéens accompagnés de leurs professeurs ont ainsi arpenté les rues de la capitale britannique, découvrant tous les incontournables londoniens.
"Lors de notre passage à Buckingham le LUNDI, nous n’avons malheureusement pu voir Elizabeth II comme cela était initialement prévu. Elle avait une réunion au sommet et n’a pu nous recevoir.
Après un lunch au pub, c’est à bord d’un bus impérial baigné de soleil que nous avons poursuivi notre découverte de Londres et de sa culture. Une croisière aura ensuite permis à tous de mieux appréhender la place de la Tamise dans l’histoire de cette ville.
Avec la visite de la City le MARDI, nous avons continué de mesurer l’importance de Londres sur un plan historique, géographique et économique depuis l’époque romaine.
La question qui se pose désormais est l’utilité de construire des buildings toujours plus hauts et chers, alors que le télé-travail est entré dans les mœurs et que nombreux sont les étages inoccupés dans cette jungle de béton et de verre. Question importante, notamment à cause du phénomène connu sous le nom de FOMO (fear of missing out) ou la crainte de manquer quelque-chose quand on n’est pas au bureau : sociabilisation avec les collègues, chances de promotions et de gravir les étages…
Passer de la City à Camden l’après-midi représente un contraste saisissant et envoûtant. Les couleurs, les senteurs et les goûts chatouillent les sens en éveil. Anecdote : un épisode de ’’Doctor Who’’ était tourné ce jour-là.
MERCREDI matin sur les traces du street (he)art qui fait battre le cœur de Shoreditch.
Ici, le street artiste Vhils fait apparaître à coup d’explosifs un visage dans un bloc de béton. Comment créer du relief et une émotion en provoquant du vide.
Si nous avons pu vérifier que Darwin et sa théorie trônaient toujours au Musée D’Histoire Naturelle, nous avons aussi aperçu Maëlys, Flore, Violette et Yaëll en avant première du dernier Jurassic World Dominion (Jurassic world, le monde d’après). Parfaitement dans le thème du monde d’après, elles interprètent des adolescentes confiantes essayant de rétablir un monde meilleur suite à une pandémie mondiale ;)
Musée des docks le JEUDI matin à Canary Wharf : visite qui témoigne du rôle économique joué par Londres dans le monde et par les acteurs de couleur, souvent oubliés, qui y ont contribué.
Parfaite illustration du mot ’’élève’’ avec Maeleen, Kaëlig, Maxime et Zoé au milieu des gratte-ciels … et avec de la classe !
Chasse au trésor l’après-midi où le but était aussi et encore d’aller vers les ’’locaux’’ pour échanger et trouver des solutions aux énigmes posées.
En route pour un Fish and Chips dans un pub typique en longeant la Tamise et en s’octroyant un arrêt au parc pour que nos chéris s’abandonnent un peu aux joies de l’enfance retrouvée en toute décontraction. Un moment très agréable pour toute l’équipe.
Placé sous le signe du jubilé, une ambiance joviale, voire de folie, a régné tout au long de ce séjour. Le groupe a très bien vécu, à l’image de ces deux élèves dont on taira le nom (ci-contre).
Michel Sardou et ses lacs du Connemara doivent encore résonner dans les rues londoniennes après le passage de notre car et de ses jeunes talents emmenés par une Klervie déchaînée.
Pour conclure, secondes, premières et terminales ont conjugué la langue anglaise à tous les temps, alors que la capitale londonienne, toujours à la pointe, était en mode ensoleillé, et ce n’est pas subjectif. Les Londoniens sont toujours aussi sympathiques et prêts à rendre service. Il faut bien avouer, pour boucler la boucle, que ce groupe s’est avéré être la crème de la crème. Ce séjour est donc couronné de succès. Merci aux élèves and God save the Queen !"
Les 1res EURO Espagnol remportent le 1er Prix du Concours Vocable
Les élèves de 1re EURO espagnol ont participé le mois dernier au concours Vocable Classes de langues, organisé dans le cadre de la 32e édition de la Semaine de la presse et des médias dans l’école.
Il s’agissait de choisir l’un des articles proposés, de le mettre en forme selon les critères éditoriaux de Vocable (chapô, petit encart pour illustrer l’article), de réaliser la une du magazine et de rédiger un compte-rendu du document audio qui accompagnait l’article. Ils remportent chacun un abonnement de 9 mois au magazine Vocable.
Bravo à Mathieu, Tilouann, Maxime, Romane B., Romane C., Anouk, Laura, Mathis, Hugo, Anton, Lucie, Gwennaig, Lisa, Manon !
Londres, entre tradition et modernité
Du 16 au 22 mars 2019, un groupe de 54 élèves de terminales S, ES et L, ainsi que trois enseignants sont partis pendant une semaine à Londres sur les traces de la tradition et la modernité dans la capitale anglaise.
Le programme était riche et varié.
Day 1 : le matin, visite des quartiers de Westminster et de Whitehall, ainsi que de Buckingham Palace.
L’intérêt étant de goûter aux traditions bien visibles, comme la relève de la garde, et voir que cela attire de nombreux touristes. Elisabeth n’était pas en mesure de nous recevoir pour le thé. Nous étions trop tôt. Elle attendait l’arrivée d’un certain Archie à ce qu’il paraît. L’après-midi, les élèves ont eu le choix entre le ’’science museum’’ et le ’’natural history museum’’. Un vrai bonheur pour les curieux qu’ils sont.
Day 2 : le matin, visite guidée de la ’’City’’, quartier financier et emblématique de Londres tant il est ’’riche’’ dans tous les sens du terme. C’est l’endroit où se marient le mieux TRADITION et MODERNITE.
L’après-midi : ’’Tate modern’’, un musée qui, outre les œuvres proposées au groupe, permet du haut de sa tour de vraiment appréhender la modernité ancrée dans la tradition à Londres (Saint Paul ainsi que la City sur la droite, voir photo de London from Tate Modern)
Day 3 : rencontre avec les guides nous initiant au ’’street art’’à Shoreditch, quartier en pleine expansion ’’grâce ou à cause’’ des street artistes (voir photo au-dessous de l’article)
L’endroit est devenu tellement ’’tendance’’ que les propriétaires y voient un moyen de faire de l’argent et certains locataires doivent trouver un autre logement. Le phénomène s’appelle ’’gentrification’’. Quartier haut en couleur donc et en constante évolution artistique. Un régal.
L’après-midi : dans la même veine, visite de colourful Camden, autrefois des étables pour les chevaux tirant les barges sur le canal et plus tard ’’repère’’ des punks (certains de nos élèves en ont croisé un (punk, pas cheval) et ont pris une photo souvenir avec lui : traditional and modern).
Day 4 : Le dernier jour est venu comme une conclusion idéale au séjour. Marche depuis Greenwich (voir ci-dessous la photo « London from Greenwich ») jusqu’au quartier des Docks en longeant le méridien, symbolisé par un laser, puis en passant dans un tunnel historique pour piétons sous la Tamise, avant d’arriver à bon port.
Le ’’Museum of London Docklands’’nous en apprend davantage sur les origines et l’essor qu’a connu la capitale. Une chasse au trésor a permis aux élèves et enseignants de se promener et mieux connaître les environs, tout en discutant avec les Londoniens qui sont toujours très avenants et serviables.
Le soir : dîner au pub, où les élèves ont pu goûter à l’art culinaire britannique avec un ’’fish and chips’’ servi dans ce qui était autrefois un entrepôt sur les docks. Tradition jusqu’au bout donc.
Le groupe a très bien vécu, dans la journée, comme en familles, et les enseignants sont ravis d’avoir partagé cette expérience avec eux. L’ambiance dans le car était ’’amazing’’ comme dirait un président américain et toujours dans un esprit respectueux des autres.
Vous comprendrez que, pour ne pas porter atteinte à leur vie privée, nous ne pouvons divulguer le nom des personnes citées ci-dessous.
Un seul bémol à Camden, la réaction d’un membre du groupe lorsqu’il n’a pas trouvé des chaussures à son pied, alors que Lisa P. et Anna A. ont bien failli, elles.
Photos à suivre dans un prochain numéro de ’’Closer’’…
Certains élèves d’autres lycées en France se souviendront un long moment de l’empreinte festive laissée par une boum improvisée dans un abri bus en attendant notre ’’shuttle’’ avec Aymeric G. aux manettes.
Les élèves ont ’’mis le feu’’. Qu’ils gardent cette flamme longtemps. Bonne route à eux.
L’AFIDESA, le lien entre le Burkina-Faso et le Finistère.
Plusieurs équipes de bénévoles de l’AFIDESA sont intervenues au lycée aux mois d’octobre et de novembre pour présenter leurs actions au Burkina Faso et sensibiliser ainsi les élèves de 2de à la solidarité internationale.
Sensibiliser les élèves du Finistère
A l’occasion de l’intervention des bénévoles au lycée, les élèves ont pu découvrir ce qu’est une association humanitaire et réfléchir à la question de l’engagement. Au début de la rencontre, les lycéens étaient un peu intimidés par les membres de l’AFIDESA, puis ils ont commencé à échanger avec les intervenants et l’ambiance s’est détendue.
Ils ont pu, par la suite, poser les questions qu’ils avaient préparées. L’un d’entre eux les a ainsi interrogés sur la manière dont ils récoltent des fonds. Son interlocutrice, Angéline Bosser, lui a répondu en souriant, « nous avons de l’argent avec le Conseil général du Finistère, la communauté de communes et par nous-mêmes. » Angéline a particulièrement touché son auditoire par son émotion lorsqu’elle a évoqué certaines des actions menées au Burkina Faso. Elle a notamment parlé des enfants qui allaient sous le lampadaire de la ville pour faire leur devoir à la lumière car ils n’avaient pas l’électricité chez eux.
"Quelle amélioration avez-vous apportée dans la région où vous intervenez ?", a demandé un élève d’un autre groupe. Les bénévoles n’ont pas su répondre tout de suite, car ils voyaient, seulement, les problèmes non résolus. Mais ils ont fini par souligner qu’aujourd’hui, il y a moins de famine, que les écoles disposent maintenant de toilettes, que des progrès ont été accomplis au niveau de l’eau et de l’école, et que le téléphone, la télévision et l’électricité, se sont développés.
Une association au grand coeur
Et tout cela, en partie, grâce à l’AFIDESA…
L’Action Finistérienne pour le Développement Du Sanguié est une association créée en 1997 par des anciens membres de l’AICF (Action Internationale Contre la Faim). En effet, en 1980, un professeur de Morlaix, touché par la situation scolaire des enfants dans les pays d’Afrique subsaharienne, décide de fonder localement une branche d’une association caritative (Action Contre la Faim) afin de les aider. Son engagement résulte donc du choc que représentent pour lui la pauvreté qu’il a vue au Burkina et surtout les conditions déplorables des élèves dans les écoles (100 par classe). En 1996, certains adhérents ayant tissé des liens avec le Burkina Faso décident de quitter ACF qui voulait étendre leurs actions à d’autres pays de l’Afrique subsaharienne. Ils créent alors leur propre association, AFIDESA.
L’association à but non lucratif compte aujourd’hui 52 membres, dont 20 actifs. Ces adhérents sont principalement des personnes à la retraite, c’est pourquoi ils cherchent à motiver les jeunes afin qu’ils intègrent leur équipe. Les inscriptions se font généralement au terme de l’assemblée générale annuelle. Cependant, elles sont ouvertes tout au long de l’année.
Une fois par mois, les adhérents de l’AFIDESA se réunissent au pôle de Plomeur afin de décider des actions à venir : ventes, tri des papiers… Depuis quelques années, elle intervient dans plusieurs communes (Pouldreuzic, Plomelin, Plonéour…) et dans différents établissements scolaires (dont le lycée Laennec) afin de sensibiliser les jeunes. L’AFIDESA est en effet agréée par l’inspection académique. Afin de récolter des fonds, les bénévoles collectent des journaux pour les vendre à une entreprise qui les recycle pour en faire des isolants. Grâce à ces actions et aux subventions qu’ils obtiennent, leur budget s’élève au final à 40 000 € environ.
Des interventions dans les écoles du Sanguié
Le Burkina Faso rencontre des problèmes sanitaires, politiques et terroristes. Beaucoup d’écoles n’ont pas assez de salles de classe donc les élèves étudient dans des paillotes, sous un climat chaud et sec. L’AFIDESA intervient uniquement dans la province de Sanguié d’une superficie de 5 178 Km² pour environ 300 000 habitants (57,4 hab./Km²). Ils aident ainsi 22 écoles primaires, 2 lycées et 2 collèges. Ils permettent notamment la construction de bâtiments scolaires, achètent du matériel, des tables bancs et des fournitures scolaires. Ils ont aussi contribué à la rénovation et à l’aménagement de puits et de toilettes sèches ou à l’installation de fontaines dans les écoles.
Une fois par an en moyenne, certains membres de l’association partent en mission au Burkina Faso. Ces voyages durent environ 3 à 4 semaines. Sur le terrain, ils sont pris en charge par le seul salarié de l’AFIDESA, Hubert, un Burkinabè. Ils visitent un maximum d’établissements scolaires dans lesquels ils participent à quelques aménagements, recensent les besoins et vérifient les effets de leurs actions.
Par le biais de l’AFIDESA, les élèves du lycée Laennec sont jumelés avec un établissement de la région du Sanguié, dans la ville de Réo. Ils ont ainsi la possibilité, s’ils le souhaitent, d’entamer une correspondance avec des jeunes Burkinabè de leur âge.
OUVERTURE À L’INTERNATIONAL AU LP LAENNEC
Pour la première fois, 4 élèves de la section ASSP (Accompagnement, Soins et Services à la Personne) du LP LAENNEC ont pu effectuer deux semaines de stage en Espagne, dans une résidence pour personnes âgées, dans le cadre du programme ERASMUS+.
Pour la première fois, 4 élèves de la section ASSP (Accompagnement, Soins et Services à la Personne) du LP LAENNEC ont pu effectuer deux semaines de stage en Espagne, dans une résidence pour personnes âgées, dans le cadre du programme ERASMUS+. La résidence Lepant se situe dans le centre de Barcelone, à quelques pas de la Sagrada Familia. Elle se compose de 5 étages, dont un secteur fermé, et chacun d’entre eux dispose d’une terrasse ou d’un patio afin que les résidents à mobilité réduite puissent aussi profiter de l’extérieur, quand les températures ne sont pas encore trop chaudes. Le 1er jour, les élèves et les 2 professeures accompagnatrices ont pu visiter l’établissement avec la cadre Espagnole référente des stagiaires et chacune d’entre elle a choisi l’étage où elle souhaitait travailler. Dès le lendemain, les élèves ont suivi leurs tutrices et ont découvert de nouvelles pratiques professionnelles. Ainsi, elles ont été confrontées aux différences et aux similitudes avec les structures françaises. La communication avec les résidents et les tutrices n’a pas été facile au début et a demandé à nos élèves une grande adaptabilité. Mais peu à peu, des contacts se sont noués, notamment avec les résidents, qui étaient contents d’avoir des stagiaires françaises.
Nos élèves séjournaient à deux dans des familles d’accueil, qui les ont très bien reçues. Elles leur fournissaient les repas et prenaient soin d’elles. Tous les jours après le stage, les élèves se retrouvaient pour visiter les sites emblématiques de Barcelone (Sagrada Familia, Bario Gotico, Barceloneta, Ramblas, etc… Ce stage aura été une expérience enrichissante à tout point de vue. D’une part, ce fut une formidable découverte culturelle qui les a initiées aux us et coutumes de la région de la Catalogne. Par ailleurs, elles ont pu améliorer la pratique de la langue espagnole. D’autre part, ce fut une belle opportunité professionnelle qui leur a permis de confronter les techniques de soins entre les deux pays. Le fait de se rendre à l’étranger et de devoir quitter leur zone de confort leur a permis de prendre confiance en elles mais aussi de développer la solidarité et l’esprit d’équipe entre elles 4. Ce stage en Espagne aura également favorisé la prise de conscience de la citoyenneté Européenne et cela prend tout son sens à l’heure des élections Européennes. Enfin, il convient également de préciser qu’une telle expérience leur aura été bénéfique au niveau de l’autonomie et de la prise d’initiatives. En effet, les professeures accompagnatrices, Mmes Christien et Clément, les ont initiées à l’utilisation des transports, notamment le métro, afin de les familiariser le plus tôt possible aux changements de lignes. Il aurait été très difficile pour elles de voyager sans l’accompagnement d’adultes du fait qu’elles n’ont quasiment jamais pris le train et encore moins l’avion. Grace à ce séjour, elles ont appris à se déplacer dans une grande ville Européenne.
Les témoignages de nos élèves :
Dans le cadre de la mobilité Erasmus+, j’ai réalisé mon stage dans une résidence pour personnes âgées à Barcelone en Espagne. Je suis partie du 02 juin au 15 juin 2024. J’ai commencé le 3 juin en faisant une journée d’intégration, dans la résidence « Lepant », dans le centre-ville de Barcelone. Durant ce stage la communication avec les professionnels et les personnes âgées est un peu compliquée mais au fur et à mesure, je suis arrivée à mieux les comprendre. J’ai fait des réfections de lits, aide à la toilette, aide au repas, aide à la marche, … Mes horaires étaient de 8h30-15H30, ce qui me laissait le temps de pouvoir profiter de la ville. En étant à Barcelone j’ai pu visiter des endroits emblématiques de la ville avec les trois autres élèves de ma classe en stage également dans la même structure. Cela a été une bonne expérience à vivre. Loélie, 1re ASSP2
Dans le cadre de la mobilité Erasmus+, j’ai réalisé mon stage dans une résidence pour personnes âgées à Barcelone en Espagne. C’est une bonne expérience à vivre. Les résidents étaient très heureux d’avoir des stagiaires françaises. La communication étaient un peu dure au début mais après on s’est habitué à la langue et c’était plus facile de comprendre. Nous faisions beaucoup de tâches seules car les professionnels ne nous expliquaient pas ce qu’il fallait faire. Nos horaires de stage étaient de 8h30 à 15h30 ce qui est bien car cela nous laissait du temps pour aller visiter la ville. Être dans Barcelone était super bien car il y a beaucoup d’endroits à visiter comme la Sagrada Familia, le parc de la Ciutadella, les Ramblas, la plage de Barceloneta… La famille d’accueil était très bienveillante avec nous. C’est une très bonne opportunité pour prendre confiance en soi et prendre en maturité. Maëlys Gueguen, 1ASSP2
Dans le cadre de la mobilité Erasmus+, j’ai été sélectionnée pour partir réaliser un stage de deux semaines à Barcelone. Arrivée à Barcelone, le dimanche 2 juin au soir j’ai été accueillie par ma famille d’accueil. Le lundi 3 juin j’ai débuté ma première journée de stage dans la résidence « Lepant », une résidence pour personnes âgées à Barcelone. C’est un stage différent de celui fait en France notamment au niveau des pratiques et des soins. En effet les professionnels de Barcelone nous ont montré leurs techniques qui étaient bien différentes de celles de la France. Néanmoins je préfère les techniques apprises en France mais cela n’est que mon avis. Les résidents étaient adorables et nous ont parfaitement intégré. La discussion était agréable malgré la barrière de la langue. Mes horaires de 8h30 à 15h30 étaient corrects et m’ont permis de pouvoir découvrir les différents monuments ainsi que magasins ou encore leur fameuse plage de Barceloneta de cette grande ville Européenne. Le voyage a été une belle expérience et le stage une nouvelle découverte. C’est une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie. Schayna, 1er ASSP2
J’ai eu la chance d’effectuer mon stage à l’étranger à Barcelone avec Erasmus+. J’ai pu découvrir de nouveaux fonctionnements dans les Ehpad d’autres pays tels que l’Espagne. Nous étions 4 dont deux par famille d’accueil. Notre stage s’est déroulé dans la résidence privée Lepant, auprès des personnes âgées, qui est située dans le centre-ville de Barcelone. J’ai pu constater que le fonctionnement n’était pas le même qu’en France et qu’il y avait beaucoup moins d’organisation dans cette résidence. Nous avons été très bien intégrées par les résidents qui faisaient de leur mieux pour communiquer avec nous, contrairement aux professionnels. Cette mobilité m’a également permis de découvrir un autre pays européen avec une culture différente de chez nous et un mode de vie bien différent avec des avantages et des inconvénients. Néanmoins, ces quelques petites péripéties nous on fait gagner en autonomie et en maturité car nous étions seules dans un pays étranger. Heureusement que les professeurs étaient là pour nous guider les trois premiers jours. Je souhaite à tout le monde d’avoir l’occasion de vivre une expérience pareille dans sa vie car ce sont des moments qui resteront gravés pour toujours. Je suis très fière d’avoir pu partager ces souvenirs inoubliables avec les personnes avec qui j’étais. Jeanne Toullec 1-ASSP2
SALAMANQUE ENTRE DECOUVERTE ET COURS
45 élèves de seconde, accompagnés de trois enseignants, ont participé à un séjour pédagogique en Espagne du 17 au 22 mars 2019.
Lundi 18 : Après une nuit passée dans le car, les esprits et les corps n’étaient pas très frais…ce qui n’a pas empêché les jeunes de se lancer à la découverte de Valladolid. Cette ville, dans laquelle Christophe Colomb est décédé recèle de nombreux bâtiments et places prestigieuses (photo 1) que les élèves ont pu apprécier d’autant plus qu’ils l’ont parcourue lors d’un course d’orientation mêlant culture et langue espagnole… un peu fatigante il est vrai….
Mardi 19 : Après une bonne nuit passée dans les familles d’accueil à Salamanque, les élèves ont renoué avec l’école ! Ils ont participé à un cours de castillan pendant deux heures. L’après-midi, une visite guidée de la ville et de son université fondée en 1218 était programmée : ils ont pu évoluer dans les salles où les étudiants d’antan écoutaient leurs enseignants. Et c’est sous les cloches de l’immense Plaza Mayor que tous les jours nous nous retrouvions. (Photo 2)
Mercredi 20 : Direction Ciudad Rodrigo, vieille ville qui contraste fortement après Valladolid et Salamanque. Les élèves ne sont pas restés insensibles aux splendides paysages les entourant. (Photo 3). Et c’est dans ses environs que nous nous sommes arrêtés pour assister à une capéa (corrida sans mise à mort du taureau et avec vachettes) : certains élèves un peu plus courageux se sont lancés dans l’arène !
Jeudi 21 : Dernière journée pour profiter de la ville de Salamanque !
Après deux heures de cours de castillan (eh oui ! c’est un voyage pédagogique !) et un dernier déjeuner pris dans les familles d’accueil, les élèves ont terminé leurs emplettes et vers 15h nous avons quitté Salamanque direction Burgos, ancienne capitale du Royaume unifié de Castille-et-Léon et dernier arrêt avant le voyage du retour.
Solidarité Laennec – Réo : 438 euros remis à l’AFIDESA
Les actions de solidarité menées au 3e trimestre au lycée Laennec ont permis de collecter une somme de 438 €, afin d’aider le lycée burkinabè de Réo à la rénovation de son CDI.
Deux actions solidaires
Jumelé depuis 2004 avec le lycée provincial de Réo au Burkina Faso, notre établissement mène régulièrement des actions solidaires.
Cette année une opération « Crêpes solidaires, 1 € pour Réo » a vu le jour, en collaboration avec le GRETA. Des élèves de 2de 1 & 2 s’étant chargés de réaliser affiches, plaquettes et autres documents d’information pour présenter les objectifs de cette action de solidarité.
En outre, lors du Bigood’day, après-midi festive au lycée, les élèves du lycée professionnel ont vendu des crêpes, des kouigns et des gâteaux qu’ils avaient préparés eux-mêmes, ce qui a également permis d’abonder la somme récoltée.
438 € pour l’AFIDESA
C’est donc un chèque de 438 € que le lycée Laennec, par l’intermédiaire du Foyer socio-éducatif, a eu le plaisir de remettre à l’AFIDESA représentée par Michelle Andro et Joëlle Raguénès.
Cette somme permettra de contribuer à la rénovation du CDI de notre lycée partenaire, endommagé par des infiltrations d’eau. En attendant, d’autres actions solidaires en 2017-2018…
Street art in Bristol
Bristol est la ville natale de Banksy, artiste graffeur de renommée internationale.
Lors du voyage au Royaume-Uni en Mars 2016 , les élèves ont eu l’occasion de visiter la ville de BRISTOL située dans le sud-ouest de l’Angleterre. Célèbre pour ses studios de cinéma (Wallace and Gromit) et son papier, Bristol est une ville dynamique et jeune connue pour ses graffitis tout en couleurs mais c’est surtout la ville natale de BANKSY, artiste graffeur et personnalité majeure de l’art urbain.
C’est ainsi que les élèves de Terminales Anglais renforcé ont décidé de faire une exposition, visible au CDI, sur l’art urbain en général mais mettant aussi en lumière les œuvres de Banksy.
Témoignages (suite) sur le programme Erasmus+
Témoignage Erasmus +, Malte 2025 Léna, élève en 1re Bac Pro ASSP
Je m’appelle Lena Allain, j’ai 16 ans et je suis en classe de première ASSP (Accompagnement Soins et Services à la Personne) au lycée Laennec à Pont l’Abbé. Dans le cadre de ma formation, j’ai eu la chance d’être choisie à l’issue d’un entretien en anglais, pour effectuer ma PFMP 45 à La Valette, à Malte.
Dès mon arrivée, j’ai été émerveillée par le cadre de vie Les paysages sont magnifiques : la mer turquoise, les ruelles étroites et colorée de la vieille ville, les bâtiments en pierre dorée…Tout donne l’impression d’être en vacances, même si je suis ici pour travailler. L’ambiance méditerranéenne et le climat ensoleillé rendent le quotidien très agréable. Je suis accueillie dans une famille d’accueil maltaise et la vie en communauté se passe très bien. Ils sont très gentils, ouverts et toujours prêts à m’aider ou à m’expliquer leur culture. Cela me permet d’améliorer mon anglais tout en découvrant un autre mode de vie. On partage les repas, on discute beaucoup, et je me sens vraiment intégrée dans leur quotidien. Au sein de la crèche où je fais mon stage, l’équipe est très accueillante et le travail est enrichissant .Les enfants sont adorables et j’apprends chaque jour de nouvelles choses sur la manière de m’occuper d’eux, même dans un contexte différent de la France. C’est une expérience humaine et professionnelle très enrichissante, qui me donne encore plus envie de continuer dans cette voie. Ce stage à Malte est pour moi une opportunité incroyable, à la fois pour progresser en anglais, découvrir une nouvelle culture et évoluer dans mon futur métier.
Témoignage Erasmus +, Malte 2025 Jade, élève en 1re Bac Pro ASSP
Je m’appelle Jade Stephan, j’ai 17 ans. Je suis en classe de première ASSP. J’ai eu l’opportunité de participer à l’expérience Erasmus + à Malte. Dans le cadre de ce programme, j’ai effectué un stage au sein d’une crèche. J’ai également amélioré mon niveau d’anglais en communiquant quotidiennement avec le personnel de la crèche ce qui m’a permis de me sentir de plus en plus à l’aise à l’oral. Cette expérience m’a permis de gagner en autonomie, notamment lors des sorties où j’ai du organiser les trajets en bus lors de nos visites sur l’ile. En dehors du stage, j’ai aussi pu profiter de la beauté de Malte, une ile pleine de charme avec de magnifiques paysages. J’ai eu l’occasion de visiter ses alentours, notamment les superbes iles de Gozo et Comino, connues pour leurs eaux turquoise et leurs décors naturels impressionnants.
Témoignages de nos élèves sur le programme Erasmus+
Témoignage Erasmus +, Malte 2025 Ludivine, élève en 1re Bac Pro ASSP
Je m’appelle Ludivine, j’ai 16 ans et je suis élève en première ASSP. J’ai été sélectionné pour partir en PFMP 4 sur l’ile de Malte dans le cadre du programme Erasmus +. Le 8 juin nous sommes 5 élèves à être partis en avion pour effectuer notre stage dans une crèche « Saint Paul Childcare » dans la ville de La Valette. C’est une très jolie ville avec de nombreux endroits à visiter comme le centre-ville, les jardins, les plages ….La barrière de la langue n’est pas un problème car les gens essayent de comprendre ce que l’on essaye de dire.
Témoignage Erasmus +, Malte 2025 Clémence, élève en 1re Bac Pro ASSP
Je m’appelle Clémence, j’ai 17 ans et dans le cadre d’Erasmus +, j’effectue ma PFMP 4 sur l’ile de Malte à La Valette. C’est une très belle île avec beaucoup de choses à voir. Il y a La Valette avec des églises, musées et rues à visiter. Malte est aussi connue pour ses magnifiques plages (Golden Bay) où nous pouvons voir de très beau coucher de soleil. Il y a aussi la campagne avec des champs et paysages naturels. Malte est donc une île où l’on peut profiter de la ville, la campagne et la mer. Mon stage se passe en crèche avec des enfants de 3 mois à 3 ans, nous sommes repartis en binômes et nous alternons dans les deux parties de la crèche tout les jours (avec les bébés et les plus grands) afin de voir pleins de situations différentes et ne pas rester dans la routine. Je découvre de nouvelles techniques et de nouvelles cultures.
Témoignage Erasmus +, Malte 2025 Sylvain, élève en 1re Bac Pro MELEC
Je m’appelle Sylvain, j’ai 17 ans, je suis en 1er MELEC au lycée Laennec de Pont l’Abbé et j’ai été choisi pour vivre l’expérience de la mobilité avec Erasmus +, c’est-à-dire faire la moitié de ma PFMP 4 en Europe, à la Valette sur l’ile de Malte. Je vais vous donner mon avis en 3 parties. En premier lieu : la vie en famille d’accueil, J’ai été très bien accueilli par la famille .Ils sont très gentils et ils essayent de discuter même si ce n’est pas toujours facile surtout au début mais à force de vivre avec eux on prend les habitudes et finalement on se sent presque chez soi. Certaines règles sont à respecter : pour tout ce qui est douche, linge à laver ou les repas….C’est très simple ils m’ont tout expliqué au début. Deuxième point : le stage Le travail en entreprise est plutôt bien malgré que je ne travaille pas assez à mon gout. C’est surtout l’équipe qui est superbe. Ils sont tous soudé et m’ont inclut directement. La langue ne m’a pa poser problème car même si ils ont un accent différent il suffit de demander de répéter et ils s’appliquent pour bien dire toutes les syllabes ce qui m’a beaucoup aidé. Et enfin Malte Malte est un très beau pays avec des villes magnifiques comme La Valette qui est chargé d’histoires et surtout de musées. Il y a aussi beaucoup de plages, toute différentes les unes que les autres. Certains quartiers ne sont pas très beaux, il ne faut pas penser que Malte est idyllique, il y a aussi des endroits délabrés. La vie là-bas n’est pas trop chère, au niveau taxi c’est même vraiment raisonnable, la nourriture je dirais que c’est pareil qu’en France mais par contre l’eau est un peu plus chère. Sinon la barrière de la langue n’est pas un problème si vous savez vous débrouiller un peu en anglais.
Théâtre en espagnol
Les élèves de terminale de section EURO espagnol du lycée Laennec ont pu bénéficier, de nouveau cette année, de plusieurs ateliers théâtre animés par une comédienne de la compagnie théâtrale La Obra, Belén Riquelme, chilienne.
Le choix de la thématique s’est donc tout naturellement dirigé vers le pays d’origine de l’intervenante, le Chili, où des manifestations étudiantes ont entraîné en 2019 un important mouvement de contestation populaire.
Les élèves, guidés par leur professeur d’histoire-géographie, M. Baron, ont ainsi mené des recherches sur la situation géopolitique et l’histoire du pays. Ils ont ensuite rédigé des textes en lien avec ces éléments qu’ils ont croisés avec des extraits de la pièce de l’auteur chilien Juan Radrigan, un monologue d’une femme qui réclame le retour de son mari, disparu pendant la dictature.
Au long des sept ateliers dispensés par Belén Riquelme et encadrés par leurs professeurs (DNL, M. Baron et espagnol, Mme Moreno), ils ont ainsi découvert les différentes étapes de la création théâtrale : l’écriture, la mise en scène et l’interprétation.
Ponctués d’exercices permettant de travailler l’occupation scénique, la confiance (en soi et dans ses camarades), la voix et la prononciation, l’improvisation, ces différents ateliers leur ont permis de dépasser leur peur et de gagner en assurance et en maîtrise de la langue.
Le partenariat entre La Obra et le lycée Laennec existe depuis maintenant trois ans et bénéficie d’une subvention Karta de la Région Bretagne
Un jumelage pour contribuer à l’amitié franco-allemande
Alors que le partenariat a débuté en 2011, le lycée Laennec est officiellement jumelé, depuis 2013, avec un établissement allemand, le Neues Gymnasium Glienicke. L’occasion d’immerger les lycéens bigoudens dans la culture et la langue germaniques et de nourrir l’amitié franco-allemande.
Porté par Nicole Emrick, professeur de français au lycée de Glienicke, près de Berlin, et Frédéric Le Loc’h, professeur de la section européenne allemand au lycée Laennec, ce partenariat donne naissance à un échange non seulement linguistique mais aussi et surtout culturel. Il facilite notamment la mise en oeuvre de voyages scolaires depuis 2011 : les lycéens de Laennec en profitent pour recevoir in situ une belle leçon d’histoire, en visitant le camp de concentration de Sachsenhausen, le Mémorial de la Shoah, le musée de la DDR ou en découvrant les vestiges du mur de Berlin (die « Schandmauer »), le Reichstag ou le Bundestag.
A noter : au mois d’octobre prochain, les jeunes Allemands rendront visite à leurs correspondants bigoudens.
Une cinquantaine d’élèves à Madrid
Accompagnés de Mmes Canévet, Eugène, Le Dars et Papail, ainsi que de M. Trimaille, les élèves des groupes D et G de 2de et de la classe de 1re ASSP-D ont découvert Madrid, lors d’un voyage linguistique et culturel.
Au début du mois de mars, ils ont arpenté la capitale espagnole pour s’immerger dans la culture ibérique, en y découvrant notamment le Museo Reina Sofia ou l’Estadio Bernabéu, l’antre du Real Madrid.
Hébergés dans des familles où ils ont pu pratiquer la langue de Cervantes, ils ont également reçu une initiation au flamenco et effectué une visite panoramique de la ville.
Au cours du voyage, ils ont aussi parcouru Tolède, ville inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, pôle urbain majeur d’Al-Andalus, l’Andalousie musulmane, avant la Reconquista.
Visite guidée pour notre nouvelle assistante d’espagnol : Fammy Marin
Notre nouvelle assistante d’espagnol pour l’année 2020-2021 s’appelle Fammy Marín et elle vient de Bolivie.
Elle interviendra auprès de nos élèves du lycée en petits groupes et chaque semaine auprès des sections EURO. Elle accompagnera les élèves dans leur apprentissage de la langue et nous fera découvrir les richesses et spécificités de son pays.
Plusieurs projets sont prévus en fonction des niveaux : création d’un Escape-game sur la Bolivie pour les 2des, travail sur les communautés indigènes en 1re, accompagnement du projet théâtre pour les terminales.
Nous l’avons accueillie dans chaque niveau avec grand plaisir et les 2de lui ont proposé une visite guidée du lycée et de la ville de Pont l’Abbé, en espagnol bien sûr ! Ils avaient même pensé à apporter des spécialités locales pour une petite pause gourmande au bord de la rivière !
Voyage à Berlin
Dans le cadre de la section euro allemand, nous sommes partis à Berlin du 18 au 31 mars chez nos correspondants du Neues Gymnasium de Glienicke, une ville près de Berlin.
Monsieur Crasemann, ancien président du conseil d’administration et haut fonctionnaire au ministère de l’économie, nous avait concocté un programme très riche et complet qui nous a permis de découvrir la ville, ses lieux historiques, ses musées et ses places vivantes. Nous avons passé de très bons moments, que ce soit en visite avec le groupe ou en famille. Nous avons ainsi pu améliorer notre allemand et enrichir notre culture. Nous avons également eu des moments de détente comme la soirée au bowling ou encore la soirée d’adieu avec tous les correspondants ainsi que leurs familles. Nous sommes aussi allés en cours avec eux et nous avons pu constater de nombreuses différences avec le système français. Nous avons eu la chance de faire de nombreuses activités comme faire notre propre chocolat chez Rittersport, visiter un bunker souterrain, la visite du camp de concentration de Sachsenhausen, la visite du Reichstag et du ministère de l’économie ou encore le tour en car de la ville de Potsdam avec un arrêt dans le fabuleux jardin et château de Sans Souci. Tout au long de ce voyage nous nous sommes déplacés en S-Bahn, le train de banlieue et U-Bahn, le métro de la capitale qui nous ont permis de passer de Glienicke à Berlin et de nous déplacer dans la ville tous les jours. Nous avons trouvé ce séjour très agréable et avons fait de très belles rencontres notamment au sein du groupe où régnait une bonne ambiance. Nous avons hâte d’y retourner notamment l’année prochaine si cela est possible car c’était une très bonne expérience.
Les élèves de 2de de section européenne allemand
Voyage à Santander
Une quarantaine d’élèves de la section européenne espagnol de 2de, 1re et terminale ont eu la chance d’effectuer un voyage scolaire en Espagne pour y découvrir le Pays Basque.
Le lundi 29 février au soir, commence le long voyage vers l’Espagne. Au programme, le premier jour, Guernica : visite de la ville martyr ainsi que du musée de la Paix, sans oublier le parlement Basque, pour découvrir, le soir à Santander, les familles dans lesquelles les élèves ont séjourné pendant 4 nuits.
Par la suite, découverte de la jolie ville de Santander, pique-nique sur la plage Del Sardinero puis visite du Palacio de la Magdalena, un endroit vraiment magnifique au bord de la mer, et enfin El Capricho de Gaudi avec un guide sympathique et compétent.
Le jeudi a été une journée riche en émotions avec la rencontre des correspondants Galiciens à Gijon où étaient organisés un jeu de piste puis une après-midi à la plage.
Le dernier jour, le voyage s’est clos par la visite du musée Guggenheim à Bilbao, grandement appréciée par tout le monde. S’en est suivie une après-midi consacrée à la découverte de la vieille ville (notamment le monument de Philippe Starck, La Alhondiga) et au shopping, au plus grand bonheur de certaines personnes.
Pour finir ce beau voyage, les lycéens ont dégusté des spécialités locales, avant de passer une nouvelle nuit dans le car.
Le lendemain, après le retour au lycée, la routine reprend. Des souvenirs plein la tête !
Article rédigé par Agathe Even, Ambre Gislard et Héloïse Nédélec (élèves de 2de 4 - section européenne espagnol).
¡ De viaje a Madrid !
Les 45 élèves de section EURO espagnol des trois niveaux (seconde, première et terminale) ont participé, du 19 au 25 mai 2022, à un séjour linguistique et culturel à Madrid et Tolède.
Le programme se voulait le plus immersif possible avec des visites culturelles mais également des ateliers animés en espagnol.
Un petit-déjeuner typique “chocolate con churros” leur a permis de reprendre des forces après un long voyage et de se lancer dans la découverte de la ville, grâce à une visite guidée sur le thème du street-art.
Tout au long de la semaine, ils ont ainsi découvert les lieux les plus emblématiques de la capitale : la Plaza Mayor, la Puerta del Sol, le Parque del Retiro, ainsi que les deux grands musées de peinture de Madrid, le Prado (tableaux de Vélasquez et Goya) et le Reina Sofia (“Guernica” de Picasso).
Ils ont également visité une exposition sur Frida Kahlo, les arènes de Las Ventas, le musée de l’Amérique (sur les civilisations précolombiennes, le site mémoriel du Valle de los Caidos et un nouveau tiers-lieu consacré à l’art contemporain, le Matadero, dans les anciens abattoirs de la ville.
Des ateliers animés en espagnol leur ont permis de s’initier au flamenco et de cuisiner les plats les plus typiques du pays, avant de les déguster bien entendu !
L’une des journée était consacrée à la découverte de la ville de Tolède et de son riche patrimoine (synagogue du Transito, chef-d’œuvre du Greco “l’enterrement du comte d’Orgaz”) grâce à une visite guidée en espagnol.
Une séance ciné a complété ce programme avec le film catalan Alcarrás (primé à Berlin) et les élèves ont pratiqué avec bonheur le shopping dans la Gran Via !
Durant le séjour ils ont été hébergés dans des familles dont l’accueil fut particulièrement chaleureux et convivial et qui ont beaucoup apprécié “la buena educación” et le niveau d’espagnol des élèves bigoudens….
Un séjour particulièrement riche et varié qui a plu à l’ensemble des élèves de la section euro, trois niveaux qui ont pris beaucoup de plaisir à se rencontrer, échanger et s’amuser ensemble.
¡Adelante ! C’est reparti !
Malgré un contexte international peu favorable aux échanges, nous poursuivons notre partenariat entamé l’an dernier avec les élèves du lycée Sa Blanca d’Ibiza.
Les élèves de 2de, 1re et Tale EURO espagnol vont ainsi pouvoir échanger avec leurs homologues espagnols (via courriers, mails, visioconférences etc.) et travailler sur des projets communs via la plate-forme européenne Etwinning. Des thèmes de travail sont en effet définis pour chaque niveau et vont permettre aux élèves de mieux se connaître et de progresser en langue.
Webradio
Del otro lado del charco : un projet relaté en espagnol fait pour la section Euro de Terminale sur l’Amérique latine
La politique, la culture, l’économie, l’écologie et la durabilité sont parmi les principaux sujets abordés dans cette série de podcasts. Produit et enregistré entièrement en espagnol, son objectif est de démontrer les compétences narratives et analytiques des élèves dans une langue étrangère.
Au total, il y a cinq épisodes couvrant divers sujets de différents pays d’Amérique latine, du peuple Uros au Pérou au gouvernement de l’Uruguay en 2024-2025. Plus précisément, « Del otro lado del charco » est un projet pédagogique réalisé dans le cadre du programme d’assistants en langues étrangères de l’année scolaire 2024-2025. Il a été dirigé par la professeure de la section euro-espagnole Gaelle Moreno et son assistante d’origine vénézuélienne Elis Huiza avec le matériel de Webradio du CDI au lycée René Laennec. Après avoir suivi un processus de recherche et de production qui a débuté la deuxième semaine d’octobre, les étudiants ont présenté leurs analyses et avis le 19 décembre 2024, lors de conversations menées entièrement en espagnol. Au final, ce sont 10 étudiants et 5 épisodes qui discutent de divers sujets provenant de pays situés sur un continent lointain aux cultures différentes, démontrant l’esprit critique et intégrateur promu par le programme d’assistants en langues étrangères et la section Euro.
Elis Huiza






































































































































































































































































































