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Les étudiants de BTS au « Festival des Solidarités »

Comme tous les ans, PASI (Pont-l’Abbé Solidarité Internationale) organise le Festival des Solidarités du 15 au 29 novembre prochain. Le thème retenu cette année, le « tourisme solidaire » permettra une mobilisation des étudiants du lycée.

Une quinzaine d’étudiants ont prévu d’arpenter le marché de Pont-l’Abbé le jeudi 22 novembre pour questionner les passants sur leurs pratiques touristiques.

Leurs motivations, leurs connaissances de l’impact du tourisme de masse, leur sensibilité au tourisme solidaire… tels seront les grands thèmes de ce micro-trottoir.

Le vendredi 23 novembre, ils participeront au Ciné-débat sur la piste d’un tourisme solidaire et responsable. Un film documentaire lancera le débat qui sera alimenté par des témoignages des étudiants de l’INSA de Rennes.

En parallèle, une exposition « Vacances, j’oublie tout ? » sera affichée au CDI à disposition de tous les élèves de l’établissement. A voir jusqu’au 9 novembre.

Panneau extrait de l’exposition

Le collectif PASI : un regroupement d’associations bigoudènes de solidarité internationale

PASI : quèsaco ?

Les étudiants sensibilisent les Bigoudens au tourisme solidaire

En partenariat avec PASI, quinze étudiants ont arpenté, le jeudi 22 novembre, le marché de Pont-l’Abbé pour questionner les passants sur leurs pratiques touristiques et leur connaissance du tourisme solidaire.

Le BTS Tourisme, partenaire du Festival des Solidarités

En ce mois de novembre 2018, les étudiants de première année du BTS tourisme de l’établissement ont participé au Festival des Solidarités à Pont-l’Abbé.

Le groupe d’étudiants devant le stand de PASI

C’est par groupes de deux qu’ils sont allés à la rencontre des personnes présentes sur le marché (clients et commerçants), les interrogeant à l’aide d’un questionnaire préparé en amont, dans le cadre d’un projet mené en collaboration avec PASI (Pont-L’Abbé Solidarité Internationale), partenaire de longue date du lycée Laennec.

Natacha (à gauche) et Sarah (à droite), en compagnie d’une commerçante
Haschebel (à droite) et Milliau (à gauche)

Connaissez-vous le tourisme solidaire ?

Tel était l’enjeu de ce micro-trottoir : mesurer le degré de sensibilisation de M. ou Mme Tout-le-monde au tourisme solidaire. Le faire connaître, surtout, en "menant l’enquête » sur les habitudes de voyages et en suscitant la réflexion.

Enora, crayon en main, en compagnie de Juliette, note les réponses d’une passante

Malgré le grand froid qui régnait à Pont-l’Abbé, de nombreuses personnes se sont prêtées au jeu, prolongeant bien souvent la discussion avec des étudiants dynamiques et motivés. Un échange fructueux et très formateur pour tous ces jeunes qui envisagent de travailler dans le secteur du tourisme.

Maxime interrogeant une cliente place Gambetta
Julie (à gauche) et Amélia (à droite) ont pris place dans les halles pour questionner les clients

Nous vous invitons à répondre au questionnaire en ligne. Cela ne prendra que quelques minutes ! Merci

Les résultats de cette enquête seront dépouillés et analysés en classe puis transmis aux membres de PASI.

Les bénévoles de PASI sont, eux aussi, interrogés (ici par Bleuen et Morgane)

PASI (Pont-l’Abbé Solidarité internationale) est un collectif de 9 associations implantées en Pays bigouden, animé par les motivations suivantes :

  • Mobiliser les institutions et les associations afin d’associer un ensemble d’acteurs différents au déroulement du Festival des Solidarités ;
  • Encourager le partenariat entre tous les acteurs de la société ;
  • S’engager dans une action de coopération avec un pays en développement ;
  • Réagir à l’urgence en cas de catastrophes.
Les 9 associations de solidarité internationale membres de PASI

Qu’est-ce que la solidarité internationale ?

La solidarité internationale est bâtie sur un concept d’égalité entre tous les humains et sur le respect des droits de l’homme.

Que dit la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme ?

« Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne » (article 3)

« Tout citoyen a droit à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l’effort national et à la coopération internationale » (article 22)

Dans ce but, les pays riches participent au développement des pays les plus pauvres (par la construction d’écoles…) afin que leurs habitants jouissent d’un mode de vie plus agréable. L’ONU aide également les pays en développement en cas de catastrophes naturelles, d’épidémies. La solidarité internationale est donc un moyen de s’engager contre les inégalités, la faim dans le monde… Chacun peut y participer en faisant des dons pour une ONG telle que l’AFIDESA mais également en éduquant la jeunesse aux principes d’égalité et à l’importance d’une amélioration de la qualité dans certains pays comme le Burkina Faso.

Des journées internationales sont décrétées par l’ONU et organisées afin de sensibiliser le public à ces causes et récupérer des fonds :
  • la Journée mondiale du bénévolat (le 5 décembre) pour inciter plus de monde à devenir bénévole
  • la Journée Internationale de La Solidarité Humaine (le 20 décembre)
  • la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien (le 29 novembre)
  • la Journée internationale de solidarité avec les peuples amérindiens (le 12 octobre) popularisant les causes associées.
  • la Journée mondiale contre la faim (le 15 octobre)
  • la Journée mondiale de l’eau (le 22 mars)

En conclusion, la solidarité internationale vise à ce que tous les pays soient sur un pied d’égalité. Elle repose sur la réciprocité. Pour ceux qui y contribuent, c’est une forme d’engagement citoyen fondé sur un sentiment de générosité.

Réfléchir au vivre-ensemble avec l’AFIDESA

Le 7 février, l’AFIDESA est intervenue auprès d’élèves de 1re, dans le cadre de l’EMC, afin de témoigner du rôle des associations pour tisser le lien social.

Échanger avec Angéline et Roger Bosser ou Joëlle Raguénès pour appréhender ce qui constitue et nourrit le lien social, tel était l’enjeu de la séance à laquelle participait la classe de 1re G3.

Joëlle Raguénès, entourée de Roger et Angéline Bosser

Pour les lycéens, il s’agissait de comprendre comment une cause fédératrice (le développement par l’Éducation), des valeurs partagées (solidarité, égalité, justice…), au sein de l’association Action Finistérienne pour le Développement du Sanguié (province du Burkina Faso), ou encore la mobilisation de divers partenaires, pouvaient contribuer à un mieux vivre-ensemble, tant en Pays Bigouden que dans cette région d’Afrique de l’Ouest.

Promouvoir des valeurs de solidarité, de justice, de fraternité, tel est l’objectif des bénévoles de l’AFIDESA

Ou comment les actions d’inclusion des travailleurs handicapés de l’ESAT de Ponéour-Lanvern, ainsi que la sensibilisation des écoliers, collégiens, lycéens du coin et des séniors des EHPAD pouvaient forger du lien social ici, tout en contribuant au développement là-bas.

Angéline Bosser présente les actions menées par son association au Burkina Faso

Angéline, Joëlle et Roger ont ainsi pu témoigner de la force du lien associatif comme ciment du vivre-ensemble, tout comme des apports essentiels de la solidarité internationale afin de construire une citoyenneté mondiale.

Une belle leçon à méditer…

Le commerce équitable

Un système d’échanges plus juste

POINT DE CULTURE :

Né dans les années 1940, le commerce équitable est un partenariat commercial qui garantit aux producteurs une juste rémunération, un accès facile au marché et un développement autonome.

Le commerce équitable garantit aussi aux consommateurs des produits de qualité et le respect de l’homme et de l’environnement.

Mais pour pouvoir accéder à ce partenariat, le producteur doit faire partie d’une coopérative qui doit, elle-même, respecter une dizaine de normes très strictes (comme la préservation et la valorisation des cultures et des savoir-faire locaux ou encore le respect des droits de l’homme au travail.)

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Des labels équitables

La certification d’un produit équitable : les Labels

Le Label assure le respect d’un cahier des charges pour des produits de qualité et garantit des relations Nord/Sud plus justes et équilibrées.

Ces différents labels peuvent se retrouver dans nos paniers :

  • Ecocert Equitable
    ecocert équitable

    Ecocert est un organisme de contrôle qui certifie des produits issus d’agriculture équitable. Pour plus d’information, nous vous proposons leur site : http://www.ecocert.fr/qui-sommes-nous

  • Fairtrade Max Havelaar
    logo fairtrade max havelaar

    C’est un mouvement international qui regroupe des ONG et des représentants de producteurs. Son but : utiliser le commerce pour donner à des paysans et travailleurs agricoles de l’hémisphère sud les moyens de lutter eux-mêmes contre la pauvreté. Site internet : http://www.maxhavelaarfrance.org/?gclid=CJrsor3xvMkCFcm6GwodkzoA2g

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Max Havelaar  : Cette association a été créée suite à un appel des producteurs Mexicains prônant l’attribution d’un prix juste pour leur café. Son nom Max Havelaar, n’est pas celui de son créateur mais d’un héros de roman anti-colonialiste. Ce roman publié en 1860 a été écrit par Eduard Douwes Dekker, dit Multatuli. Il raconte l’histoire d’un fonctionnaire colonial néerlandais qui se révolte contre l’oppression que subit une des colonies des Pays-Bas.

Où trouver des produits équitables ?

De nombreux commerces en pays Bigouden

Où trouver des produits équitables ?

Vous pouvez vous procurer des produits équitables de plusieurs façons :

  • Dans les commerces biologiques (Biocoop …)
  • Dans les supermarchés (Leclerc, Intermarché, Super U …)
  • Dans des commerces dédiés (Artisans du monde …)

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Nos coups de coeur

La solidarité : partout et tout le temps

Nous soutenons toutes les actions de solidarité, autant à l’international qu’à l’échelle nationale. Il ne faut donc pas consacrer son engagement uniquement à ce qui se passe à l’autre bout de la planète. On peut aussi agir ici, en pays Bigouden. Les actions que nous allons vous présenter nous ont particulièrement touchés. La solidarité est présente partout ; nous vous avons donc sélectionné quelques actions de part et d’autre du monde.

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ASI

Actions de Solidarité Internationale

Le logo d’ASI

ASI est une ONG visant à mener des actions ponctuelles pour répondre à des situations d’urgence comme les catastrophes naturelles. Elle soutient également des initiatives locales.

Plusieurs programmes ont été réalisés dans le monde mais plus particulièrement en Afrique : Bogandé au Burkina Faso, Kabaro au Mali, Maroua au Cameroun ou Makoua au Congo.

Certaines actions sont aussi en cours comme dans la République Démocratique du Congo à Pointe-Noire ou Brazzaville. Le projet de Brazzaville contribuera à l’augmentation du taux d’alphabétisation et à la diminution du phénomène des enfants des rues, tandis que celui de Pointe-Noire vise à proposer au public cible, les jeunes filles en situation de rue et de prostitution, un cycle de prise en charge complet.

La devise de cette ONG est « devenir utile ». B-)

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Le Téléthon

Une solidarité contre la maladie

L’AFM-Téléthon a été créée en 1958 par une poignée de parents révoltés par la maladie de leur enfant.

Cette association a en effet pour mission d’aider les enfants atteints de maladies génétiques rares, telles que les myopathies.

Le 4 et 5 décembre 1987, le premier Téléthon télévisé passe à la télé afin de collecter des fonds. Depuis, il a lieu tous les ans au début du mois de décembre, donnant lieu à de nombreuses actions et manifestations pour recueillir de l’argent afin de financer la recherche et l’aide apportée aux malades.

Pour plus en savoir sur l’histoire du téléthon

La présidente de l’association est Laurence Tiennot-Herment .

L’Association compte près de 3545 bénévoles permanents et 523 salariés, dont 78 % travaillent directement pour les missions sociales (recherche et aide aux malades).

70 partenaires soutiennent le Téléthon, dont 6 acteurs historiques : France Télévisions, EDF, La Poste, Lions Clubs, Radio France et les sapeurs-pompiers.

Le pays Bigouden est très impliqué dans le Téléthon. En 2001, a été créée une association, « Force T en Pays Bigouden », qui organise plusieurs spectacles et animations comme des lâchers de ballons, des trocs et puces ou bien des repas.

Force T en Pays Bigouden

Foyer de Pen ar Prat, rue Charles Le Bastard

29120 Pont-l’Abbé

mail

tel : 06.19.96.65.93

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Les restos du coeur

Une solidarité contre la faim

Les Restos du cœur sous son nom officiel « Les Restaurants du cœur - les Relais du cœur », ont été fondés en 1985 par Coluche. C’est une association reconnue d’utilité publique.

Elle a pour but « d’aider et d’apporter une assistance bénévole aux personnes démunies, notamment dans le domaine alimentaire par l’accès à des repas gratuits, et par la participation à leur insertion sociale et économique, ainsi qu’à toute action contre la pauvreté sous toutes ses formes ».

On peut trouver un de ces relais à Pont-l’Abbé, comme dans beaucoup d’autres communes du pays Bigouden. Chaque année, ils organisent une tournée, où des célébrités françaises passent sur scène. Leur but est de collecter des fonds, ensuite reversé à l’association grâce aux disques et aux places vendues.

Photo de la« tournée des Enfoirés » composés de célébrités.

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PASI et les associations

Pont-l’Abbé Solidarité Internationale

PASI (Pont-l’Abbé Solidarité Internationale) est un rassemblement de 9 associations créé par Jacques Bodéré (l’ancien président de Cornouaille-Maroc). Le président actuel de PASI est Adrien Binet, par ailleurs membre de l’Association France Palestine Solidarité.

PASI avait comme but premier d’aider les victimes du tsunami de 2004. Aujourd’hui, elle apporte un soutien sur le terrain et redistribue, à chaque association, une partie de la subvention municipale d’un montant de 10 000 €. Elle se fixe comme mission de sensibiliser les jeunes en intervenant, notamment par le biais d’expositions, dans les écoles, collèges et lycées.

L’exposition de PASI affichée au lycée Laennec en novembre-décembre 2015
Les conséquences humaines du réchauffement climatique, tel était le sujet retenu en 2015 alors que se tenait à Paris la COP 21.

Elle organise aussi chaque année la Semaine de la Solidarité Internationale en pays Bigouden et peut intervenir dans des situations d’urgence.

Les associations regroupées au sein de PASI :

  • AFIDESA : Association Finistérienne de Développement du Sanguié.
  • CCFD : Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement
  • Cornouaille-Maroc : Partenariat avec des associations villageoises des secteurs scolaires ruraux.
  • DILE : Partenariat avec Tibelé dans la région de Nahouri au Burkina Faso dans le domaine de l’eau (forage de puits), de la santé (ophtalmologie), de l’éducation et de l’économie (microcrédit, aide alimentaire)
  • AFPS : Association France Palestine Solidarité
  • PAE TOGO
  • Peuples solidaires : Partenariat avec les peuples du Sud. Défense des droits économiques et sociaux. Education à la citoyenneté internationale.
  • Rwanda Avenir : Construction d’une maison de quartier destinée aux femmes victimes du génocide de 1994.

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Pour contacter PASI :

AFIDESA

L’AFIDESA : une association ancrée en pays Bigouden

Le logo de l’association

L’AFIDESA a été créée en 1980, elle est alors rattachée au groupe AICF (Action Internationale Contre la Faim). En 1997, l’association devient autonome et prend le nom d’AFIDESA qui veut dire Action Finistérienne pour le Développement du Sanguié (province située dans le centre-ouest du Burkina Faso).

L’association compte 44 adhérents dont 20 actifs et agit au Burkina Faso. Ce pays se trouve en Afrique de l’Ouest et sa capitale est Ouagadougou. L’association réalise donc des actions en Finistère et au Sanguié. En Finistère, les actions menées sont des interventions dans les écoles, sur la santé, sur l’eau, sur l’éducation… AFIDESA propose aussi animations, lectures de contes ou expositions… Au Sanguié, elle participe à la construction et l’entretien d’écoles, à l’achat de fournitures scolaires, au soutien à des groupements agricoles ou à des groupements féminins. Elle cherche aussi à améliorer l’accès à l’eau potable…

Ses objectifs :
  • En Finistère : sensibilisation des habitants du Finistère et des élèves de primaire et de secondaire. C’est ainsi par exemple qu’AFIDESA intervient régulièrement dans les classes de 2de du lycée Laennec pour éduquer les élèves à la solidarité internationale et éveiller les consciences citoyennes.
  • Au Burkina : participation au développement de la province du Sanguié.

L’association a un salarié sur place. Il s’appelle Hubert Bazié et est Burkinabè, il fait le lien entre le Finistère et le Sanguié.

Hubert Bazié salarié burkinabè d’AFIDESA
Lors de sa venue au lycée Laennec en septembre 2015, en compagnie de bénévoles d’AFIDESA (ici à l’arrière-plan, avec Jean-Pierre Drézen)

Cette association fait partie de PASI.

Des membres de l’association en visite au Burkina
Contact : Angéline Bosser

mail

tél : 02.98.82.07.16

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CCFD

Le Comité catholique contre la faim et pour le développement

Le CCFD est une association (Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement ) qui a été créée en 1961 pour lutter durablement contre la faim en s’attaquant aux facteurs, des causes les plus locales aux plus globales.

Le Comité Catholique Contre la Faim et pour le Développement - terre solidaire est une ONG française qui s’occupe donc du développement. Elle a été reconnue d’utilité publique en 1984 et a reçu son label de grande cause nationale en 1993. Depuis cinquante ans, le CCFD est principalement mobilisé contre la faim dans le monde. Il regroupe 28 mouvements et services d’Église et oeuvre au service des plus pauvres. Il a reçu des évêques, la mission de lutter contre la faim et de soutenir le développement des populations. Son but étant de renforcer les acteurs locaux du développement pour lutter contre la faim.

L’association compte 15 000 membres et 170 employés. De dimension nationale, elle mène de grands projets dans le monde, mais ne va pas souvent sur le terrain.

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Contacter le CCFD de Quimper : 7 rue du Frout, 29000 Quimper Tel : 02.98.95.05.04

CORNOUAILLE-MAROC

Cornouaille-Maroc

Cornouaille-Maroc est une association pont-l’abbiste d’une trentaine d’adhérents, fondée en 2001, qui encourage à s’engager dans la citoyenneté internationale, qui cherche à promouvoir la coopération et qui œuvre dans l’humanitaire. Elle est présidée par Olivier Humbert.

Les actions de ses bénévoles sont concentrées au Maroc, comme l’indique le nom de l’association, et concernent prioritairement le domaine scolaire (amélioration des infrastructures, accompagnement des équipes enseignantes, aides à la scolarisation…)

Pour récolter des fonds, Cornouaille-Maroc organise notamment des foires aux livres, ce qui devait par exemple permettre d’amener l’eau dans l’école de Tachbibt au Maroc. L’association se charge surtout d’aider des lycéens et des étudiants à organiser des séjours sur place pour y mener des projets qui s’intègrent dans le cadre de leur formation.

Par exemple, cette année, des étudiants inscrits en 1re année de Techniques de Commercialisation à l’IUT de Quimper doivent effectuer une mission pour le compte de l’association.

Contact : Cornouaille-Maroc, Rue du PETIT TRAIN, 29120 PONT L’ABBÉ Mohamed Rihani - Tél. : 06.70.70.13.63

mail

Cornouaille-Maroc est membre de PASI, collectif que l’association a réintégré en 2015 après quelques années d’absence.

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DILÉ

DILé : au pays des Gourounsi

DILÉ (« bonjour » en langue kasséna) est une association (ONG) oeuvrant dans la région de Tiébélé, au Pays des Gourounsi dans le Sud du Burkina Faso. Elle n’est constituée que de bénévoles qui agissent dans les domaines suivants :

  • accès à l’eau (par la création et l’entretien de forages)
  • santé (principalement opération oculaire)
  • éducation (par la construction d’écoles)
  • développement durable

L’association a été créée il y a 21 ans par Jean Viars et est désormais présidée par le docteur Serge Moulin. Elle est basée dans le haut pays Bigouden (à Tréogat). Cette association est représentée à Tiébélé par Cyrille Kouhizoura.

Pourquoi ont-ils choisi d’aider cette partie du Burkina Faso ?

Son but est de lutter contre la misère au Naouri, province du Burkina Faso. Ils ont choisi d’opérer dans cette zone car les organisations humanitaires sont peu présentes dans cette partie du pays. Cette zone est aussi enclavée car elle mal reliée aux axes routiers.

Quels territoires sont concernés ?

Il y a environ 69 villages qui correspondent à la moitié d’un département français. 55 000 habitants (année 2006) en sont les bénéficiaires potentiels.

Quel bilan peut-on dresser ?

Les actions de DILé ont permis de lutter contre la mortalité infantile, d’apporter une aide aux malades du Sida, de financer des projets agricoles et de créer un système de microcrédits destinés aux malades ou à un groupement féminin.

Comment l’association informe-t-elle ses donateurs et se fait-t-elle connaître ?

Elle a créé une « Newsletter » permettant de les informer de leurs projets futurs ou leurs réussites. Pour pouvoir s’inscrire à la Newsletter il faut s’abonner à la « Lettre info ».

Pour contacter DILé :

Kergroas

29720 TREOGAT

Téléphone : 02 98 87 77 90

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France PALESTINE SOLIDARITÉ

Solidarité avec le peuple palestinien

France-Palestine est une association nationale engagée dans la politique pour défendre le droit humain des Palestiniens. Elle fait partie d’une Plateforme de 39 ONG françaises qui œuvrent pour la Palestine.

Plusieurs groupes locaux existent dans le Finistère (Carhaix, Brest, Morlaix et Douarnenez). C’est ce dernier groupe qui est membre de PASI.

AFPS Cornouaille

C/O Yves Jardin

12 rue Charles de Foucauld - 29100 Douarnenez

Mail

Son but :

L’AFPS s’est engagée pour la relation humaine. Le président actuel est Taoufiq Tahani. Son but est d’informer et défendre les civils mais elle reste passive donc elle n’utilise pas la violence. Elle soutient aussi une coopérative en Palestine, coopérative d’agriculteurs dans la région de Hébron produisant du jus de raisin. Elle lui achète du matériel et aide à la commercialisation.

Le rôle de Pont-l’Abbé :

Pont-l’Abbé accorde chaque année une subvention de 10 000 euros à PASI qui regroupe des associations qui œuvrent dans d’autres pays. France-Palestine Solidarité en fait partie. En 2015, l’association a reçu 2 000 euros pour la coopérative.

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GESTES PLUS SOLIDARITÉ

Gestes plus solidarité

Membre du collectif PASI, Gestes Plus Solidarité est une association qui cherche à « mener toutes actions de promotion des actions citoyennes de sécurité civile, de prévention des risques, de sensibilisation et d’éducation à la santé, en France et à l’étranger lors de missions de solidarité internationale et d’aide au développement ».

Coordonnées GESTES PLUS SOLIDARITE

Adresse : 347, rue de Méjou Braz,

29760 Penmarch

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PAE TOGO

Projet d’action éducative - TOGO

Cette association humanitaire a été créée dans le cadre d’un projet scolaire mis en place au lycée Thépot par Louis Firmin, un enseignant. Elle met en place des actions de bénévoles dans le but d’améliorer les conditions de vie des enfants de la région de Bassar au Togo.

Depuis sa création en 1982, P.A.E. Togo a mené des projets comme la sensibilisation dans les établissements scolaires, la création d’un centre socioculturel pour les jeunes ou la construction d’écoles…

chantier réalisé grâce à l’association

Elle envoie régulièrement du matériel sur place pour les établissements scolaires et les hôpitaux, oeuvre dans le développement de l’énergie solaire et construit des forages pour un meilleur accès à l’eau.

Cette association fait partie du programme PASI.

école créée par l’association
PAE TOGO

45 bis rue Bourg-les-Bourgs

29000 QUIMPER Finistère

Téléphone : 02.98.91.33.45

Email

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PEUPLES SOLIDAIRES

Peuples Solidaires

Le logo de l’association

En 1971, un appel à la solidarité pour les réfugiés bangladais fuyant l’armée pakistanaise est lancé par l’abbé Pierre. Pour ceux qui y répondent, c’est le début de 40 ans d’action au service de la solidarité internationale. Naissent alors l’Union des Comités pour le Développement des Peuples (UCODEP) et 1% Tiers-monde. En 1983, ces deux associations fusionnent pour fonder Peuples Solidaires.

Cette association soutient les femmes et les hommes partout dans le monde qui défendent leurs droits économiques, sociaux et culturels. Son but est d’« Agir pour les droits. Vaincre la pauvreté. »

Principales missions de Peuples Solidaires :

  • Informer le public,
  • mobiliser les citoyennes et citoyens,
  • alerter les médias
  • faire pression sur les décideurs pour faire entendre la voix des organisations de la société civile.

L’association dispose d’un budget d’environ 1 million d’euros par an qui provient principalement de dons, de projets collectifs menés avec d’autres organisations ainsi que des cotisations de groupes locaux.

Contact : Edith Le Corgne

Tél. : 06.81.85.52.56

mail

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RWANDA Avenir

Rwanda avenir : aider après le génocide

Le logo de l’association

Cette association a été créée en 2004, lors de la dixième commémoration du génocide rwandais qui a fait près de 1 million de morts parmi les deux principales ethnies du pays : les Tutsi et les Hutu.

Le Rwanda se situe dans la région des Grands Lacs, il compte huit millions d’habitants et les séquelles traumatiques de la guerre civile qui a déchiré le pays sont encore omniprésentes.

Les objectifs de Rwanda Avenir sont de participer à la reconstruction physique des victimes et d’aider prioritairement les femmes rescapées. Les bénévoles les aident aussi au niveau psychologique.

En décembre 2007, la construction d’une maison de quartier a vu le jour pour accueillir les enfants et les femmes veuves à Kigali.

maison de quartier

Dans cette ville, 125 femmes vivent avec 650 enfants dans le quartier de Kimironko. Ces femmes et les jeunes du quartier ont participé à la fondation du bâtiment, tout en bénéficiant d’une formation en maçonnerie.

fondation de la maison

C’est seulement au printemps 2009 que le chantier du bâtiment principal a débuté. On y trouve notamment le restaurant, la crèche, la bibliothèque, des bureaux…

Maison de quartier en construction

Tout cela est financé par différentes actions menées par l’association afin de collecter des fonds : la vente de bijoux, de décoration (tableaux fait en imigongo, un art décoratif traditionnel du Rwanda), de chambres d’hôte pour les touristes et de culture de champignons. La municipalité de Pont-l’Abbé apporte aussi une subvention à Rwanda Avenir par le biais de PASI.

art imigongo

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Qui sommes-nous ?

Des élèves sensibilisés à la solidarité internationale

Nous sommes un groupe de 24 élèves de seconde générale et technologique du lycée Laennec. Nous avons formé des petits groupes au sein de la classe pour nous répartir les différentes tâches afin de rédiger les articles qui composent ce site.

Nous avons traité, à travers ce site internet, le thème de la solidarité internationale en partenariat avec PASI, l’AFPS, Rwanda-Avenir, AFIDESA et le Point Information Jeunesse de Pont-l’Abbé.

Ainsi avons-nous rencontré, au cours de l’année, différents intervenants qui nous ont informés sur le thème de notre étude :
  • Hubert Bazié, Angéline Bosser, Michelle Andro et Jean-Pierre Drézen d’AFIDESA
  • Adrien BINET, de l’AFPS et président de PASI
  • Janine Le Berre, de Rwanda Avenir
  • Gaëlle Queffélec du PIJ de Pont-l’Abbé
  • Clément Sommier, militant de l’association Bretagne CENS (commerce équitable Nord/Sud)

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S’engager

Comment s’engager ?

De multiples façons de s’engager

On peut s’engager de différentes façons :

Faire un don (argent, vêtements, jouets, alimentaire, matériel scolaire…)

Les Dons d’argent

Ils permettent aux associations de mettre en place des projets et de les assurer sur le long terme.

Les Dons de vêtements

Un don qu’il faut faire prudemment. Il est préférable de passer par des structures de réinsertion pour éviter de détruire l’économie locale.

Les Dons de matériel scolaire et de livres

Un envoi de ce genre doit être préparé car il peut être mal pris par le pays receveur. En outre, l’envoi de manuels scolaires n’est jamais utile car le programme qu’il traite ne correspond pas à celui en vigueur dans le pays receveur.

Les Dons alimentaires

Envoyer de la nourriture peut être justifié dans les situations d’urgence (en privilégiant l’agriculture durable) mais, comme pour les vêtements, il ne faut pas casser l’économie locale.

Être bénévole ou volontaire au sein d’une association

Quelle est la différence entre être bénévole et être volontaire ?

La principale différence entre un bénévole et un volontaire est que le volontaire a un contrat qui peut être renouvelé et touche une indemnité.

Être bénévole :

On peut par exemple faire du soutien scolaire, venir en aide aux personnes démunies ou encore superviser une animation sportive ou culturelle.

  • Sous ce statut, vous n’êtes pas rémunérés mais vous pouvez être dédommagés des frais engendrés par votre activité.
  • Vous n’avez pas d’horaires imposés.
  • Vous pouvez mettre un terme à votre activité quand vous le souhaitez (sans procédure ni dédommagement).
  • En cas de problèmes, l’association dispose normalement d’une assurance pour la protection des bénévoles.

Être volontaire :

Être volontaire est un engagement personnel mais aussi collectif. L’engagement peut aller de 1 mois à 2 ans.

Travailler dans l’humanitaire

  • - Il faut avant tout combattre les idées reçues pour ne pas oublier que les ONG (Organisation Non Gouvernementale) ou les ASI (Action de Solidarité Internationale) cherchent du personnel ayant de l’expérience et des qualifications.
  • Malheureusement, le nombre de candidatures est souvent supérieur aux besoins, et les critères de recrutement sont très stricts. Depuis une quinzaine d’années, leur champ d’action s’est cependant élargi.
  • - Les profils recherchés sont souvent les médecins, les infirmiers (personnels de santé), les ambulanciers, les ingénieurs et techniciens (en traitement d’eau et en BTP), les logisticiens, les administrateurs, les chefs de mission ou collecteurs de fonds.
  • - Les professionnels travaillent soit sur le terrain, soit au siège de l’organisation.

Secteurs d’intervention

Les missions depuis la France se déroulent à l’étranger, elles durent quelques mois à quelques années et sont destinées aux personnes ou collectivités qui endurent des difficultés sociales, économiques et médicales.

  • Les missions d’urgence consistent à prendre en charge des populations, lors de guerres, d’épidémies ou de catastrophes naturelles.
  • Les missions de post-urgence consistent à reconstruire les régions frappées par un sinistre.
  • Les missions de développement permettent aux régions peu développées de mettre en œuvre des programmes d’éducation, d’alphabétisation, d’agriculture ou de commerce équitable.

Profils appréciés :

  • La gestion est préparée par des logisticiens, logisticiens watsan (eau), administrateurs de missions, spécialistes du micro-crédit et chef sde mission ou représentants légaux de l’ONG ou ASI sur le terrain.
  • Le développement rural et urbain est géré par un développeur rural et un développeur urbain.
  • La santé est orchestrée par les médecins, infirmiers, sage-femmes, médecins spécialistes, aides soignants, psychologues, prothésistes, …
  • Le suivi au siège des ONG est réalisé par un chargé de suivi des programmes, un collecteur de fonds, un responsable technique, un délégué général, un responsable de la communication, un responsable des ressources humaines et un juriste.

Participer à un chantier de jeunes bénévoles

Voir l’article sur les chantiers de jeunes

Monter son projet de solidarité internationale

  • Des projets avec déplacement physique des acteurs sont mis en place soit du Nord vers le Sud soit du Sud vers le Nord (dans le cadre d’un échange, un accueil est préparé pour les jeunes ou partenaires)
  • Le contenu ou les contenus peuvent au sein d’un même projet, s’articuler entre eux comme les constructions, animations, formations, échanges-découverte interculturels et la défense des droits humains.
Pour plus d’informations, vous pouvez contacter Gaëlle Queffélec :

Rue du Petit train - 29120 PONT-l’ABBÉ / tel : 02 98 66 08 09

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Les chantiers de jeunes

Gaëlle QUEFFELEC : l’engagement en quelques questions

Nous avons rencontré Gaëlle QUEFFELEC, responsable du Point Information Jeunesse de Pont-l’Abbé, le 9/11/2015 et avons eu la chance de lui poser quelques questions sur l’engagement des jeunes.}}}

« En quoi consiste votre mission ?

Gaëlle Queffélec - Nous avons pour but d’informer les jeunes dans différents domaines. On les accompagne dans leurs projets comme dans leur orientation, l’enseignement ou encore dans un souhait de participer à une action solidaire.

Combien d’employés êtes-vous ?

G. Q. - Je suis coordinatrice jeunesse employée par la Mairie de Pont-l’Abbé, c’est-à-dire que je suis responsable de tout le pôle PIJ. Je suis aussi animatrice au PIJ. Le PIJ est un réseau national. La France comporte 1500 structures sur le territoires. Je suis donc accompagnée de nombreuses personnes dans mon travail, aussi bien à l’échelle nationale que locale.

Y a-t-il beaucoup de jeunes qui viennent vous voir chaque année ?

G.Q. - Environ 2 000 jeunes viennent nous voir chaque année pour demander des renseignements et des aides pour la construction d’un projet. Ils sont généralement âgés de 11 à 17 ans, mais ils peuvent aussi être plus âgés.

Vous parlez de projet, mais avez-vous déjà reçu la visite de jeunes voulant entreprendre un geste de solidarité internationale ?

G.Q. - Oui ! De nombreux jeunes veulent partir à l’étranger pour participer par exemple à des chantiers de jeunes. Souvent ces jeunes citoyens sont âgés de plus de 18 ans car c’est plus facile d’entreprendre un projet à cet âge, quand on est majeur.

Comment les accompagnez-vous dans leurs projets ?

G.Q. - Le PIJ les aide principalement à se renseigner. Mais dans certains cas, le Point Information Jeunesse peut participer à un projet solidaire en proposant une bourse d’aide pour ces jeunes.

Pouvez-vous nous donner un exemple de projet solidaire à la réalisation duquel vous avez contribué ?

G.Q. - Nous avons déjà eu deux jeunes filles qui sont venues nous voir pour des renseignements sur l’organisation d’un voyage humanitaire en Inde pour soigner la lèpre. Nous les avons accompagnées tout au long de leur projet, avons contacté différentes associations qui les ont prises en charge une fois là-bas, et nous avons aussi aidé pour le budget du voyage. Une autre fois, nous avons aidé à la création d’un centre de loisir au Burkina Faso et nous avons aussi aidé un voyage en Mongolie de jeunes qui voulaient s’occuper d’orphelins.

Êtes-vous déjà partie voir un des projets auxquels vous avez ainsi contribué ?

G.Q. - Non. J’ai un certain confort de vie et je connais mes limites. Je pense que pour entreprendre de tels projets il faut être sûr de supporter le changement des conditions de vie. Savoir si on est prêt à sacrifier son confort habituel. Connaître l’environnement de notre lieu d’accueil et se connaître soi-même est donc primordial.

Avez-vous déjà été bénévole ?

G.Q. - Oui. J’ai déjà participé à la récolte de fonds pour certaines associations. Je pense que s’engager est très important pour un citoyen, jeune ou plus âgé. L’engagement peut aussi consister en des actions du quotidien comme trier ses déchets ou encore décider de s’occuper d’un proche.

Quels conseils donneriez-vous à un jeune voulant s’engager ?

G.Q. - Je lui dirais tout d’abord de s’informer. L’autonomie des jeunes passe avant tout par une éducation à l’information. S’informer permet de faire des choix pour être heureux dans sa vie. C’est pour cela que notre centre existe. Ensuite, il faut connaître le terme « s’engager », bien le définir pour trouver des objectifs concrets. Il faut que le jeune sache que, s’il veut s’engager, il peut tout d’abord commencer par des engagements proches, locaux, comme être écocitoyen.

Donc pour finir, pour vous, que permet l’acte de s’engager ?

G.Q.- S’engager c’est apprendre à s’informer, vivre une expérience unique. On y satisfait ses besoins : on découvre de nouvelles choses, on apprend à offrir de l’aide. S’engager peut aussi permettre d’améliorer des compétences professionnelles et personnelles. »

Renseignements auprès de Gaëlle Queffélec :

Rue du Petit train - 29120 Pont-l’Abbé / 02 98 66 08 09 mail

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Les chantiers de jeunes : une expérience enrichissante

Qu’est-ce qu’un chantier de jeunes ?

Un chantier de jeunes est un rassemblement de jeunes bénévoles de 14 ans à 30 ans ayant pour but de venir en aide en restaurant ou construisant un bâtiment. Ces chantiers peuvent se situer à l’échelle internationale, nationale, régionale ou locale.

Comment est organisé un chantier de jeunes ?

Les chantiers de jeunes se passent généralement en juillet et en août. Ils durent environ de 2 à 3 semaines. La durée hebdomadaire du travail est en moyenne de 20 à 30 h pour les adolescents et de 30 à 35 heures pour les adultes. Les coûts pour les jeunes varient selon les associations.

Que font-ils ?

Les jeunes s’engageant dans ces chantiers réalisent différents projets d’action sociale, de préservation du patrimoine, d’animation, de construction, d’aménagement, de protection de l’environnement… Participer à un chantier de jeunes permet à un jeune citoyen de s’enrichir culturellement et professionnellement grâce aux rencontres et échanges avec d’autres bénévoles ainsi qu’aux différentes activités auxquelles il participe. On y apprend à vivre en collectivité (cuisiner ensemble, planifier des projets communs, travailler en groupe, … ) et à s’ouvrir au monde. A travers les chantiers, les jeunes apprennent à avoir des responsabilités et à entreprendre des projets et sont introduits dans la vie active.

Les chantiers de jeunes sont donc un bon moyen de s’engager dans la citoyenneté. Ils bénéficient à la fois aux jeunes citoyens et aux personnes aidées. C’est une introduction idéale à la solidarité internationale.

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Pourquoi s’engager ?

De nombreuses raisons de s’engager

Il y a différentes raisons de vouloir s’engager, que ce soit au sein d’une ONG (Organisation Non Gouvernementale) ou d’une association. En premier lieu, vouloir aider les gens ou se rendre utile que ce soit à l’échelle locale, nationale ou internationale.

D’autres motifs peuvent donner envie de s’engager :

  • Participer à un projet collectif
  • S’impliquer dans la vie locale
  • Partir à la rencontre d’autres cultures
  • L’enrichissement personnel
  • Rencontrer d’autres personnes
  • Être fier de ses réalisations

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S’engager en pays Bigouden

« La Bigoudène » au profit d’AFIDESA

Le CAB (Club Athlétique Bigouden) est une association sportive qui chaque année organise une course au profit d’AFIDESA.

Cette course s’appelait la « Torche Pont l’Abbé » et se nomme maintenant la « Bigoudène ». Chaque inscription est payante quelle que soit la distance que l’on choisit de parcourir (différentes catégories, de 1000 m au marathon). L’argent est par la suite reversé à AFIDESA, une association agissant et luttant contre des problèmes humanitaires au Burkina Faso et donc oeuvrant pour la solidarité internationale. Cette année 2015 la course a réuni environ 2500 participants pour sa 18e édition et rapporté près de 800 €.

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La Semaine de la Solidarité internationale

Tous les ans, lors de la 3e semaine du mois de novembre, la Solidarité internationale est à l’honneur en France.

En pays Bigouden, le collectif PASI s’attache à organiser diverses animations à cette occasion. Ses bénévoles, membres de 9 associations locales de solidarité internationale, proposent notamment une exposition. En 2015, elle avait pour thème les conséquences humaines du réchauffement climatique et a été affichée au lycée Laennec pendant trois semaines.

Au programme également, une randonnée solidaire, une causerie-débat à la Maison des Camélias, la projection d’un documentaire, l’information délivrée par le Point Infos jeunesse de Pont-l’Abbé et un spectacle solidaire avec en pariculier la participation du collège Laennec.

La 19e édition se déroulera du 12 au 20 novembre 2016.

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