Terminale MELEC

Jouer avec la lumière ! Exposition de lampes design au CDI

Du 19 janvier au 22 février 2024

Depuis la rentrée les élèves de Terminale MELEC ont réalisé des lampes en arts appliqués et en électricité. Ils exposent leurs travaux préparatoires et finis au CDI.

Il a pris forme grâce au programme de Français du lycée professionnel, dont le questionnement est le suivant : le jeu, nécessité ou futilité . Il est apparu évident qu’il était possible de construire toute une réflexion autour de cette question dans le domaine de la création artistique et de la lumière : « jouer avec la lumière ».

Ainsi chemin faisant, le projet s’est concrétisé grâce à une rencontre, celle de Madame Béatrice Buton, chargée de projets au sein de l’entreprise PUBLIGRRAPIC, à Pont l’Abbé ; grâce, également au soutien de leur professeur d’enseignement professionnel Alexis Deniau.

Dans un premier temps, nous sommes allés visiter l’entreprise PUBLIGRAPHIC. Les élèves ont pu observer toutes les machines propres à la conception d’encrage, de découpage… En fin de visite les élèves ont récupéré toutes sortes de rebus à base, essentiellement, de matière plastique. Le projet s’inscrit dans le cadre du contrôle en cours de formation en arts appliqués. Pour cela la réalisation devait être aboutie pour obtenir une vraie lampe.

Avant d’obtenir le résultat final, les élèves sont passés par une phase d’expérimentation. L’enjeu artistique s’inspirait de deux courants de création. Et donc de deux notions opposées « le construit » et « le déconstruit ».

Un des courants proposés s’intitulait le Modernisme, qui se caractérise par des formes simples souvent issues de la géométrie et qui répond efficacement à l’usage que l’on peut faire de l’objet. Ce courant de design issu de l’architecture, s’appuie dès les années 1920 sur des notions de construction dérivées des mathématiques. A partir des années 1980, émerge une nouvelle manière de penser les formes influencées directement par l’esprit constructiviste du Modernisme, d’abord dans l’architecture et ensuite dans d’autres domaines tel que le design d’objets. Cependant l’idée est d’affirmer des formes qui s’imposent par leur principe de déconstruction.

Le projet devait également s’appuyer sur un cahier des charges.

Tout le système électrique a été réalisé en atelier. Alors, les élèves ont dû choisir entre leurs différentes expériences pour réaliser le projet final qui devait également être le plus abouti possible en adaptant des améliorations techniques et esthétiques.

Il a pris forme grâce au programme de Français du lycée professionnel, dont le questionnement est le suivant : le jeu, nécessité ou futilité . Il est apparu évident qu’il était possible de construire toute une réflexion autour de cette question dans le domaine de la création artistique et de la lumière : « jouer avec la lumière ».

Ainsi chemin faisant, le projet s’est concrétisé grâce à une rencontre, celle de Madame Béatrice Buton, chargée de projets au sein de l’entreprise PUBLIGRRAPIC, à Pont l’Abbé ; grâce, également au soutien de leur professeur d’enseignement professionnel Alexis Deniau.

Dans un premier temps, nous sommes allés visiter l’entreprise PUBLIGRAPHIC. Les élèves ont pu observer toutes les machines propres à la conception d’encrage, de découpage… En fin de visite les élèves ont récupéré toutes sortes de rebus à base, essentiellement, de matière plastique. Le projet s’inscrit dans le cadre du contrôle en cours de formation en arts appliqués. Pour cela la réalisation devait être aboutie pour obtenir une vraie lampe.

Avant d’obtenir le résultat final, les élèves sont passés par une phase d’expérimentation. L’enjeu artistique s’inspirait de deux courants de création. Et donc de deux notions opposées « le construit » et « le déconstruit ».

Un des courants proposés s’intitulait le Modernisme, qui se caractérise par des formes simples souvent issues de la géométrie et qui répond efficacement à l’usage que l’on peut faire de l’objet. Ce courant de design issu de l’architecture, s’appuie dès les années 1920 sur des notions de construction dérivées des mathématiques. A partir des années 1980, émerge une nouvelle manière de penser les formes influencées directement par l’esprit constructiviste du Modernisme, d’abord dans l’architecture et ensuite dans d’autres domaines tel que le design d’objets. Cependant l’idée est d’affirmer des formes qui s’imposent par leur principe de déconstruction.

Le projet devait également s’appuyer sur un cahier des charges :

Tout le système électrique a été réalisé en atelier. Alors, les élèves ont dû choisir entre leurs différentes expériences pour réaliser le projet final qui devait également être le plus abouti possible en adaptant des améliorations techniques et esthétiques.

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