La « dolce vita » à Rome pour des lycéens de Laennec

Alors que les restrictions liées à la crise sanitaire prennent fin peu à peu, l’heure est venue pour les lycéens de Laennec de renouer avec les voyages pédagogiques. C’est ainsi qu’un premier groupe a séjourné à Rome du 25 avril au 1er mai.

L’escapade dans la capitale italienne concernait tous les latinistes et une grande partie des élèves de la spécialité HLP (Humanités, Littérature et Philosophie) de 1re et terminale. 53 élèves étaient ainsi de la partie, accompagnés par Mmes Goasmat, Gouletquer et Houlez.

La Rome antique au programme

Au menu du premier jour : la colline du Palatin et le Forum, en guise de préambule, avant la découverte du plus grand amphithéâtre du monde romain, le Colisée.

Le lendemain, une petite excursion hors de la ville éternelle, à Tivoli, était prévue afin de visiter les villas d’Este et Adriana. Et par la suite, la visite des musées (musée national Étrusque, situé dans la villa Giulia, et Galerie Nationale d’Art Moderne et Contemporain dans la villa Borghèse), ainsi que la déambulation, sous la houlette d’une guide, dans les catacombes de Saint-Sébastien. Celles-ci, datant de la fin du 2e siècle, doivent leur nom à un martyr chrétien exécuté parce qu’il refusait de renier sa foi. Elles ont servi de cimetière chrétien : c’est là que reposait notamment la dépouille de Saint-Sébastien jusqu’au 5e siècle.

Le groupe devant la Galerie d’art moderne et contemporain

Découvrir la ville de l’époque moderne

Pour terminer le séjour, les élèves se sont offert un temps libre afin d’arpenter la Rome de la Renaissance et de l’époque baroque, jusqu’au Panthéon (temple de l’Antiquité transformé au fil des siècles), à la Piazza Navona et à la célèbre Fontaine de Trevi.

Cette découverte du monde antique et du remarquable patrimoine romain, fruit de 2 700 ans d’une histoire riche et mouvementée, permettra à chacun de mieux comprendre combien notre civilisation en est imprégnée. Le voyage restera surtout un souvenir impérissable pour des adolescents privés pendant plus de deux ans des nombreuses réjouissances liées à leur passage au lycée. Une grande bouffée d’oxygène !